Emmanuel Macron ou les dangers de la recomposition ratée de la vie politique française

Pourquoi le macronisme n’a-t-il pas réussi à construire une véritable offre politique nouvelle ?

© PASCAL ROSSIGNOL / POOL / AFP

La poutre vacille (et le plafond avec)

Alors que le président comme la Première ministre tentent de reprendre la main, leurs efforts paraissent voués à l’échec, si on les mesure à l’aune de leur capacité à construire une véritable majorité en tous cas.

Atlantico : Selon le dernier sondage de l’IFOP, aucune majorité ne se dégage dans le pays malgré un système électoral conçu spécifiquement pour en construire. Comment l’expliquer ? Est-ce là l’aboutissement de la recomposition échouée engagée par Emmanuel Macron et qui a résulté en une décomposition de la vie politique ?

Christophe Boutin : Emmanuel Macron a certainement une part de responsabilité, mais je crois qu’il serait tout à fait excessif de considérer que la situation que nous connaissons aujourd’hui lui est entièrement imputable. Si aucune majorité ne se dégage dans le pays, si, comme vous le constatez, le système qui avait jusqu’alors permis d’en bâtir ne permet plus d’en dégager, ce n’est pas depuis qu’Emanuel Macron est au pouvoir, et pas uniquement parce qu’il est au pouvoir. C’est parce que la confiance des Français dans le système politique tout entier s’est effondrée au fil des ans - en même temps que s’effondraient d’ailleurs les deux « partis de gouvernement » censés se succéder en une alternance quasi-éternelle, le Parti socialiste d’un côté, les Républicains de l’autre. 

L’implosion politique à laquelle nous assistons vient avant tout de ce que le pouvoir politique s’est refusé à traiter des principales questions qui inquiètent ou angoissent les Français : les fameux trois « I » de l’immigration, de l’insécurité et de l’identité… Cela a conduit à la mise en cause d’hommes politiques et de partis totalement démonétisés, et à la recherche de nouvelles solutions – ou au repli sur soi de l’anomie politique.

Emmanuel Macron, qui avait parfaitement compris cela, a-t-il cherché une recomposition de la vie politique ? Son projet, lorsqu’il prend le pouvoir en 2017, s’intitule, et ce n’est pas un hasard, Révolution. Il est aussi élu après une campagne qui brise un certain nombre de codes, en annonçant un nouveau style de gouvernement. Il devait en quelque sorte « renverser la table » pour donner un nouvel élan au pays. Mais avec qui ? Et pour qui ?

Emmanuel Macron s’est révélé trop à droite, sur le plan économique ou social, pour cette gauche qui l’avait élu - rappelons qu’en 2017 il construit sa base politique sur un premier effondrement du Parti socialiste, qui précède sa déliquescence de 2022 -, lui ajoutant alors le soutien d’un Modem qui espère ainsi se survivre à lui-même. Une gauche qui bronche lorsqu’il nomme au gouvernement des ralliés de la droite ou qu’il mène une politique économique qui fait la part belle à des intérêts financiers étrangers. Mais inversement, cette même politique hérisse la droite conservatrice comme la droite sociale : braderie des « pépites » françaises, subordination à la « souveraineté » de l’Union européenne - et au sein de cette Union européenne, aux diktats allemands -, atlantisme facile, incapacité à défendre les intérêts de la France dans le monde, et notamment en Afrique, voilà qui ne peut que choquer cette droite volontiers, nationaliste, sinon souverainiste. 

D’où des réticences à le rejoindre, mais la recomposition macronienne a très largement dépassé les seuls partis politiques, parce que le nouveau Président avait compris dans sa vie antérieure que la réalité du pouvoir n’était plus là. Il s’est   ainsi rapidement attaqué à la structure même de l’État, démantelant l’un après l’autre les « grands corps » administratifs, des énarques au Quay d’Orsay, menaçant les « grands corps » scientifiques, les réseaux des X-Mines et X-Ponts, déstabilisant l’administration des forêts (ONF) ou celle du nucléaire. À chaque fois la méthode est la même : démanteler une administration nationale pour imposer un nouveau mode de « gouvernance » et de « management » issu du privé, à grand renfort de cabinets de « consultants » étrangers.

Quand les Français se sont rendus compte que la « révolution » macronienne n’était finalement non pas un coup d’arrêt donné aux choix antérieurs, mais une fuite en avant qui, loin de reconstruire la France « archipelisée », les projetait de manière plus violente encore dans un monde dont ils ne voulaient pas, ils ont cherché d’autres solutions. Ils les cherchent encore, mais peinent à le faire en étant soumis à de continuelles pressions et à des stress de plus en plus violents qui les incitent au repli sur soi.

Jean-Sébastien Ferjou : Le sondage IFOP sur les intentions de vote aux prochaines élections législatives montre en effet qu’aucun parti n’aurait de majorité. Et pourtant, effectivement, la France a un système électoral conçu spécifiquement pour en construire. La recomposition du en même temps, du ni droite ni gauche ou et de droite et de gauche a échoué.

La poutre de la recomposition travaille encore disait Edouard Philippe, mais la recomposition à date n’est que superficielle. Après une première vague d’espoirs sincères de renouveau par l’incorporation de personnalités venues de la société civile, le mantra « balai neuf, balaie mieux » d’Emmanuel Macron s’est fracassé sur le mur du réel. Le « soyez fiers d’être des amateurs » n’a rien produit idéologiquement et Renaissance est largement une coquille vide suspendue aux décisions (et plus souvent qu’on le croit, à la procrastination) personnelles d’Emmanuel Macron.

Pourquoi, à partir du constat de partis affaiblis, le macronisme n’a-t-il pas réussi à construire une véritable offre politique nouvelle, avec une cohérence idéologique et une capacité à être un creuset politique ? Est-ce que la majorité a manqué d’efforts en ce sens ? Ou en a juste été incapable ?

Christophe Boutin :Le macronisme est un progressisme, et a en ce sens vocation à allier tous les progressistes, de droite et de gauche, sur un programme pour le dire vite libéral/libertaire – libéral sur le plan économique, mais un libéralisme mondialisé et financiarisé, libertaire sur le plan sociétal, allant ici jusqu’à un déconstructionnisme qui, en s’attaquant aux piliers même de l’ordre social (famille, roman national) n’est jamais que l’idiot utile du capitalisme financiarisé. 

Ce progressisme est un héritier assumé du saint-simonisme du XIXe siècle : culte de la science, primauté de l’économique, expertocratie oligarchique - on n’en finirait pas de lister toutes les citations des hérauts de la majorité macroniste allant dans ce sens. Prétendant réaliser un équilibre au centre, il allait rallier dans le « cercle de la raison » tous les gens de « bonne volonté » - comprendre ceux qui seraient d’accord avec le projet porté par le Président, de droite comme de gauche. Il manifeste traditionnellement, il suffit de relire Saint-Simon, fort peu d’appétence pour la démocratie et ses règles de fonctionnement (comment s’opposer à la Raison, au Vrai et au Juste, sinon au Bien ?), et si les revendications en matière de liberté lui semblent utiles pour déconstruire l’ordre ancien, elles lui semblent cette fois bien inutiles quand il est au pouvoir.

Le problème de la macronie est que cette expertocratie tant vantée a littéralement explosé en vol face aux crises qui se succèdent sans discontinuer, se montrant incapable de les prévoir, ce que l’on peut à la rigueur excuser, nul n’étant capable de prédire l’avenir, mais aussi incapable de mettre en place des filets de protection pour parer à (presque) toutes les éventualités. Crise de l’immigration incontrôlée, crise sécuritaire, crise financière, crise sanitaire, crise internationale, crise énergétique, crise inflationniste, demain crise de l’approvisionnement en eau… les Français, éberlués, voient se succéder sur les écrans des « experts » autoproclamés, des « spécialistes » interchangeables, des « sachants » pontifiants qui ne savent en fait leur expliquer qu’une chose : que demain sera pire et que c’en est terminé de leur mode de vie quotidien – quand ils pensent surtout, eux, que l’on profite de ces situations  pour leur imposer de nouvelles contraintes au profit d’intérêts qui ne sont pas les leurs.

Ne reste que ce chiffre magique de la réduction du nombre de chômeurs qu’Emmanuel Macron et ses ministres brandissent comme un talisman à chaque intervention, mais auquel les Français ne croient guère. Encore une fois, le Président est loin d’être le seul responsable de la situation actuelle, mais la fuite en avant, qui fait partie de sa logique progressiste, comme l'incapacité de choix politique qui se traduit par le célèbre « et en même temps », mettent en doute sa capacité à répondre à ses enjeux. 

Jean-Sébastien Ferjou : Le macronisme n’a construit aucune nouvelle offre politique qui fasse preuve d’une véritable cohérence idéologique. Il s’agit juste d’un vague assemblage sociologique où ceux qui ont le plus à perdre (les diplômés, les hauts revenus et les retraités) s’allient derrière l’étendard de solutions technocratiques portées depuis par 40 ans par le dit cercle de la raison et désormais totalement éculées 

Le problème, c’est qu’à l’intelligence politique du constat premier sur la déliquescence des partis et des syndicats (et qui a permis à Emmanuel Macron de se faire élire au nez et à la barbe de tout l’ancien monde) n’a succédé aucun effort de reconstruction. Les corps intermédiaires sont perçus par le président comme des obstacles à sa volonté ou au fétichisme de « la réforme » et repeints par lui sous les couleurs de lobbies corporatistes. 

À quel point la stratégie politique d’Emmanuel Macron pour 2022 et depuis lors (non campagne, tentative de fracturation de LR via la réforme des retraites) ont-ils contribué à l’accélération du pourrissement de la situation ?

Christophe Boutin :Les choix politiques stratégiques étaient tout à fait logiques. La « non-campagne » a été une belle tactique politique - et Emmanuel Macron n’a pas été le premier à en user. Elle était d’autant plus efficace que le second tour lui donnait une adversaire contre laquelle il pouvait encore espérer que l’on « ferait barrage » - les castors de l’époque étant dès lors mal placés pour se plaindre de la situation actuelle.

Une fois constaté ensuite que, malgré le mode de scrutin - ce scrutin majoritaire uninominal à deux, tours favorable aux partis établis, et, depuis l’inversion de calendrier faisant que les législatives suivent la présidentielle, au parti du nouveau Président -, les élections législatives envoyaient à la Chambre des parlementaires dans un rapport de force qui, s’il n’est pas celui qu’auraient créé des élections à la proportionnelle intégrale, est quand même plus respectueux du poids des diverses formations politiques, l’idée d’élargir la coalition centrale par le ralliement de parlementaires LR était elle aussi une évidence tactique. 

Le « pourrissement » n’a pas été créé par cela, mais ce qui a été révélé un peu plus par ces élections, c’est le hiatus existant entre les Français et les politiques. En ce sens, penser qu’élargir la majorité sans accepter d’écouter les inquiétudes des Français, et de tenter d’y répondre, n’est certes que cautère sur une jambe de bois, mais ne provoque pas, en soi, de pourrissement. Ce qui le provoque, c‘est le refus que font les politiques, depuis des décennies, de répondre aux questions essentielles, beaucoup plus que la question de savoir qui n’y répond pas. Le système oligarchique prend l’eau de toutes parts, et cherche à rassembler ses débris flottants pour subsister quelque temps. Mais les Français constatent qu’il ne s’agit pas de construire avec ceux-ci un « fameux trois-mâts, fin comme un oiseau », mais à peine le radeau de la Méduse. Et que l’on veut avant tout sauver les officiers, et non l’équipage, parmi les membres duquel on tire tous les jours à la courte-paille « qui sera mangé ».

Il n’est pas dit qu’avec une telle tactique la situation ne soit pas finalement… assainie, quand chacun pourra se faire une idée plus juste des questions essentielles à se poser, et de la confiance à accorder à tel ou tel pour les résoudre. En faisant « travailler la poutre » chez Les Républicains, Emmanuel Macron les force à choisir - comme ce sera un jour le cas pour certains socialistes ou écologistes ; parallèlement, sa grande coalition centriste permet aux oppositions de trouver leur ton, de s’imposer, non sur des intérêts – elles savent que le Système ne leur proposera pas de partager le pouvoir -, mais sur des lignes idéologiques ou des méthodes d’action. N’est-ce pas cela faire de la saine politique ?

Jean-Sébastien Ferjou : Un pays incapable de trouver une majorité et qui voit la polarisation et les fractures se creuser est un pays en danger. A avoir voulu jeter le bébé des partis et de la droite et de la gauche avec l’eau du bain de l’épuisement du PS ou de LR, Emmanuel Macron règne sur un champ de ruines. Il serait absurde de lui en imputer l’exclusive responsabilité tant la décomposition vient de plusieurs décennies de renoncement intellectuel et idéologique des partis. Mais force est de constater que sa stratégie politique, aussi bien dans sa tentative de fracturer ce qui reste de LR que dans sa non campagne présidentielle 2022, ont encore aggravé le mal. 

Dans une interview, Edouard Philippe a déclaré : « Je pense toujours qu’il faut une coalition autour de priorités, afin d’élargir notre base politique au-delà de la majorité actuelle. Une coalition avec tous ceux qui se reconnaissent dans le bloc central, des LR aux élus de la gauche qui ne se retrouvent pas dans la Nupes. » Cette coalition des raisonnables appelée de ses vœux par Edouard Philippe est-elle l’inverse de ce à quoi ressemblerait une vraie recomposition politique ?

Christophe Boutin :Non, c’est une manière de gouverner comme une autre, qui a été employé dans de très nombreux pays : former une vaste coalition au centre et, sur cette base, en partant du principe que les extrêmes ne pouvaient – politiquement - se rejoindre, établir sa stabilité. Il peut arriver parfois - en Inde autrefois, en Italie plus récemment - qu’une alliance « contre-nature » des extrêmes ait raison du bloc central, mais ses tensions internes ne lui permettent pas de gouverner bien longtemps. Pour autant, quand l’union « des raisonnables » apparaît surtout être l’union des appétits et des intérêts, en quand, en sus, les projets de cette union centriste sont à rebours des attentes d’une part non négligeable de ses concitoyens, elle ne pourra bientôt plus espérer conserver son pouvoir, face à des mouvements de protestation de plus en plus violents, qu’en usant sans modération de la répression.

Dans ce cadre, la « recomposition politique » par l’agrandissement du bloc central, on l’a dit, serait peu opérante. On peut rassembler des débris de partis anciens, on peut même les laisser éparpillés « façon puzzle » en micro-partis, à la fois pseudo écuries présidentielles et vraies machines à financement, mais ce ne serait efficace que s’il y avait un programme les rassemblant… et un programme qui réponde aux attentes des citoyens. Or, actuellement, nombre de Français ne se reconnaissent, ni dans les politiques, ni dans leurs programmes - si on peut encore parler de programmes, certains n’ayant que de vagues propositions changeantes faites le regard fixé sur la ligne bleue des sondages. 

La « recomposition politique » se fait peut-être plus dans la tête des Français qu’au Parlement, comme le montrerait le taux d’abstention des dernières élections. Au-delà de cette anomie, il y a une tentation d’abandonner les anciens partis de gouvernement, dont certains estiment qu’ils sont devenus totalement obsolètes - et qui, de fait, se montrent incapables de se réinventer -, pour des options plus extrêmes, à droite comme à gauche. Une recomposition qui se fait contre le système politique, pour tenter de trouver de nouvelles voies, et échapper à cette sensation d’étouffement due à ce déclassement dans lequel on semble vouloir dans la réalité, au-delà des grandes déclarations, condamner à vie les Français. La recomposition politique ne se fera peut-être pas par la volonté du peuple. Mais elle ne se fera pas contre elle.

Jean-Sébastien Ferjou : Le président aura beau inventer tous les bidules participatifs qu’il veut, la première ministre réécrire à elle seule la Constitution en jurant qu’on ne la reprendra plus à user du 49.3, les conditions d’une vraie recomposition politique ne sont toujours pas réunies et on peut même arguer du fait que le macronisme en est devenu l’un des principaux obstacles. Comme on l’a encore vu récemment avec l’absurde, paresseuse et dangereuse idée de reconstitution d’un parti unique présenté par Edouard Philippe, jamais à court de contresens politique, et sous les traits d’une très factice union nationale.

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