« Le corps de l’écrivain est comme une maison » (Tatiana de Rosnay)

Lorsqu'elle est arrivée à notre point de rendez-vous, Tatiana de Rosnay sortait tout juste d'un Covid qui l'avait tenue recluse chez elle. Recluse ? Pas vraiment, non. Car à considérer la passion que la romancière éprouve pour les maisons et, plus particulièrement, la mémoire des murs, il y a fort à parier que l'obligation de rester chez elle ne ressemblait en rien à une prison, bien au contraire. Quand la tanière de l'écrivain se transforme en lieu de ressources, la symbiose est proche.

Symbiose pour la moins fascinante puisqu'une grande partie de l'œuvre de Tatiana de Rosnay est construite sur ce que les lieux peuvent transmettre d'histoires. Comme une continuité de vie en vie. C'est en tous les cas un sujet de prédilection pour celle qui fait partie des auteurs les plus lus en France et à l'étranger. Peut-être parce que l'habitat est ce lieu universel qui nous réunit tous d'une manière ou d'une autre. Peut-être parce que les maisons ont toujours quelque chose à raconter. Un secret à dévoiler. Comme c'est le cas dans le tout dernier roman de Tatiana de Rosnay, Nous irons mieux demain,  paru chez Robert Laffont. Roman, qui, au travers de l'histoire de deux femmes, évoque en miroir un pan de l'histoire de Zola. Et où, bien sûr, il est question de maisons et d'appartements révélateurs de mémoires bien gardées. Rencontre.

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Dans vos romans, la mémoire des lieux est souvent omniprésente au point que parfois les maisons peuvent être perçues comme des personnages à part entière. Pourquoi la mémoire des murs vous intéresse-t-elle autant ?

Tatiana de Rosnay C'est une longue histoire. J'ai tellement tourné autour du sujet, dans tous mes livres, mais sans jamais vraiment trouver la réponse. Gaston Bachelard exprime merveilleusement bien ce rapport aux murs, je le cite : « Non seulement nos souvenirs mais nos oublis sont logés, notre inconscient est logé, notre âme est une demeure et en nous souvenant des maisons, des chambres, nous apprenons à demeurer en nous-mêmes »[1]. C'est absolument fascinant. C'est en cela que les maisons d'écrivains font partie de mes obsessions, parce qu'avec elles, nous pénétrons dans une sorte de triptyque. D'abord, le lieu physique : la maison en elle-même, celle de l'écrivain qui s'est assis à tel ou tel endroit pour travailler. Nous entrons dans sa maison, dans son lieu de vie domestique, ce que j'appelle le cadastre de l'écrivain. En ce sens, il devient une personne comme vous et moi, il est juste quelqu'un qui a vécu dans cette maison.

Puis, il y a le deuxième lieu : le corps de l'écrivain, celui qui me fascine, celui que je suis à la trace en rentrant chez lui, car ce lieu, il ou elle ne l'a pas seulement habité, il ou elle y a construit une œuvre. Le corps de l'écrivain, et je pense de nouveau à Bachelard, est comme une maison dans laquelle la tête est le grenier, le cœur est le système de chauffage et d'irrigation, de canalisation, et puis il y a tout ce que l'écrivain veut cacher qui se trouve parfois dans la cave. Mais ce corps d'écrivain ne dure pas. Contrairement à la maison, l'écrivain, lui, n'est que de passage. Ensuite, vient le troisième tableau du triptyque : le lieu psychique de l'écrivain, ce lieu où il ne peut aller que seul bien sûr, ce lieu où il va tous les jours pour construire son œuvre. Puis le livre paraît et devient la clé que les lecteurs utilisent pour pénétrer dans ce lieu psychique.

Ce triptyque semble vous fasciner...

T.R. Oui. Les maisons d'écrivains me fascinent parce qu'elles ne sont pas seulement la géographie d'un lieu, elles nous projettent aussi dans la vie intime de l'auteur. Qu'est ce qui s'est passé pendant qu'il ou elle a vécu là ? Quels sont les drames qui ont jalonné sa vie ? Ces maisons nous permettent de comprendre à la fois comment ces écrivains que nous aimons investissent des lieux, et comment, ensuite, ils investissent notre tête. Quand ils s'installent dans notre cerveau, lorsque nous découvrons leur livre. Un roman c'est une clé que l'auteur vous donne, même s'il ne vous donne pas toutes les réponses. Pour ma part, je n'aime pas donner toutes les réponses, d'ailleurs on me l'a parfois reproché. Mais en fait, c'est tout simplement parce que je ne les ai pas toutes, c'est à vous chers lecteurs, chères lectrices, d'imaginer aussi. Voilà ce que l'écrivain donne au lecteur : la continuité. Et dans les maisons d'écrivains, il y a cette transmission. Cela me fascine totalement. Je ne suis pas avide de sensations mais le fait divers m'a toujours fascinée. La mort d'Émile Zola, dans sa chambre, je l'évoque d'ailleurs dans mon dernier livre, c'est un énorme point d'interrogation. Et c'est empreint d'une tragédie absolue.

Vous décrivez très bien la scène dans Nous irons mieux demain, roman dans lequel la maison d'Émile Zola à Paris tient une place capitale. L'avez-vous visitée ?

T.R. Oui, j'ai pu visiter la maison rue de Bruxelles. Zola a habité le rez-de-chaussée et le premier étage. Aujourd'hui, c'est l'adresse d'une entreprise[2]. C'est devenu blanc et lisse, il faut un sacré effort pour imaginer ce que c'était, un décor extrêmement chargé car Zola aimait les meubles, les objets, les bibelots.

Quand j'ai visité les lieux avec les deux jeunes directeurs de la société, ils n'avaient aucune idée de ce qui s'était passé dans ces murs. Ils pensaient que Zola était mort dans son lit comme un vieux monsieur. Ce qui n'est pas le cas, et je leur ai raconté l'histoire. Nous étions dans cette grande pièce où des jeunes gens travaillaient derrière leur ordinateur et j'ai commencé à leur expliquer : « Eh bien voilà, là, c'était la chambre de Zola, là, vous aviez la cheminée », en fait, j'ai agi exactement comme le fait Dominique Marquisant, un des personnages de mon roman. Puis, je me suis mise dos au mur et j'ai continué : « Le lit était là, Zola s'est levé, la cheminée était là », tout le monde me regardait, m'écoutait... « Et au moment où il a essayé d'ouvrir la fenêtre, car il ne se sentait pas bien, sa femme a dit "Appelons les domestiques", il a répondu "Non, demain nous serons guéris" », - j'ai un peu triché sur le titre de mon roman puisque je l'ai appelé Nous irons mieux demain -  « et il tombe ». Et je leur montre où il est tombé. Et puis silence. On sait aujourd'hui que la cheminée de la chambre avait sans doute été bouchée par un antidreyfusard et que Zola a succombé à une intoxication au gaz carbonique. Il n'est pas décédé de sa belle mort.

Ce qui est fascinant avec Zola, qui avait l'air comme ça d'être cet écrivain médiatique, parfois conspué, c'est sa double vie. Il n'a jamais pu choisir entre les deux femmes qu'il aimait, sa femme Alexandrine et sa maîtresse Jeanne avec qui il aura des enfants. Cette double vie est restée un secret pendant très longtemps. Zola se partageait entre la maison de la rue de Bruxelles et l'appartement qu'il louait pour sa seconde famille rue Saint-Lazare. Personne ne sait vraiment comment Émile Zola menait cette vie.

Mais le secret fait partie de la combustion, de tout ce que l'on met dans notre cheminée et notre petit bois, d'ailleurs maison et secret sont souvent très liés. Parce que dans les maisons il y a des histoires d'héritage, on y apprend des choses ; et puis il y a ce qui est caché dans une maison, on y découvre parfois des lettres.

Ce qui est en quelque sorte l'une de clés de votre intrigue dans Nous irons mieux demain. Cela dit, évoquer la mémoire des lieux, cela veut-il dire que les murs parlent ?

T.R. C'est une question très intéressante parce qu'il n'est pas question de fantôme. Dans mon roman, Émile Zola n'apparaît pas comme un fantôme. J'ai écrit un livre en 2003, La mémoire des murs, qui est un peu la matrice de tout cela, qui a beaucoup dérangé mon entourage. Ce roman est court et horrible, il retrace le parcours sanglant d'un tueur en série évoqué par le biais de mon personnage Pascaline qui capte ce que les murs ont vécu. Toute sa vie bascule lorsqu'elle emménage dans un appartement qui a été le lieu d'un meurtre. Cette mémoire-là m'intéresse. Mais, dans la vie, nous n'avons pas tous cette sensibilité-là. Moi, je vous le dis honnêtement, je me sens bien ou mal dans un endroit, mais ça ne va pas tellement plus loin.

Vous n'allez pas chercher à expliquer ?

T.R. Non, je pense honnêtement que si j'ai une explication, je n'ai plus de mystère. Maintenant, il y a des lieux qui m'ont fait peur, d'autres qui m'ont tout de suite apaisée. Mais je n'ai jamais été visitée par un fantôme, je n'ai jamais fait de rêve prémonitoire. Jamais entendu de voix, de pas... C'est mon imaginaire qui fait le reste. C'est moi qui raconte les histoires.

Pour autant, la maison est nécessaire, c'est le témoin de l'histoire. Quand on est romancière, c'est fabuleux comme matière. La maison n'est-elle pas aussi un outil pour l'imagination ?

T.R. Bien sûr. Et c'est pour cela que lorsque j'étais enfant je dévorais des romans qui mettaient en scène des maisons comme ceux des sœurs Brontë avec Les Hauts de Hurlevent et le manoir de Jane Eyre, ou encore la plantation Tara avec Scarlett O'Hara dans Autant en emporte le vent, et évidemment l'œuvre d'Émile Zola et ses descriptions magistrales des maisons de tous les Rougon-Macquart. Et, bien sûr, dans Rebecca de Daphné du Maurier, il y a Manderley qui est bien plus qu'une maison puisqu'on a l'impression que Manderley est une chose vivante, qui ne supporte pas la nouvelle Madame de Winter. Ces maisons m'ont toujours attirée. En fait, je sais que les maisons vont toujours m'habiter. J'ai compris que je n'allais jamais me fatiguer de cela. D'ailleurs, dans le livre que je projette d'écrire, tout ce que je peux vous dire c'est qu'il y est question d'un hôtel.

Les Français restent dans un rapport très cocon avec leur maison, la maison refuge, encore plus depuis les confinements... Quel lien entretenez-vous avec votre maison ?

T.R. Je suis profondément attachée à mes endroits de prédilection, j'ai un petit appartement à Paris et une maison en Provence. Depuis le confinement, c'est vrai, pour beaucoup de gens la maison est devenue le refuge. On a appris, on a compris l'importance de la maison. Mais nous, les écrivains, nous sommes souvent des gens extrêmement casaniers. La nature même du confinement n'a pas changé grand-chose pour moi. Car j'étais déjà coincée derrière mon bureau à écrire. En revanche, avec la crise sanitaire, beaucoup ont découvert ce que c'est que de travailler chez soi. On doit adapter, trouver un bureau, un siège confortable, la Wi-Fi doit absolument fonctionner. En fait, les gens ont appris à faire en sorte que leur maison devienne un bureau. Mais pour moi, ça a toujours été le cas. Maintenant, je vous avoue que la promotion des livres reprenant, les voyages reprenant... je vais devoir quitter ma maison. Réapprendre l'extérieur. J'avais pourtant une habitude absolue des chambres d'hôtel, du train, de l'avion, entourée de toute une équipe, mais j'ai perdu cette habitude. Je ne sais plus faire ça. En fait, j'ai l'impression que ma maison me ressource, me protège. Avant le Covid, je considérais mon petit appartement sous les toits comme une tanière ; aujourd'hui, c'est vraiment un cocon, j'ai du mal à en partir. C'est mon refuge. Et en même temps, j'adore les voyages, j'adore rencontrer mes lecteurs, c'est merveilleux, mais je vais devoir m'affranchir et reprendre le chemin des rencontres. Car rester chez soi, ce n'est pas la vraie vie.

Votre maison en Provence, c'est votre maison d'écrivain à vous ?

T.R. Oui. Et je ne dis jamais où elle. C'est une petite maison de berger, c'est un endroit refuge. Il n'y a pas de réseau, donc le téléphone ne fonctionne pas, l'électricité saute dès qu'il y a un orage et il faut s'éclairer à la bougie. Et puis, il y a ce monde animal totalement sauvage qui peut faire peur à une Parisienne qui n'a pas l'habitude. C'est peuplé de chauves-souris, renards, couleuvres, vipères, sangliers, putois, chats sauvages... En fait, cet endroit est l'endroit parfait pour ne pas être joignable. J'y travaille beaucoup. C'est une vieille maison qui est lézardée de partout, elle est construite sur une colline, elle est impossible à décrire. J'y suis très attachée.

Comme l'étaient d'autres écrivains à l'égard de leur propre maison...

T.R. Oui. Daphné du Maurier était viscéralement attachée à sa maison. Elle disait d'ailleurs : « J'aime plus Menabilly que les gens. » Quand elle arrivait dans sa maison, elle embrassait les murs. Virginia Woolf, aussi, avait absolument besoin de ce point d'ancrage, cela est très présent lorsque vous visitez sa maison Monk's House. Tout y est extrêmement bien préservé, comme si le temps s'était arrêté. Parce que les personnes qui entretiennent la maison aujourd'hui sont comme les gardiens du temple.

Quand la maison devient temple, on y vient pour se recueillir alors...

T.R. On y vient pour partager une sorte de communion en fait. Pour venir rendre hommage à une personne qu'on admire. Comme un pèlerinage. Et même quand tout a changé, quand le décor n'y est plus, ce qui est le cas rue de Bruxelles, eh bien, pour les fans fervents comme moi, il y reste toujours quelque chose, comme cet escalier qui avait disparu et qui a été retrouvé, c'est Zola qui a fait installer cet escalier en bois monumental. On peut lire dans ses lettres à Alexandrine comment il prenait très à cœur de s'occuper de la maison. C'était quelqu'un pour qui la maison n'était pas seulement un statut social. Il en prenait soin. Comme on prend soin de soi. Et on en revient à Bachelard : notre corps est une maison. Notre âme est une maison. Et je crois que cela me fascinera toujours.

[1] in La poétique de l'espace, 1957.

[2] Il s'agit du siège social de Colonies, spécialiste de l'habitat partagé.

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