André Dussollier : « Je veux transmettre la beauté de la langue française »

La Croix L’Hebdo : Seul en scène dans Sens dessus dessous, vous interprétez des auteurs qui vous sont chers comme Raymond Devos, à qui vous empruntez le titre du spectacle, mais aussi Victor Hugo, Sacha Guitry, Roland Dubillard… Comment avez-vous conçu ce florilège ?

André Dussollier : J’ai imaginé ce spectacle pour que ces textes ne disparaissent pas des mémoires, tout simplement parce que je les trouve beaux. J’aime les faire entendre pour peut-être donner envie aux gens d’aller visiter ou revisiter ces auteurs. J’ai voulu ouvrir ce spectacle avec un extrait d’Un soir quand on est seul de Sacha Guitry. Il s’agit d’un homme qui fuit le bruit de la ville pour rentrer chez lui. « Je n’ai vraiment l’impression que je suis libre que lorsque je suis enfermé », dit-il. Il semble que cet homme décrit par Guitry ne peut être lui-même que loin de la furie et des autres quand il peut se laisser aller à la rêverie.

C’est exactement ce que je ressens sur une scène de théâtre, c’est une île où je me sens libre. Ici, je passe librement d’une époque à l’autre, d’un texte à l’autre, d’un style à l’autre. Un tel montage est un défi que je rapproche volontiers de l’art du picotage exercé par les grands couturiers pour qu’une robe épouse parfaitement ce creux que les femmes ont au-dessus de la clavicule. Sens dessus dessous est du sur-mesure, il faut pouvoir passer d’une humeur à l’autre, de la légèreté à la gravité sans perdre le spectateur.

Pourquoi avoir sélectionné ces textes, anciens pour la plupart ?

A. D. : Il est vrai que ce sont pour la plupart des auteurs d’avant, à l’exception de Michel Houellebecq, dont je reprends le commentaire sur la puissance de la littérature, et de Roland Dubillard (décédé en 2011, NDLR), plutôt contemporain. On pourrait considérer que je choisis un répertoire qui appartient au passé, donc plutôt ennuyeux. Or, il se trouve que la force de ces textes dépasse les années. Prenez Victor Hugo, il reste d’une modernité frappante. Ses textes sonnent comme des films de cinéma, à l’instar de l’histoire du Crapaud, tiré de La Légende des siècles, ou ce passage des Misérables qui raconte l’enlisement d’un homme sur la plage, aspiré par les sables mouvants.

Il me semble également que de nombreuses œuvres résonnent avec l’actualité. Par exemple, Guitry a joué aux Bouffes parisiens (où André Dussollier a créé Sens dessus dessous cet hiver, NDLR) le 2 juin 1917 Un soir quand on est seul, alors même qu’avaient lieu sur le front de terribles mutineries. Il me paraît intéressant de juxtaposer ce côté léger de la vie parisienne qui continuait malgré la guerre et l’horreur du front, dont témoigne un texte d’Aragon, que je dis aussi.

Ce paradoxe nous parle encore maintenant alors que la guerre gronde à nos frontières : des Ukrainiens meurent tandis que la vie se poursuit ailleurs en Europe… C’est incroyable de voir combien on peut reconnaître notre époque à travers ces mots issus d’une autre. Ce sont de véritables trésors, qu’on n’a plus l’habitude d’entendre et que je désirais faire revivre.

Vous semblez animé par ce désir de transmission…

A. D. : C’est capital, j’en suis convaincu. Évidemment, je fais entendre ces mots dans un théâtre, c’est un lieu privilégié où les spectateurs viennent par eux-mêmes, sont acquis à la littérature. J’ai quelquefois envie de faire le chemin inverse, d’aller vers les gens dans des endroits différents, dans les quartiers défavorisés en particulier. Je n’ai pas encore de projet précis mais j’ai ce désir profond de partager la beauté de la langue française.

Les personnes qui ne maîtrisent pas la langue sont véritablement démunies, et c’est ce qui mène à la violence. Je ne suis pas assez compétent pour en parler mais je pense qu’il faudrait donner les moyens coûte que coûte pour que les jeunes puissent grandir, s’élever grâce à un enseignement du français, rassurant et enrichissant. Désormais, l’image a pris le pas sur les mots, sur la littérature. Nous qui avons eu la chance de les côtoyer au plus près avons le devoir d’en transmettre la puissance.

Vous-même, comment avez-vous découvert le plaisir des mots ? Quels sont vos premiers souvenirs de lecture ?

A. D. : J’ai grandi dans une petite ville près d’Annecy et j’étais enfant unique. C’est par le sport que j’échappais à cet environnement solitaire, cela a constitué pour moi un apprentissage de la vie sociale. J’y ai aussi goûté le plaisir de la pratique d’une activité physique, que j’ai retrouvé par la suite au théâtre. En revanche, je lisais peu. Mes parents n’étaient pas de grands lecteurs et quand j’ouvrais un livre, c’était surtout par obligation à l’école. Je subissais la lecture sans me douter du plaisir qu’elle m’apporterait par la suite. En définitive, c’est grâce au théâtre que j’ai découvert la littérature. Le théâtre a été comme une porte qui s’est ouverte sur d’autres espaces, d’autres horizons.

Comment s’est passée cette rencontre avec le théâtre ?

A. D. : J’en ai un souvenir très précis. Ce jour-là a décidé de ma vie entière. J’avais 10 ou 11 ans, j’étais au collège et j’avais la chance d’avoir une professeure de français qui, au lieu de nous obliger à lire chacun dans notre coin, avait décidé de mettre le théâtre au cœur de sa pédagogie. C’est comme ça que j’ai assisté à ma première pièce : une adaptation de Poil de carotte, de Jules Renard. Ce fut une révélation ! Je ne savais même pas que le théâtre existait. Les acteurs disaient des choses qu’on n’avait pas le droit de dire chez soi. Ils paraissaient libres de penser, de ressentir, de montrer leurs sentiments, leurs états d’âme, de s’exprimer en somme, ce qui ne se faisait pas vraiment dans mon milieu.

Tout à coup, le théâtre m’est apparu comme synonyme de liberté. Ma grande chance a été que cette professeure non seulement nous emmenait voir des spectacles, mais en montait aussi, j’ai commencé comme ça dans L’Enfant et la rivière, d’Henri Bosco, et je n’ai jamais arrêté. J’ai continué avec les copains au collège puis au lycée et à Grenoble, où j’ai suivi des études de lettres et de linguistique. À la fin de mon cursus, on m’a proposé un poste de prof à Oran, en Algérie, mais je ne voulais pas enseigner. Mon rêve, c’était le théâtre, je suis parti à Paris pour le réaliser, j’avais 23 ans.

Le théâtre a donc façonné le lecteur que vous êtes devenu ?

A. D. : Exactement ! J’ai découvert la littérature grâce à mon métier de comédien. Le fait de dire des textes plutôt que de les lire sous la contrainte à l’école m’a permis de développer mon goût pour les livres. Mais cela a été trop tardif… Il y a tant de choses que j’aurais aimé lire ! C’est un manque que j’aurais voulu combler mais j’ai passé plus de temps à travailler et à me satisfaire du métier d’acteur qu’à nourrir cette curiosité de lecteur, née quand j’étais jeune adulte. J’ai une grande admiration pour les autodidactes parce qu’ils n’ont pas de barrières. Alain Resnais était comme ça, il s’intéressait à tout, dévorait tout. Il n’avait pas d’œillères, il se laissait guider par la recherche de la qualité, par la gourmandise.

Et vous, comment choisissez-vous vos lectures ?

A. D. : Je ne suis pas un lecteur compulsif. J’ai l’air de me faire passer pour un grand lecteur (rires), mais je pense que je suis davantage un lecteur d’occasion qui goûte par curiosité ou par plaisir les ouvrages qu’on lui recommande. J’ai une bonne amie avocate qui lit énormément et je me fie très souvent à ses conseils. Dernièrement, comme elle sait que j’ai une fille férue de chiens, elle m’a parlé d’un roman qui vient de sortir : Son odeur après la pluie, que je viens de commencer.

Richard Dumas pour La Croix L’Hebdo

Il est vrai que je lis rarement des textes contemporains. Là aussi, comme pour les films d’ailleurs, j’ai beaucoup de retard à rattraper. En général, j’aime me laisser guider par l’enthousiasme de mon entourage, des personnes avec qui j’ai une sensibilité commune. Je considère que c’est là que se joue la vraie transmission. D’ailleurs, c’est un ami qui m’a suggéré Le Crapaud, que je dis dans le spectacle. Je ne le connaissais pas et je me suis passionné pour ce texte, j’ai eu envie d’en savoir plus sur le contexte dans lequel Hugo l’avait écrit. Il était en exil à Guernesey, ignoré par Napoléon III, et s’identifiait au crapaud…

J’aime aussi m’en remettre aux libraires. Je vais souvent acheter des livres à la librairie Tschann, qui n’est pas très loin de chez moi à Paris et qui est tout le temps ouverte, même le dimanche.

Chez vous, à quoi ressemble votre bibliothèque ?

A. D. : Elle déborde ! J’ai beaucoup trop de livres, à tel point qu’il n’y a plus de place dans les étagères et que beaucoup dorment par terre. Parfois, je commence à faire du tri et j’en dépose dans des boîtes à livres, dans la rue. J’ai un gros travail de rangement auquel je ne parviens pas à m’atteler. Je possède beaucoup de doublons mais j’en ai perdu aussi, il y a des livres qu’on aime, qu’on prête et qu’on ne revoit plus… J’ai des centaines de pièces de théâtre, de Sophocle jusqu’à aujourd’hui, en passant par le théâtre anglo-saxon qui était très en vogue dans les années 1990. J’ai aussi des romans, des nouvelles et beaucoup de poésie.

J’aime les avoir près de moi, comme Marcel Proust, qui les comparait à des amis dont la présence sur les étagères nous accompagne. Je ne lis jamais sur tablette, je ne suis pas du tout à l’aise avec les écrans – même sur le téléphone portable, il y a des tas de fonctions que je ne maîtrise pas – et je ne trouve personne pour m’aider à me familiariser avec ces nouvelles technologies. De toute façon, je pense que rien ne peut remplacer le contact avec le livre, avec le papier. J’aime la sensation d’avoir un livre avec moi et me balader n’importe où avec, riche de la liberté de l’ouvrir, de le refermer quand bon me semble. Je pense même que la langue sonnait différemment quand les auteurs écrivaient au crayon. L’esprit et la main ne voyageaient pas comme sur le clavier d’un ordinateur, cette distinction se perçoit dans le rythme des textes.

Vous avez pourtant enregistré des livres audio, dont une partie d’À la recherche du temps perdu de Proust. Qu’avez-vous retiré de cette expérience ?

A. D. : Quand on me les a proposés, j’ai eu beaucoup de scrupules à réaliser ces enregistrements qui soulèvent de nombreuses questions. Faut-il obliger les lecteurs à entendre un livre d’une certaine façon, bridant ainsi leur imagination ? Les éditeurs songeaient même à nous faire enregistrer les romans sur un mode atonal, pour que l’auditeur ait une chance de recomposer les phrases avec sa propre sensibilité. Mais c’est impossible !

En lisant Proust en particulier, j’ai eu la sensation de lui donner une réalité qui était agréable pour l’auditeur. Moi-même, au gré de cette expérience, je l’ai redécouvert ! Je l’avais lu comme tout le monde mais je l’avais trouvé barbant. Le lire à voix haute a totalement changé ma perception. J’ai découvert son humour, sa légèreté, sa finesse, sa subtilité… En l’incarnant, j’ai appréhendé une richesse que je n’avais pas devinée avec l’œil seul. L’œil est paresseux, il croit avoir compris et transmet l’information au cerveau, en passant parfois à côté de dimensions fondamentales. Quand on dit les choses, on s’y investit davantage et on les savoure en profondeur.

Dans votre spectacle, vous ne lisez pas les textes mais vous les interprétez, ce qui est une tout autre approche. Vous les connaissez tous par cœur, comment faites-vous ?

A. D. : La mémoire est multiple. En ce qui me concerne, elle emprunte le plus souvent la voie de l’émotion. Je ne peux apprendre des textes sans les jouer, les vivre, y associer des images, des sentiments. C’est ainsi que je retiens le mieux les mots, en ouvrant très large les horizons. Quelque chose s’ancre aussi dans le corps.

En effet, dans le spectacle, vous bougez beaucoup…

A. D. : Trop, peut-être ! C’est épuisant. J’ai toujours donné à mon métier d’acteur un aspect physique. Je me dis que ça vient peut-être de mon enfance, à l’époque, vous savez, on emmaillotait les bébés et j’en ai sans doute été frustré. Depuis toutes ces années je me rattrape ! Et puis, le théâtre va au-delà des mots. On a beau connaître son texte sur le bout des doigts, quand les trois coups sont frappés, on est tous des débutants, comme le disait Lucien Guitry.

Un soir, un admirateur est venu le féliciter à la fin du spectacle, lui disant : « Vous êtes formidable jusque dans vos silences. » Il lui a répondu : « Ce sont les miens. » Les silences, c’est le terrain de jeu de l’acteur, là où il peut exprimer tout ce qu’il ne dit pas avec les mots. Ce sont eux aussi qui portent le texte. Tout le corps participe à l’interprétation d’un texte, pas seulement la voix, l’intonation. Le regard, le visage, tout fait vivre un texte. C’est le cas du Crapaud – j’y reviens ! –, où il y a une vraie dramaturgie et qui se vit comme un film.

Que ce soit pour le théâtre ou pour le cinéma, comment abordez-vous un texte, une pièce, un scénario, pour la première fois ?

A. D. : Quand je reçois un scénario ou une pièce de théâtre, je m’enferme chez moi avec le texte. Il ne faut pas que je sois interrompu, j’ai besoin d’aller jusqu’au bout, seul. C’est important pour moi de lire dans la continuité, en silence. Dans ma tête, je joue tous les personnages, j’ai besoin de les vivre, de les ressentir comme si j’étais le premier spectateur du film qu’on me propose. Y compris les didascalies, les choses muettes… Ce n’est qu’à la toute fin que je décide si j’y vais ou pas.

Après ce travail solitaire, avant même le jeu en tant que tel, il y a les premières lectures collectives à la table. Chacun, metteur en scène, comédien, arrive avec ce qu’il a ressenti en amont. On se retrouve dans une quête commune de la vérité des sentiments et, là encore, les mots sont importants ; mais les silences peut-être plus encore.

Quels sont les auteurs qui vous accompagnent dans votre vie personnelle ?

A. D. : Il y en a beaucoup… C’est un inventaire difficile à établir. Je citerais volontiers Diderot, Jacques le Fataliste en particulier, car j’adore l’esprit du XVIIIe siècle. Il y a aussi Hugo, évidemment, Baudelaire, Vigny… Dans la littérature plus récente, Philip Roth, Milan Kundera, Raymond Carver font partie des auteurs qui m’ont marqué et que j’aimerais avoir le temps de relire.

Auriez-vous à votre tour envie de prendre la plume ?

A. D. : (Rires.) Cette question me fait penser à Jean Rochefort, à qui on avait demandé s’il avait écrit. Il avait répondu : « Oui, mais je me suis relu. » Je pourrais me reconnaître dans cette boutade. Aujourd’hui, de nombreuses parois sont devenues poreuses et beaucoup de gens pensent pouvoir écrire. Or, c’est un vrai travail que j’admire profondément. Naïvement, j’ai longtemps cru que lorsque Albert Camus a écrit L’Étranger, il avait été frappé par la grâce et qu’il n’y avait pas fait de rature du début à la fin. Évidemment, ce n’est pas comme ça que cela se passe.

Un jour, j’ai eu une conversation avec Nathalie Sarraute alors que je jouais sa pièce Pour un oui ou pour un non avec Jean-Louis Trintignant. Elle m’a raconté qu’elle était allée à la Bibliothèque nationale de France et avait découvert que Proust avait réécrit 14 fois le premier chapitre de La Recherche. Nathalie Sarraute m’a raconté qu’elle avait lu les 14 versions et qu’elle-même se serait arrêtée à la sixième. Et pourtant, c’est seulement à la quatorzième, et dernière, que Proust a trouvé la célèbre première phrase de La Recherche : « Longtemps, je me suis couché de bonne heure. »

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Ses dates

1946 Naissance à Annecy. Il passe son enfance dans la petite ville de Cruseilles.

1972 Premier prix du Conservatoire national d’art dramatique à Paris. Il passe une saison comme pensionnaire à la Comédie-Française.

1972 Premier rôle au cinéma dans Une belle fille comme moi de François Truffaut.

1998 César du meilleur acteur pour On connaît la chanson d’Alain Resnais, dont il fut l’un des acteurs fétiches.

2001Monstres sacrés, sacrés monstres, spectacle conçu par lui-même à partir d’un florilège de textes.

2014-2019 Joue plus de 400 fois la pièce Novecento, d’après Alessandro Baricco.

2023Sens dessus dessous.

Ses lieux

La montagne et l’océan

« J’étais à Annecy ces derniers jours donc j’ai cette image en tête : le lac avec les montagnes derrière. C’est si beau ! C’est là que je suis né, ce paysage m’apaise. De l’autre côté de la France, il y a l’océan Atlantique et l’île de Ré, où je vais depuis trente-cinq ans. J’aime cette lumière, ce rapport à la nature et le côté insulaire, que je retrouve sur une scène de théâtre. »

Sa pièce

Amours (2), de Joël Pommerat

« J’ai vu cette pièce récemment à La Villette et j’ai été très impressionné par la subtilité du passage du réel à la fiction, c’est magnifique. Je suis admiratif du travail collectif de construction d’écriture entre le metteur en scène et les comédiens : les acteurs sont imprégnés parce que ce sont aussi leurs mots, leur écriture. C’est intelligent et fort dans la pensée, dans le texte et dans la mise en scène. »

Son œuvre musicale

La 7e Symphonie, de Beethoven

« Je l’adore ! C’est avec cette musique de Beethoven que je me réveille le matin. Je voulais l’inclure dans le spectacle sur La Mort du loup de Vigny, mais j’ai renoncé. J’ai fait des essais et le poème ne résiste pas à la musique : on a plus envie d’écouter la musique que le texte. »


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