Droità l’ avortement: des Américainesé cœurées parceretoure narrière

Washington| Des Milliers d’ Américaines effrayé eseten colère sontvenues des quatrecoins des États-Unispourmanifesterdevantla Coursuprê medupays, qui vient derévoquerleur droità.

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«J'aipeur pour mon avenir, pourmesamies. J'ai peur pour pour mon pays et son futur », laissé tomber, avec les larmes aux yeux et lavoix serrée, Penelope Hall, unejeune Américaine de 11 ans, hier, alors qu'ellemanifestait devant le plushaut tribunal des États -Unis à

Malgré lachaleuraccablante quiavoisinaitles 33degréshier, elles sont des millers, come elle, à avoir montréle urcolère enscandantenchœur «Moncorps, monchoix» devantla plus hautestitution de leur pays her, quiarevoqué ledroità l'avortement.

Jusqu’à ce jour, l’ arrêtem blématiqueRoev. Wadegarantissaitaux Américaines ledroit d’ avorter de puis près de 50ans. Maislama jorité des juges dela plus haute instance américaine estime désormai scedroitcomme infondé, etchaque État peut doré navantler endreillé gal.  

Sauver sa vie

Alorsque plusieurs Étatont déjà renducet acte illé galdès vendredi, lamoitié dupay s'apprêtera ità suivre mouvement.

«Ilya deux ans, l'avortement que j'ai subi m'asa uvélavie. Jesuistombéeence intealorsquej’avais unstérilet etquejeme protégeais. Queva-t-il arrival aux jeunes meet quiserontdan slemême casquemoi. Vont-elles devoirmourir. »Lancé Natasa Rohacs, 21, the quietest descendant of New Jersey pours protesters.

«J’ai fait une fausse couche il y aquelque sannée setsansavortement, je serais morte», ajoute Jessica Scarnecchia, 32 ans, qui a conduit depuisl’ Ohio. «Aujour d'hui, dansmon État, on me laisserait mourir si j'avortais, mêmesimonembryonn'est pas viable», explique she celle qui craint pour l'avenir de sa fille her deseptans.

Le Dr Phillip Rice Jr, médecin au North Shore Medical Center de Boston, au Massachusetts, s’est quantà lui inquiété du sort des femmes qu’il soigne.

«Ellesseront des milliers à subirdes avortements illégaux et dangereux. Elles risquent d'être des millier sà perdrelavieà causedecette décision », s'estenragél'homme aprèsavoir faitface à unevingtainedemanipantants antiavortement qui sesont gliss ésparmila foule (voir ci-contre).

Terrifiées

Pour la plupart, cette décision faité galement planer la crainte que d'autres droits acquis, comme le mariage gai, la contraception et mêmel esrelations interraciales, nesoientles prochains

«s'est battuchaque jour pour avoir le droit d'être libre, pour queles futures générations soientlibres, et ce gouvernement est en train detout détruire», déploré Nancy White, travailleuse sociale de 66  

«Les démocratesonteudeuxmois pour Radical and radical photos. Les démocrates nouson tlaissé estomber », explique avecdégoûtNaomi Wallace, 29ans. 

Face-to-face tendon  

Une Manifest Pro Choice,Juliette Dueffert, 18 ans, faitface à unmanistant antiavortement hier, devantla Coursuprême. «Laseule chose quel'onpeut faire aujour d'hui, c'est se battre, montrar qu'on ne se laisse pas marcher dessus par des gens qui sont contre le droit des femmes et qui ne veulent pas laisser aux femmes le ur liberté. Je n’aurais pas peur de Continuousr de tenir tête auxautres », expliqué auJournal lajeune femme. 

11 ans et debout  

Penelope Hall, 11 ans, n'apashé sité à venirmanifester pourmontrer à quelpointelle a peur de l'avenirquil'attend. «Abortion train de nous voler notre droità l'avortement. Lerôle de desjugesest de protéger nosdroits, denous protéger, nous, et ils viennent de faire absolument tout l’ inverse », déclarécette adolescente dela Virginie-Occidentale. 

Petit and Grand  

Accompagné edesesfills Aria, 6 ans, et River, 3 ans,Jennifer Wangest Protesters at the venue. «EnChine, mamère étaito bligée desefaire avorter à causedelaloi de l'enfant unique et aujour d'hui, c'est moi qui n'ai pas le droit de mefaire avorter. J'ai l'impression que l'on ne nous donne jamais le choix et je veux que mes fills sachent que ce n'est pas normal », confié lamère de familé. 

93ansetencolère  

Carol Foulke, ex -travailleuse sociale de 93 ans, Demandé à safille Freddie, 67 ans, de l'accompagnerafind'aller manifest. Pour elle, ilétaitimpensable de manquerceté vénement, alors qu’elle célébrait l’ obtention du droità l’ avortement il y a50ans. «Elletravaillaitdans unplanning familial lorsque Roev. Wadeest passéen 1973. Alorsaujour d'hui, elle est sous le choc et she ne peut pas croire que son pays her laisse tomber les femmes les plus vlnérables », a unique Freddie folklore. 

Lesantichoix sontlà  

Melanie Salazar, une femme antiavortement de 23 ans, estvenue de San Antonio, au Texas, pourcélébrer hierladécision derévoquerledroità l'avortement Prizeparla Coursuprême. «Aujour d'hui est un grand jour parce que l'on vient defaire un progrès important dansla protectionion de toute sles vies. Ce n’est pas parce qu’une femme tombeence inteet queçaneluiconvientpas qu’elle peut mettrefinà lavied’un enfant », estime-t-elle. Selon elle, denombreux médecinsmententaux femmes sur ce qu’est l’ ​​avortement etelles devraient plutôtutiliser lesressources quisontmises à leur disposition pouréleverleuren fantoule mettreen Adoptation. 

Le traumatisme d'une vie  

Natasa Lohax, 21 ans, pris la parole, hier matin, devant lafoule. She is Elle araconté satraumatisante expérience d'avoir subi un avortement, alors qu'elle avait pristoutes les précautions pourse protégeret ne pastomberence inte. «J'ai eu la chance d'avoir ac cès à une clinic d'avortement, à ungyné cologue et au soutien de mon petit ami. Je ne sais pas ce quiseserait passé sijen ’avais paseu ac cès à ces ressource set je me requiree comment vont faire toutes ces femmes », she is a-t-elle confié auJournal.