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TÉMOIGNAGES- Notifications intrusives, stress, addiction, perte de temps au quotidien... Les raisons qui poussent à la déconnexion des messageries sont nombreuses.
«Je pars, et c'est signé d'un vieux grincheux né avant les portables.» La décision de Thomas D'Orazio, un père de famille de 51 ans vivant en Pennsylvanie aux États-Unis, a suscité de vives réactions sur Twitter. Ne supportant plus l'affluence de messages sur le groupe WhatsApp qu'il partageait avec sa femme et ses deux filles, il a fini par prendre congé, avec humour. Son dernier message, publié sur Twitter par sa fille, a été vu près de quinze millions de fois : «Je ne peux pas lire tout ça, je ne supporte plus de toujours devoir rire ou aimer ou ajouter des petits cœurs à chaque pensée, photo ou blague publiées ici. Oui, j'aimerai, je rirai, je compatirai toujours avec vous. Mais je ne peux plus vivre avec cette pression, je pars, et c'est signé d'un vieux grincheux né avant les portables.»
Quitter les conversations WhatsApp, Messenger, Teams et autres, ou au moins les mettre en sourdine : une décision à contre-courant dans notre monde hyperconnecté, mais que certains comme Thomas D'Orazio finissent par prendre, pour se libérer du déferlement de notifications, éviter le surmenage professionnel, échapper aux messages balourds des boomers de la famille ou aux selfies ridicules des «millennials»... Un choix qui peut parfois être mal reçu par l'entourage, voire installer un malaise. Pourtant, les bonnes raisons de prendre congé de ces messageries ne manquent pas !
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