Pour la Génération de l’après #MeToo, non, c’est non

Quand on lui demande comment il a fait le premier pas, il se marre. « Ce n’est pas moi qui l’ai fait, c’est elle. Nous étions avec des amis communs et je n’osais pas lui parler. Elle est venue vers moi avec un grand sourire. » C’était il y a plus de trois ans. Aujourd’hui, Lucas Velez, 22 ans, et Lucia Hourst, 21 ans, vivent toujours chez leurs parents respectifs. Les deux étudiants en master 2 – lui à la Sorbonne, elle à Nanterre – envisagent une vie de couple, mais pas avant d’avoir chacun goûté à son indépendance. Ils font partie de cette génération qui a grandi avec #MeToo et considère le féminisme comme une évidence. Lucas se souvient de l’onde de choc, il y a cinq ans. « Les violences sexistes et sexuelles, je savais que ça existait. Mais je ne me rendais pas compte de leur importance. Dans mon entourage familial, certains pensaient qu’il y avait beaucoup de fausses accusations. Moi, je ne comprenais pas comment on pouvait mentir sur un tel sujet. »

En octobre 2017, l’actrice Alyssa Milano, à la suite de l’affaire Weinstein, relance le hashtag MeToo, créé par Tarana Burke en 2007. Elle entend visibiliser la parole des femmes victimes de viol, d’agression et de harcèlement sexuel via les médias. S’ensuivent près de deux millions de commentaires en 24 heures. Un véritable renouveau du féminisme était né. Et avec lui une remise en question profonde des rapports entre femmes et hommes, particulièrement parmi les nouvelles générations. Lucas a reçu une éducation très genrée, où les garçons devaient jouer à la guerre et sauter partout. « Je suis toujours en train de déconstruire », sourit-il. Lucia, elle, s’est beaucoup interrogée sur la notion de consentement, surtout en ce qui concerne la sexualité. « Je me suis aperçue qu’il était facile de passer au-dessus du consentement de l’autre. Même au sein d’un couple. C’est très répandu. J’ai souvent entendu : “Moi, je n’avais pas envie mais, bon, j’ai fait plaisir.” Personne ne l’a vécu comme une agression. Mais c’est important de se questionner », reconnaît-elle.

Persistance des dominations

Le consentement, Emma Meulenyser, n’en avait jamais entendu parler avant #MeToo. La jeune étudiante en histoire, installée au Royaume-Uni dans le cadre d’un échange Erasmus, est depuis, elle aussi, très sensibilisée à la question. « Grâce à ce mouvement, les violences conjugales, le consentement sont devenus des sujets à part entière. On peut aujourd’hui poser plus facilement nos limites. » Elle remarque qu’il existe encore des comportements de domination. « Certains, avec leur façon de draguer, d’avoir des relations sexuelles, montrent bien que oui, ce sont eux les hommes. » Elle se souvient que, il y a quelques années, elle n’a pas su dire non alors qu’elle aurait dû. Pis. « Avec un garçon, mon non a été difficile à comprendre. Il pensait que ça voulait dire oui. Je l’ai vécu comme une agression. » Dans son livre-enquête « Ce que nos filles ont à nous dire » (1), la journaliste Florence Pagneux le constate : « Dans le sillage de #MeToo qui dénonçait les violences sexuelles, les jeunes dénoncent plus largement la violence des choix imposés, des normes et défendent la liberté d’être, que ce soit pour son orientation sexuelle ou pour son genre. Ces jeunes veulent pouvoir être entendus et considérés pour ce qu’ils et elles sont. Ils et elles exigent de sortir des codes normés et des traditions pour faire leurs propres choix et avoir leurs propres pensées. »

« Parler des règles n’est plus tabou »

D’aussi loin qu’il se souvienne, Vincent Petit, 23 ans, a toujours fait attention à respecter l’autre. Mais #MeToo a néanmoins représenté pour lui une vraie prise de conscience. « Certaines remarques, certains comportements sexistes au cinéma, dans les vidéos pouvaient me faire marrer. Aujourd’hui, tout cela me paraît tellement déplacé. » De même, il se dit bien plus attentif à sa façon de s’exprimer. D’autant qu’il évolue dans un milieu plutôt macho. Musicien professionnel, il est conscient que les femmes ne sont pas considérées de la même manière que les hommes. « Quand on ouvre n’importe quelle plate­forme, tous les grands artistes connus sont des hommes. Les femmes sont toujours reléguées à leur genre. On leur demande d’être jolies alors qu’un mec, il faut juste qu’il soit bon musicien. »

C’est ce sexisme latent qui a poussé Clara Doe, 25 ans, à changer d’employeur. Celle qui œuvre dans la production audiovisuelle, les jeux vidéo ne supportait plus les « baby » adressés par son ancien patron aux jeunes salariées. Elle l’assure : « Ce n’était pas une ambiance de travail dans laquelle on pouvait se sentir en sécurité. » Dans cette petite entreprise, l’embauche de femmes – jeunes et inexpérimentées – était monnaie courante. « Ce qui les rendait malléables, obéissantes », dit-elle. Elle y voit là une forme de domination, de manipulation. « En tant que femme, j’ai grandi avec l’idée qu’il fallait se taire, être docile. C’est quelque chose que nous intériorisons. Ce qui n’est pas le cas pour les hommes. » Elle se souvient d’un sexisme ambiant, même si la direction faisait bonne figure en dénonçant le scandale Weinstein et plus généralement les dérives dans le monde du cinéma. Et de se vanter de travailler essentiellement avec des femmes… Effet #MeToo, avant de partir, elle ne se prive pas de balancer tout le mal qu’elle pense du comportement délétère de la direction. Pendant longtemps, Clara a eu la désagréable sensation de ne pas être écoutée par les hommes, tant dans ses relations amoureuses qu’amicales. Comme si la parole d’une femme ne pesait pas le même poids sur la balance. Ce n’est plus vrai aujourd’hui. « Est-ce grâce à #MeToo ou parce que j’ai grandi ? Je ne sais pas. » Elle a quand même l’impression que les femmes sont désormais plus libres d’enseigner aux hommes les problématiques qui leur sont inhérentes. « Parler des règles menstruelles n’est plus aussi tabou. » Mais elle ne se fait pas d’illusions. « C’est toujours le même combat. Après #MeToo, en 2020, le réalisateur Polanski a été césarisé. Alors beaucoup se sont dit que tout ça ne servait pas à grand-chose. »

De fait, reconnaît Mina Rigal, 24 ans, du collectif #NousToutes, « à la fois les choses avancent, avec des victimes de violences sexuelles et sexistes qui témoignent et reçoivent un espace médiatique, mais les réponses restent parcellaires ». La réalité peut paraître déroutante : les jeunes adultes et adolescents sont toujours particulièrement touchés par ces violences. Selon une étude de l’association En avant toutes, 47 % des violences sexistes et sexuelles au sein du couple se passent entre 16 et 20 ans. « On voit bien que la réponse des pouvoirs publics n’est toujours pas à la hauteur. Cinq ans après #MeToo, c’est assez rageant », dénonce la jeune militante.

Prévention et éducation

Depuis sa création en 2018, le collectif, qui regroupe citoyens et associations, se bat notamment pour la prévention et l’éducation. En septembre 2021, il réalisait une enquête sur les heures d’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées. Une éducation obligatoire depuis 2001. « Nous avons constaté l’absence quasi totale de l’application de la loi, tant sur le plan qualitatif que quantitatif. Et ce depuis vingt ans. Il s’agit pourtant de cours qui permettent d’apprendre dès le plus jeune âge la notion de consentement, celle d’une relation sereine et sans violence, qui alertent sur les violences sexistes et sexuelles, etc. Et quand ils ont lieu, ça marche. » Emma Meulenyser approuve : « Il faut vraiment éduquer les jeunes ! » De toute sa scolarité au collège et au lycée, elle n’a eu en tout et pour tout que trois interventions, dont deux sur la contraception. « Mais rien sur le consentement », souffle-t-elle.

Ce qu’il reste encore à déconstruire

Alors, de guerre lasse, beaucoup vont puiser dans les réseaux sociaux ce qu’ils ne trouvent pas ailleurs. Avec les dérives que cela comporte. « Très jeunes, note Emma, certains vont se construire avec des images pornographiques et ils ne prendront pas de recul. » Selon une étude du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes de mars 2022, les sextos, nudes ou dickpicks constituent un phénomène très répandu puisqu’un tiers des jeunes de 17-19 ans interrogés affirment en avoir déjà envoyé. De façon générale, tous témoignent d’un manque criant d’information et d’éducation sur l’égalité, le respect de l’autre, le consentement, la vie relationnelle sexuelle et affective.

Cinq ans après #MeToo, ils sont encore un tiers des jeunes hommes à considérer que, lorsqu’une femme dit non à une relation sexuelle, elle veut en réalité dire oui. Florence Pagneux insiste : « Malgré les avancées sociétales et culturelles, la culture du viol n’a visiblement pas disparu. L’éducation à l’égalité, au respect du corps et à la sexualité semble alors plus que jamais indispensable. »

Irène Théry : « On voit progresser une interrogation des jeunes des classes populaires sur ce qu’est la masculinité »

La sociologue du droit, de la parentalité et du genre Irène Théry revient sur ce qu’elle nomme la nouvelle civilité sexuelle portée par le mouvement #MeToo et les jeunes générations.

Peut-on parler d’une révolution #

MeToo

 ?

L’enracinement était déjà là bien avant 2017. Une première campagne #MeToo avait été lancée en 2007 par Tarana Burke pour dénoncer les abus sexuels et les viols à l’encontre des femmes noires. J’ai participé en tant que jeune femme au mouvement féministe des années 1970 et je trouve qu’il existe une continuité entre les luttes menées par ma génération sur l’égalité des sexes, la libération sexuelle, pour l’avortement, contre le viol, et le mouvement actuel. Les jeunes générations apportent quelque chose de nouveau à ce combat. Et la révolution, c’est l’avènement d’une nouvelle civilité sexuelle du consentement organisée par la valeur de l’égalité des sexes. Elle commence dans les années 1970, mais #MeToo en est un approfondissement décisif.

En quoi consiste cette nouvelle civilité sexuelle ?

#MeToo n’est pas qu’un mouvement de lutte contre le viol et l’agression sexuelle. Il a d’ailleurs deux grands mots d’ordre : « La honte doit changer de camp », qui vise la dénonciation d’un continent immense de violences sexuelles et sexistes autrefois cachées, enfermées dans la honte et considérées comme les questions privées. Mais aussi « Éduquez vos garçons », qui concerne la civilité ordinaire et qui est celui par lequel les manifestantes sur leur tee-shirt remplacent l’ancien mot d’ordre « Protégez vos filles ». Cela veut dire qu’il n’y a pas de fatalité à reproduire sans cesse une sexualité masculine de conquête, voire de prédation, contre laquelle les filles devraient se protéger ou être protégées. Il y a cette idée que, dans une société d’égalité, on peut attendre des garçons qu’ils se comportent avec toutes les filles avec le même respect que celui qu’ils témoignent à quelques-unes d’entre elles. Cette nouvelle civilité sexuelle passe par une réhabilitation de la sexualité en général. Avec la prise de conscience que la dissymétrie des sexualités masculine et féminine est d’abord sociale, héritée de la tradition où les jeunes femmes respectables devaient arriver vierges au mariage et rester prudes, alors que les hommes devaient s’initier au bordel et jeter leur gourme chez les filles « faciles » en dehors de leur épouse. On a commencé à rompre avec tout ça dans les années 1970, et les nouvelles générations vont plus loin en disant qu’il faut en finir avec l’idée que la vocation des garçons est d’« importuner » les filles et que ce serait à elles de se défendre. C’est le consentement asymétrique qui est dangereux car « céder n’est pas consentir ». Si nous sommes vraiment égaux, le consentement de la femme doit être libre et pas simplement un acquiescement à quelque chose qui viendrait toujours de l’homme.

Est-ce que cette prise de conscience n’est pas réservée à une certaine catégorie sociale ?

On peut avoir le sentiment que #MeToo se concentre dans les secteurs les plus privilégiés de la société, mais c’est un effet d’optique. Il est bien plus dur pour les femmes de dénoncer leurs agresseurs s’ils sont comme elles dans des milieux qui se pensent déjà stigmatisés. Surtout quand on leur dit, en invoquant une autorité religieuse, que tout doit se régler dans l’entre-soi communautaire. Mais je pense que le mouvement #MeToo est transversal à la jeune génération et qu’il émerge aussi dans les classes populaires. C’est un cliché d’imaginer que, dans les quartiers populaires, il n’y a que des machistes et des tournantes. On voit progresser toute une interrogation des jeunes des classes populaires sur ce qu’est la masculinité, l’idée qu’elle peut être autre chose que l’intimidation par la force physique.

On constate que beaucoup de jeunes hommes se remettent aussi en question…

Oui. #MeToo est d’abord porté par les jeunes femmes, mais avec une implication très forte des jeunes hommes. Ils ne se reconnaissent pas dans le macho traditionnel. C’était le modèle de virilité de grand-papa mais pas le leur. Un des enjeux de #MeToo, c’est de ringardiser le relou. La virilité peut s’exprimer dans le respect des femmes et ils inventent une nouvelle masculinité. Ceux qui disent : « Avec ces néoféministes, on ne sait plus comment aborder les femmes » ne sentent pas le monde qui change.


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