1962, l’immigration portugaise se tourne vers la france

Le 16 octobre 1962, la une du journal « Sud-Ouest » rend compte du « plus spectaculaire coup de filet qui ait jamais été réussi depuis qu’est ouvert le lourd dossier des travailleurs clandestins ». À Saint-Jean-de-Luz, les douaniers contrôlent un camion qui se dirige vers Paris : ils y découvrent « 65 clandestins portugais apeurés et transis de froid, qui voient en un instant leur projet s’écrouler ». Ils sont refoulés vers l’Espagne. Depuis la fin des années 1950, de tels articles relatant l’arrestation de clandestins portugais – traversant les Pyrénées, franchissant le fleuve Bidassoa, qui sépare l’Espagne et la France au Pays basque, dissimulés dans des camions, débarquant dans des bateaux de pêche – se multiplient. Le nombre de Portugais entrant en France, le plus souvent irrégulièrement, ne cesse de croître. Ils n’étaient que 650 en 1952, ils sont 16 000 en 1962. Cette année-là, davantage de Portugais se rendent en France qu’au Brésil, destination traditionnelle de l’émigration portugaise depuis des siècles.

Certains viennent rejoindre un proche installé dans les années 1920. En effet, l’immigration portugaise en France commence en 1916, lors de la Première Guerre mondiale. Le pays a besoin de bras pour remplacer les hommes partis au front, et accroître la production d’armement. Comme le Portugal propose d’envoyer des soldats en France pour soutenir la République sœur, le gouvernement français en profite pour réclamer des ouvriers. Débute ainsi un flux migratoire qui, en dépit des résistances des gouvernants et des propriétaires agricoles portugais, se prolonge la paix venue. Dans les années 1920, 75 000 Portugais viennent travailler dans l’Hexagone, parfois seulement pour quelques mois.

Cependant, dans les années 1930, au cours de la crise économique et alors que la xénophobie s’accroît, beaucoup d’entre eux sont impitoyablement expulsés, refoulés ou contraints au départ. Déjà, la presse évoque des tentatives d’entrées irrégulières. Ainsi, « l’Humanité » du 3 avril 1933 rapporte un « drame pyrénéen » : un passeur basque aurait essayé de voler puis d’assassiner trois Portugais venus travailler en France.

Une élite sociale contre l'émigration pour garder ses privilèges 

Si des milliers de Portugais tentent de s’introduire irrégulièrement dans l’Hexagone, c’est que leur pays d’origine ne leur concède pas de passeport et refuse obstinément, depuis 1945, de signer un accord d’émigration avec Paris. Le Portugal est alors dirigé par le dictateur António de Oliveira Salazar, premier ministre depuis 1932. Réactionnaire, nationaliste, soucieux de sauvegarder l’empire colonial, il considère – comme une bonne partie de l’élite politique et administrative – ces départs comme une menace pour le régime. En effet, en France, ces travailleurs peuvent être politisés par les syndicats comme la Confédération générale du travail (CGT) ou par des opposants exilés et, à leur retour au pays, y introduire des idées contraires à celles de la dictature.

En outre, cette émigration vers la France déstabilise des sociétés rurales fortement inégalitaires. Dès la fin des années 1950, les notables ruraux du centre et du nord du pays – les régions principalement concernées par ces départs – se plaignent de ses effets néfastes pour eux. Comme l’important excédent de main-d’œuvre se réduit, les propriétaires agricoles doivent augmenter les salaires des journaliers et concéder de meilleures conditions à leurs fermiers ou métayers. Dès le début des années 1960, des notables décrivent des campagnes portugaises vidées de travailleurs, ce qui est loin d’être la réalité. N’évoquant jamais la misère qui y règne, ces discours cachent la volonté d’une élite sociale, soutenue par la dictature, de conserver ses privilèges et son statut, remis en cause par l’émigration. En effet, les émigrés revenus au pays peuvent s’offrir et offrir à leur famille des biens et des conditions réservés à une minorité (voiture, maison moderne, vêtements, éducation des enfants…). Leur exemple incite leurs compatriotes à partir également.

Émigration portugaise incompatible avec l'ambition coloniale

C’est aussi pour préserver son empire colonial que la dictature veut empêcher les départs pour la France. À partir des années 1950, de grands travaux sont menés en Angola et au Mozambique dans la perspective d’un envoi massif de colons blancs. Le régime salazariste incite donc les Portugais qui veulent quitter la métropole à s’y rendre. Cette incompatibilité entre les départs pour la France et l’obsession impériale s’accroît en 1961 : face aux mouvements de libération qui s’attaquent à la domination portugaise en Angola, Salazar mobilise le pays. Les années suivantes, tous les jeunes Portugais doivent aller se battre en Afrique (1) et 40 % du budget national sont consacrés à la guerre. Peu après le début des combats en Angola (qui dureront jusqu’en 1974), un décret-loi réformant la police politique – la polícia internacional e de defesa do estado (police internationale et de défense de l’État) – transforme l’émigration irrégulière en crime, avec des peines allant jusqu’à deux années de prison.

Toutefois, un hiatus existe entre les discours des autorités assurant lutter contre les passeurs – institués en boucs émissaires de l’émigration clandestine qui serait due non pas à la misère mais aux chimères qu’ils colportent – et l’action de la police politique, chargée de surveiller la frontière. Pour celle-ci, la priorité est la lutte contre l’opposition – et principalement le Parti communiste portugais – et, de plus en plus, contre les mouvements anticoloniaux en Afrique. Ainsi, la direction de la police politique ne dote pas les postes-frontières de moyens suffisants pour empêcher les départs. Sans le dire, elle compte sur la surveillance exercée par les autorités espagnoles – qui pourchassent les Portugais démunis de passeports – pour limiter les départs et, surtout, vulnérabiliser ces émigrés. Ainsi, contraints de financer un long et périlleux voyage clandestin, ces travailleurs sont endettés, séparés de leur famille et se retrouvent sans papiers et soumis au bon vouloir de l’administration française. Une situation qui les incite à se maintenir loin de toute activité politique, à travailler le plus possible et à économiser sur leurs frais pour rembourser leurs dettes et envoyer de l’argent à leur famille.

La France profite de travailleurs dociles et peu coûteux

La position des autorités françaises au début des années 1960 est également ambiguë. D’une part, les frontières sont surveillées et de nombreux Portugais sont refoulés vers le territoire espagnol, on l’a vu. D’autre part, un discours émerge, au sein des élites politiques et administratives et du patronat, appelant à tolérer l’immigration irrégulière des Portugais, tels ceux qui ont réussi à rejoindre la région parisienne ou d’autres régions qui ont besoin de main-d’œuvre (comme à Clermont-Ferrand où Michelin les embauche massivement). Car, depuis la fin des années 1950, la croissance économique est soutenue et le marché de l’emploi est en tension : la France a besoin de travailleurs peu qualifiés, surtout dans le bâtiment, les travaux publics et l’industrie automobile. Or, jusqu’en 1962, de nombreux jeunes Français sont sous les drapeaux en Algérie et, depuis 1954, la venue d’Algériens est réduite. De plus, les Italiens – principal apport migratoire depuis la fin du XIXe siècle – émigrent de moins en moins vers la France. Autre argument : ces travailleurs portugais sont présentés comme dociles, peu revendicatifs et acceptant des salaires peu élevés et des heures supplémentaires. Et s’ils arrivent illégalement en France, c’est à cause de la politique d’émigration restrictive menée par la dictature salazariste et du refus de Lisbonne de signer un accord d’émigration.

Toutefois, cette immigration irrégulière pose des problèmes dont ces travailleurs sont les premières victimes. En plus de leur endettement et des risques pris lors de ces voyages clandestins, ils sont contraints de vivre dans des habitations précaires, leurs employeurs n’ayant pas à les loger. Alors que sévit en France une crise du logement qui touche particulièrement les classes populaires, dès la fin des années 1950, plusieurs bidonvilles peuplés principalement de Portugais se forment en région parisienne, à Nanterre – où existent également des bidonvilles où vivent majoritairement des Algériens, soumis au contrôle des autorités françaises qui y redoutent l’action des mouvements de libération –, Aubervilliers ou Champigny-sur-Marne. Celui-ci, le plus connu, compte jusqu’à 14 000 habitants. En 1964, un scandale des bidonvilles portugais éclate dans la presse : comment des travailleurs européens venus participer à l’expansion économique du pays peuvent-ils vivre dans de telles conditions, à quelques kilomètres de Paris ? La même année, la loi Debré tente d’y mettre fin, mais ce n’est qu’au milieu des années 1970 que la plupart des bidonvilles disparaissent (2).

Un accord qui libère le courant migratoire

Le gouvernement français obtient, en décembre 1963, que le Portugal signe un accord d’émigration : l’Office national d’immigration peut s’y implanter et y recruter des travailleurs. Cependant, la junta da emigração (junte d’émigration), l’institution chargée de concéder les passeports d’émigration, qui ne veut pas perdre ses prérogatives et laisser les départs vers la France augmenter, s’emploie à saboter cet accord. À Paris, début 1964, Matignon, pour des raisons économiques et démographiques, entend favoriser l’immigration portugaise et craint que l’Allemagne de l’Ouest ou la Suisse, où les salaires sont plus élevés, ne la détournent. À partir d’avril, un récépissé est délivré à tous les Portugais qui se présentent à la frontière afin qu’ils entrent en France, y trouvent un emploi et régularisent, a posteriori, leur situation.

Dès lors, l’immigration portugaise irrégulière ne cesse de croître et connaît un pic entre 1969 et 1971 (350 000 entrées en à peine trente-six mois). De plus en plus de femmes – qui s’emploient massivement comme ouvrières, femmes de ménage ou, à Paris, comme concierges – et d’enfants s’installent dans l’Hexagone. En 1975, 750 000 Portugais sont recensés : ils sont alors les étrangers les plus nombreux en France, devançant les Algériens (710 000). La révolution des œillets, en 1974, et la suspension de l’immigration en France, la même année, ne stoppent pas totalement ce courant migratoire. Les autorités françaises continuent d’octroyer un traitement dérogatoire aux Portugais : pour elles, dans une vision non exempte de racisme, ces immigrés européens sont « assimilables », à la différence de ceux venus d’Afrique. En 1992, après l’entrée du Portugal dans la Communauté économique européenne, six ans auparavant, les Portugais bénéficient de la libre circulation dans l’espace Schengen et la venue de travailleurs, détachés notamment, continue.

Bien que certains travailleurs arrivés dans les années 1960-1970 retournent au Portugal une fois à la retraite, en 2021, 598 500 immigrés portugais (3) résident encore en France. À la fin des années 2000, la crise économique qui a durement frappé le Portugal a provoqué le départ de 900 000 d’entre eux entre 2011 et 2020, dont certains se sont dirigés vers la France.


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