French theory : la « politique des différences » dans la perspective déconstructionniste

Pierre-André Taguieff publie « Pourquoi déconstruire ? : Origines philosophiques et avatars politiques de la french theory » chez H et O éditions.

© Capture d'écran DR / Youtube

Bonnes feuilles

Pierre-André Taguieff publie « Pourquoi déconstruire ? Origines philosophiques et avatars politiques de la french theory » chez H et O éditions. Qu’est-ce que la « déconstruction » ? Quelles sont les origines philosophiques de ce mot magique, brandi par ceux dont le but est de criminaliser l’Occident en le réduisant à une expression du racisme, de l’esclavagisme, de l’« hétéro-patriarcat » et de l’impérialisme colonial ? Extrait 1/2.

Revenons dans le vieux monde hétéro-patriarcal non encore déconstruit. La pratique militante de la déconstruction s’articule avec la réduction du donné ou du naturel au produit d’une construction sociale, postulat inséparablement constructiviste et anti-essentialiste. Cela vaut pour la race comme pour le sexe, ainsi qu’en témoignent les écrits des théoriciennes du néo-féminisme radical (ou misandre) et du mouvement « queer » depuis le début des années 1990. L’expression « théorie queer » a été forgée en 1990 par l’universitaire italo-américaine Teresa de Lauretis dont le texte fondateur, « Queer theory : Lesbian and Gay Sexualities », paru en 1991, avait surtout pour objectif d’appeler à penser conjointement les différences et de définir une « politique des différences  ». Dans ces écrits académo-militants, Michel Foucault, Jacques Derrida, Jean-François Lyotard ainsi que Gilles Deleuze et Félix Guattari – les co-auteurs de L’AntiŒdipe, publié en 1972 – étaient les principales références philosophiques françaises. En 2006, la psychanalyste Pascale Macary soulignait l’héritage déconstructionniste de la « théorie queer »:

« Le cœur du “queer”, c’est la déconstruction du sexe, du genre, et partant du corps et de la jouissance sexuelle tels que l’un et l’autre sont normalisés, aucun de ces topoï n’étant naturel ou biologique. Le sexe (“biologique”) et le genre (l’identité sexuelle), basés sur le binaire masculin/féminin sont fictions, constructions d’un discours dominant marqué de son hétérosexualité.

Le sujet lui-même est fictif et il s’agira de détruire tout essentialisme déclaré ou caché dans les modes de le penser. »

Notons au passage que les spécialistes étatsuniens de l’éducation ralliés au poststructuralisme emploient l’expression « politique de la différence » en tant que quasi-synonyme de « postmodernisme  » et de «  critique des Lumières  », ainsi que le reconnaît Michael Peters. Le désaveu des Lumières et le rejet de l’universalisme se rencontrent chez tous les théoriciens dits poststructuralistes ou postmodernes, qui ont fondé quelque chose comme une nouvelle religion académique: le culte de la différence. Rudolf Pannwitz, qui se disait disciple de Nietzsche tout en étant tributaire de l’antimodernisme de Stefan George, s’est inspiré de la critique nietzschéenne de la civilisation moderne dans sa conceptualisation pionnière du postmodernisme, notamment dans son livre paru en 1917, Die Krisis der europäischen Kultur, qui lui valut une certaine célébrité. Dans la perspective de Pannwitz, le postmodernisme n’est autre que le nihilisme engendré par l’époque moderne. L’hypothèse interprétative n’a pas vieilli.

Pour comprendre ce vaste remaniement du paysage intellectuel initié par des penseurs perçus comme « subversifs », « transgressifs » ou « radicaux » en ce qu’ils s’engageaient dans une critique radicale de la culture européenne, voire des démocraties libérales-pluralistes occidentales, en dépit du fait qu’ils y bénéficiaient de postes universitaires souvent prestigieux sans jamais craindre d’être sanctionnés pour leurs idées «  subversives  », il faut remonter aux sources de la configuration politico-intellectuelle qu’on a baptisée « French Theory », eu égard au rôle déterminant joué dans la formation de cette dernière par des philosophes français comme Jacques Derrida, Michel Foucault, Jean-François Lyotard ou Gilles Deleuze. Mais il faut avoir à l’esprit que cette « théorie française » est rapidement devenue, dès la fin des années soixante, une « théorie » franco-américaine.

La catégorie la plus englobante étant celle de postmodernisme, la question de sa définition se pose d’entrée de jeu: diagnostic de la fin de la modernité en tant qu’époque, constat de l’épuisement des croyances mobilisatrices des Modernes concentrées dans la vision du progrès ou tentative d’assassinat conceptuel de la modernité et en particulier des promesses des Lumières? Les références à la pensée de Nietzsche apparaissent comme fondamentales dans les écrits de tous les pionniers de la pensée postmoderne, et plus particulièrement chez Deleuze et Foucault. C’est pourquoi l’on peut prendre les lectures françaises «  nietzschéennes  » de Nietzsche, depuis les années soixante, comme le fil conducteur de nos investigations et de nos réflexions sur ce phénomène politico-intellectuel transatlantique qu’est la « French Theory ». Cette mythologisation de Nietzsche suppose de voir en lui « le premier panherméneute » en tant que théoricien du perspectivisme généralisé et de l’interprétation sans limites. C’est à ce titre qu’il a été traité comme un « précurseur » ou un Père fondateur de ce qu’on a appelé la « déconstruction postmoderne », ce type de lecture soupçonneuse qui semble être une pratique textuelle du « mauvais infini ». Tel aura été l’un des avatars contemporains de ce que Nietzsche caractérisait positivement, dans Le Gai Savoir (§ 374), comme « notre nouvel “infini” » et qu’il évoquait ainsi dans un fragment posthume: « Le monde: l’infini de l’interprétation (le déploiement d’une désignation à l’infini). » On ne peut donc pas ne pas interpréter, ni interpréter sans soupçonner ni démasquer, sans fin.

Dans le cadre de ce que George Steiner a justement appelé « notre actuelle culture byzantine », dont le signe distinctif est « le commentaire sur le commentaire, l’interprétation d’interprétations précédentes, la critique de la critique », le moins qu’on puisse dire est que « la confiance n’est pas le signe caractéristique de l’herméneutique ». Michel Foucault en concluait en 1964, dans sa fameuse conférence intitulée « Nietzsche, Freud, Marx », que « la vie de l’interprétation (…), c’est de croire qu’il n’y a que des interprétations ». Il s’ensuit que « l’interprétation est enfin devenue une tâche infinie ». C’est cette herméneutique du soupçon infini que le déconstructionnisme a légitimée dans les milieux académiques, puis diffusée et banalisée dans les milieux de la culture, de la politique et de la communication. Ce qu’on y entend ou lit, en écho de la rhétorique déconstructionniste, mérite d’être caractérisé comme « un jargon vide, un verbalisme cancéreux », ainsi que je me propose de le montrer dans le présent ouvrage.

Dès les années 1965-1970, ces usages de Nietzsche se sont avérés inséparables de certains usages de Heidegger, lui-même commentateur, interprète et lecteur critique de Nietzsche, chez les pionniers du déconstructionnisme. Le mot «  déconstruction » a été introduit dans la langue philosophique française en tant que traduction approximative des mots « Destruktion » et « Abbau », employés par Heidegger. Mais, s’il est clair qu’on ne veut déconstruire que ce qu’on juge critiquable, trompeur ou superflu, le sens du verbe « déconstruire » reste problématique, si l’on ne se contente pas de dire qu’il signifie trivialement quelque chose comme «  réduire un ensemble à ses composantes »: employé comme un intransitif, il reste indéfinissable, car la déconstruction n’est pas une méthode impliquant des règles explicites de lecture des textes; employé comme un verbe transitif, il s’avère équivoque, en ce que déconstruire le logos (ou le logocentrisme), la raison (ou la rationalité), la vérité ou le sujet ne relève pas de la même catégorie conceptuelle que déconstruire les préjugés et les stéréotypes, les mythes ou les discours idéologiques, considérés comme irrationnels et toxiques, et à ce titre rejetés dans les ténèbres d’un passé dépassé ou dans les « poubelles de l’histoire », pour parler comme Marx.

Ceux qui veulent déconstruire les préjugés se réclament de la raison et de la pensée des Lumières, s’inscrivant dans l’héritage de la critique démystificatrice promue par la pensée rationaliste, tandis que ceux qui se proposent de déconstruire le logos ou la pensée occidentale jugée logocentrique retournent la critique démystificatrice des Lumières contre elles-mêmes, mettant ainsi en accusation la raison, réduite à un mythe, que les théoriciens décoloniaux dénoncent comme une invention de l’Europe impérialiste et colonialiste qui n’a pas vocation à être universalisée, chaque tradition culturelle étant dotée de sa propre conception de la rationalité. Cette dénonciation du logocentrisme occidental va de pair avec celle du sexisme ou plus précisément du « phallocentrisme » que ce dernier véhiculerait. D’où, à partir du début des années 1970, l’appel derridien à déconstruire le « phallogocentrisme », ce monstre qui porterait le masque de la Raison. Le thème majeur de la déconstruction, c’est la « déconstruction du phallogocentrisme ».

Il y a donc une déconstruction rationaliste et une déconstruction irrationaliste, cette dernière étant mise en œuvre par Heidegger et ses disciples, dont Derrida a été à la fois le plus « radical  » et le plus prolixe. Au premier abord, la déconstruction derridienne apparaît comme une critique démystificatrice des textes qui les « dynamite de l’intérieur » et, exhibant leurs présupposés (notamment les couples d’opposés qui conditionnent leur fonctionnement) et leurs contradictions, les démantèle, avec pour horizon le « démantèlement de l’Occident », selon l’expression d’un disciple admiratif de Derrida. C’est ce qui lui donne une « touche » nietzschéenne en même temps que le statut d’une préparation intellectuelle au décolonialisme.

Pourquoi déconstruire? La question va tellement de soi qu’elle n’est jamais posée. Esquissons brièvement une réponse globale à la question ainsi reformulée: quelles sont les visées de ceux qui pratiquent la déconstruction et la considèrent comme indispensable? Quatre figures de déconstructeurs peuvent être mises en évidence: 1° Ceux qui déconstruisent pour revenir à l’originaire, ou, plus précisément, pour déblayer le chemin qui mène à l’origine supposée recouverte et oubliée; 2° ceux qui déconstruisent pour dissiper les illusions sur l’originaire, et plus largement sur les catégories fondamentales de la métaphysique, de l’ontologie ou de l’onto-théologie occidentale: l’être, le logos, la vérité, l’identité, la substance, le sujet, etc. ; 3° ceux qui déconstruisent pour rendre possible ou accélérer la marche vers l’émancipation, laquelle représente une tâche infinie et prend la forme d’une révolution permanente; 4° ceux qui déconstruisent pour déconstruire, mus par la joie mauvaise de détruire. On peut ainsi distinguer quatre types de déconstruction: 1° la déconstruction restauratrice, qui s’insère dans un projet de ressourcement ou de renaissance (Heidegger); 2° la déconstruction désillusionnante ou démystificatrice (Derrida et ses disciples); 3° la déconstruction émancipatrice; 4° la déconstruction nihiliste ou érostratique.

Pour les historiens des idées comme pour les historiens de la philosophie, les usages et les mésusages de Nietzsche n’ont cessé de poser un problème sans pareil. Les polémiques récurrentes sur l’œuvre de Nietzsche semblent faire écho au style polémique de la pensée du philosophe qui, dans Crépuscule des idoles (1888), incitait à « philosopher à coups de marteau » pour détruire les idoles, les anciennes comme les nouvelles – en oubliant que ledit « marteau » est aussi un instrument permettant d’ausculter les idoles, à la façon du maillet du médecin. Mais Nietzsche semble avoir prévu les mésinterprétations de sa pensée en écrivant dans Ecce Homo (« Le Cas Wagner », § 4): « Malheur à moi, qui suis une nuance! ». On ne saurait s’étonner que les amateurs de subversion, de transgression et de « radicalité » de tous bords aient été séduits par ce philosophe-guerrier qui a osé écrire: « Insouciant, railleur, violent – ainsi nous veut la sagesse » et a lancé dans Ecce Homo : « Je ne suis pas un homme, je suis de la dynamite. » Ni que les collectionneurs de prophéties de malheur aient été attirés par ce philosophe-prophète qui annonçait l’entrée dans l’âge du nihilisme: « Ce que je raconte est l’histoire des deux siècles prochains. Je décris ce qui vient, ce qui ne peut plus venir d’une autre manière: l’avènement du nihilisme. (…) Cet avenir parle déjà par mille signes, ce destin s’annonce partout108. » Précisons: il s’agit ici du nihilisme conscient, parvenu à la conscience de soi, donc d’une forme historique particulière du nihilisme, long processus qui est loin d’être un rejeton du monde moderne.

Ce double constat m’a conduit à consacrer l’un de mes livres, Les Nietzschéens et leurs ennemis, publié en avril 2021, aux différentes réceptions de la pensée de Nietzsche depuis les années 1890 et aux contradictions de ceux qui se réclament de son héritage ou le mettent au service de causes idéologico-politiques. Ces contradictions et ces instrumentalisations font partie de l’héritage nietzschéen et méritent d’être examinées de près: les contresens eux-mêmes, outre le fait qu’ils nous incitent à lire et relire les textes avec la «  probité philologique  » recommandée par Nietzsche, peuvent être créateurs.

Dans le présent ouvrage, sous la forme d’un long entretien structuré par trente questions, je reviens plus particulièrement sur le rôle joué par les lectures françaises du philosophe allemand, à partir des années 1960, dans la généalogie des pensées dites postmoderne, poststructuraliste et déconstructionniste (ou déconstructiviste) censées constituer ce qu’on appelle la French Theory (ou Theory tout court) non sans m’interroger au passage sur les réinterprétations douteuses des thèmes ou concepts majeurs de la pensée nietzschéenne, tels que la décadence, la « mort de Dieu », le nihilisme, la volonté de puissance, l’éternel retour, le nihilisme, la décadence, la « mort de Dieu », la figure de Dionysos, le « renversement du platonisme » ou le « surhomme », dont s’emparent régulièrement de prétendus « nietzschéens » sur ce « ton héroïcovantard » que Nietzsche abhorrait. On fait le nietzschéen comme on fait le philosophe. Mais, comme le rappelait Kant, « il y a tout de même une différence entre philosopher et faire le philosophe  ». Dans la société du spectacle culturel permanent, les simulateurs, les comédiens et les imposteurs poussent comme les champignons après la pluie. On « joue à », on « se donne l’air de », selon la formule définie par Victor Klemperer dans un tout autre contexte: « Il n’est pas si difficile, dans une langue éminemment cultivée, de se donner l’air d’un poète ou d’un penseur. » Il est très facile de prendre la pose « nietzschéenne » du dynamiteur, surtout lorsqu’il s’agit de faire voler en éclats des textes écrits par des mâles blancs morts depuis longtemps. C’est précisément ce que font avec délectation les déconstructionnistes et leurs disciples décoloniaux ou « wokistes », exerçant une nouvelle forme de terrorisme intellectuel d’extrême gauche, au nom d’un antiracisme et d’un antisexisme vindicatifs, socles d’un nouveau conformisme idéologique.

Au cours de sa discussion avec Richard Rorty en novem bre 2002 à Paris, Pascal Engel a proposé de baptiser «  vériphobes  » les membres d’un ensemble informel de penseurs contemporains, à savoir « les postmodernistes, les relativistes et ceux qui croient que la vérité est un mot creux (…), ceux qui attaquent la vérité et la raison parce que ce sont des valeurs oppressives (mâles, par exemple, dans les polémiques des féministes) » et qui « finissent par être aussi puritains que ceux auxquels ils s’opposent ». Et Engel de souligner que « ce ne sont pas les rationalistes qui font régner la terreur et la censure »: « Ce sont ceux qui nourrissent un soupçon systématique pour des mots comme “vérité”, “raison”, ou “objectivité” (“Cachez avec des guillemets ces mots que je ne saurais voir”). Les mêmes opposants au rationalisme prennent des postures de victimes injustement attaquées par un establishment dogmatique et réactionnaire.  » Faut-il préciser que, près de deux décennies plus tard, la situation s’est aggravée, avec la mode académique postcoloniale et décoloniale qui, en radicalisant le relativisme culturel, y a ajouté un nouveau terrorisme intellectuel à base de rhétorique antiraciste et antisexiste, dont l’argument central est du type: « Si vous n’êtes pas d’accord avec ce que nous affirmons, c’est que vous êtes racistes et sexistes. »

Depuis le dernier tiers du XXe siècle, ceux que j’appelle les « héritiers abusifs » de Nietzsche ne se réclament plus qu’exceptionnellement du fascisme ou du nazisme. Ils se rencontrent principalement dans les diverses mouvances de la culture politique « radicale », qui, s’inspirant notamment de Michel Foucault et de Jacques Derrida, peuplent l’archipel du nouveau gauchisme culturel qui s’est développé et institutionnalisé dans l’espace universitaire étatsunien sous l’étiquette de «  postmodernisme  », matrice d’une forme inédite de politiquement correct désormais mondialisée, le « wokisme », appelé également « culture de la victimisation » ou « vigilantisme ». Référence commune à Foucault, Deleuze, Derrida et Lyotard, Nietzsche a été mis au service de ce qu’il est convenu d’appeler la French Theory, comme en témoignent les trois thèses majeures qu’on rencontre chez ces penseurs: la mort du sujet, la disparition des faits et l’effacement de la vérité – « Il n’y a pas de vérité, il n’y a que des perspectives sur la vérité », affirmait Nietzsche. Ces trois thèses ne se réduisent pas à la simple expression d’un scepticisme. Elles constituent la matrice d’un relativisme radical dans lequel on peut voir une nouvelle expression intellectualisée du nihilisme, un nihilisme parfois revendiqué et célébré comme une promesse.

Extrait du livre de Pierre-André Taguieff, « Pourquoi déconstruire ? Origines philosophiques et avatars politiques de la french theory », publié chez H et O éditions

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