Soupçon chimique sur les opérations d’Erdogan contre les Kurdes en Irak et en Syrie

L’arrestation de Şebnem Korur Fincanci, il y a quelques semaines, a provoqué la stupéfaction en Turquie et bien au-delà de ses frontières. La présidente de l’Union des médecins de Turquie (TTB), un syndicat qui rassemble 80 % des praticiens du pays, a été emprisonnée le 27 octobre dernier. Elle est accusée de « propagande terroriste » pour s’être prononcée en faveur d’une enquête sur les allégations d’usage par l’armée turque d’armes chimiques contre les combattants du PKK dans le nord de l’Irak. Incarcérée dans une prison de la banlieue d’Ankara, elle encourt jusqu’à sept ans et demi de prison.

Cette sommité de la médecine légale, très respectée par ses pairs, fut l’une des principales rédactrices du Protocole d’Istanbul, un document onusien de référence sur la façon d’identifier et de documenter les séquelles de torture. Une semaine avant son arrestation, fait inhabituel, les autonomistes kurdes du PKK avaient diffusé une liste de 17 noms accompagnés de photographies, des « martyrs » ayant succombé, selon l’organisation, à l’inhalation de gaz toxiques lors d’opérations turques dans le nord de l’Irak.

Hilarité, vomissements, agonie

« Désinformation », objectait aussitôt Ankara, en procédant à une vague d’arrestation parmi les journalistes kurdes s’étant fait l’écho de ces accusations (1). Şebnem Korur Financi avait expliqué avoir « regardé et examiné les images » de ces possibles victimes, selon elle, de « gaz toxiques », en jugeant ces allégations assez sérieuses pour justifier l’ouverture d’une « enquête indépendante ». « À la place, ils ont ouvert une enquête à mon encontre. Ce n’est pas étonnant. À travers moi, ils intimident la société », avait-elle réagi en apprenant l’ouverture par le bureau du procureur général d’Ankara d’une instruction la visant.

L’exposition à de fortes concentrations de M-CPP peut conduire à la mort, une mort atroce. » Beppe Josef Savary-Borioli, membre de l'ippnw

Parmi les images qui ont semé le trouble, il y a cette vidéo, diffusée par le PKK, montrant d’abord une combattante en proie à une crise d’hilarité, puis un combattant agonisant, pris de vomissements et secoué de mouvements désordonnés. « Il est impossible de poser un diagnostic sans appel sur la base de seules images. Mais la substance qui me vient à l’esprit en voyant ces scènes, c’est le M-CPP (metaChlorophenylpiperazine), un agent très toxique, que l’on trouvait autrefois dans des tablettes pour allumer le feu, commente le docteur Beppe Josef Savary-Borioli. Ce composé peut susciter l’hilarité, comme on le voit chez cette combattante prise de fou rire, mais il peut aussi provoquer des cauchemars. Et à des dosages élevés, il peut conduire à un tableau clinique semblable à celui que présente le combattant filmé ici : coma, hyperventilation, crampes, crise épileptique. L’exposition à de fortes concentrations peut conduire à la mort, une mort atroce. »

Ce médecin suisse, qui affiche quarante ans d’expérience dans le domaine de la médecine d’urgence, s’est rendu dans le nord de l’Irak du 20 au 27 septembre pour l’Association internationale des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (International Physicians for the Prevention of Nuclear War, IPPNW). Une mission qu’il conduisait avec l’un de ses confrères allemands, Jan van Aken, ancien inspecteur de l’UNMOVIC, le corps onusien qui avait conduit les investigations sur les massacres chimiques de Saddam Hussein contre les Kurdes. Objectif : tenter de recueillir des informations et des éléments matériels sur les allégations d’usage d’armes chimiques par l’armée d’Ankara. Mais ces médecins se sont vus interdire l’accès aux zones montagneuses qui sont le théâtre d’opérations turques et d’éventuelles attaques de cette nature. Fin de non-recevoir du PDK du clan Barzani, allié de la Turquie, qui domine le gouvernement régional kurde. Faute de pouvoir recueillir des échantillons ni de rencontrer des victimes éventuelles, combattants du PKK ou civils, cette mission a toutefois rassemblé des « preuves indirectes de possibles violations de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques », ratifiée par la Turquie.

Une substance toxique à laquelle le régime de Bachar al-Assad a eu recours en Syrie

Parmi ces « preuves indirectes », des images pour le moins troublantes. Celles, d’abord, sur un site abandonné précipitamment par des militaires turcs après la reprise d’une position par le PKK, de fûts d’acide chlorhydrique et d’eau de javel, des agents entrant dans la composition du gaz chlore, une substance toxique à laquelle, par exemple, le régime de Bachar al-Assad a eu recours en Syrie. Sur les mêmes lieux se trouvaient des cartouches pour masques à gaz de type C2A1, un modèle spécial pour la protection contre les agents biologiques et chimiques. « La question se pose de savoir pourquoi les soldats turcs auraient dû se protéger d’agents chimiques. Jusqu’à présent, le gouvernement turc n’a pas accusé le PKK d’utiliser la guerre chimique dans le nord de l’Irak, commente dans son rapport la mission germano-suisse de l’IPPWN. Pour être clair : la présence de ces trois éléments ne prouve pas quoi que ce soit. En théorie, le liquide contenu dans les récipients aurait pu être utilisé comme agent de nettoyage, et le masque à gaz pourrait juste avoir été utilisé lors du nettoyage des latrines. Mais la présence de ces éléments dans cette combinaison et exactement à cet endroit soulève au moins des questions qui justifient d’autres enquêtes indépendantes. » Remarque assortie de cette mise en garde : « Les photos (et les vidéos des mêmes découvertes) ont été produites par des membres du PKK, elles ne peuvent donc pas être considérées comme des documents indépendants ou impartiaux. »

D’autres images viennent nourrir les soupçons, comme celles de militaires turcs installant, à l’entrée d’une cavité rocheuse, un tube d’un diamètre significatif, relié à ce qui semble être une soufflerie. « Le but de cette opération reste peu clair, mais il n’y a que très peu d’utilité pour un tel instrument autre que de diffuser une sorte de matière gazeuse », écrivent les médecins allemands et suisses dans leur rapport de mission. 

« Détruire les nids de terroristes un par un »

Ce n’est là qu’un aperçu de la guerre des grottes que l’armée turque livre à la guérilla kurde dans les montagnes du nord de l’Irak pour éliminer par enfumades ses combattants. Ce procédé pourrait d’ailleurs expliquer le nombre élevé d’attaques chimiques présumées qu’avancent les organisations affiliées au PKK : 1300 depuis le mois d’avril 2021. Des vidéos enregistrées par des membres du PKK montrent ainsi des soldats turcs générant des panaches d’épaisse fumée noire à l’entrée de grottes où sont retranchés des combattants. Impossible d’identifier la nature des matériaux en combustion, ni d’établir avec certitude si des vapeurs toxiques sont ainsi diffusées pour tenter de déloger les occupants de leurs abris. Mais le pouvoir turc lui-même assume ce modus operandi : depuis le lancement de vastes opérations visant les positions du PKK et de ses alliés dans le nord de l’Irak, le ministère turc de la Défense, Hulusi Akar, un ancien chef d’état-major des armées, se flatte régulièrement dans ses communiqués d’avoir rendu « inutilisables » plusieurs centaines de « grottes, bunkers et abris », et, par ce procédé, de « détruire les nids de terroristes un par un ».

Plus explicite encore, dès le 14 février 2021, à la suite d’une opération aux allures de fiasco dans les Monts Gara, en territoire irakien, qui s’était soldée par la mort de 13 soldats turcs capturés quelque temps plus tôt par la guérilla kurde, il avait assuré devant le Parlement que ses troupes n’avaient fait usage « que de gaz lacrymogènes », seulement « à l’entrée de la grotte » : « Pas question d’utiliser d’autres armes ». Seulement voilà, si l’usage de gaz lacrymogène est légal et largement répandu comme moyen de répression policière contre des populations civiles, il est prohibé en contexte de guerre par la Convention sur l’interdiction des armes chimiques. L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OPCW) précise d’ailleurs sur son site que « les gaz lacrymogènes sont considérés comme des armes chimiques s’ils sont utilisés comme méthode de guerre ».

Les civils, victimes collatérales de ces armes interdites

Le 6 septembre 2021, le journal le plus important du Kurdistan irakien, plutôt proche du PDK et de son gouvernement régional, rapportait l’hospitalisation deux jours plus tôt d’une famille de trois membres, après des bombardements turcs dans la province septentrionale de Duhok. Les six bombes larguées alors à proximité du village de Hirore, dans le sous-district de Kani Masi, avaient produit, selon les témoins, « une fumée nauséabonde » de couleur noire pour l’une, jaune pour les autres. Abdullah Hassan, un ancien peshmerga, son épouse Hadiya Mustafa et leur fille Zhiman avaient été hospitalisés deux heures après l’arrivée de cette fumée dans leur maison. « Ils avaient des problèmes respiratoires. Leurs yeux étaient larmoyants et douloureux. Deux d’entre eux se sont sentis nauséeux et étourdis. C’était étrange pour moi de voir qu’un bombardement pouvait provoquer ces symptômes », avait déclaré au média kurde le Dr Rasul Mohammed, qui leur avait prodigué les premiers soins. Depuis lors, l’enquête promise par les autorités a été enterrée, et une pression continue s’exerce sur ces patients à la santé toujours instable, priés de se faire discrets.

Les membres de la mission de l’IPPNW n’ont pas été autorisés à rencontrer des civils présentant des symptômes similaires. « Le gouverneur de la région où nous souhaitions nous rendre a fermement refusé de nous laisser passer les derniers check-points. Lorsque nous lui avons indiqué les noms des personnes que nous souhaitions rencontrer et ceux de leurs villages, une ombre est passée sur son visage : nous avons bien compris qu’il connaissait parfaitement ces cas. Il nous a dit qu’il n’y avait pas d’armes chimiques, que c’était trop dangereux, qu’il ne pouvait pas garantir notre sécurité », raconte le Dr. Beppe Savary-Borioli.

Rien n’avait filtré non plus en France, lorsqu’à la fin de l’année 2019, Paris avait accepté d’accueillir, à la demande du gouvernement régional kurde d’Irak, un enfant de 13 ans présentant des brûlures atroces après des bombardements turcs à Ras el Ain, dans le nord de la Syrie. L’adolescent, soigné à l’hôpital militaire Percy, à Clamart, présentait tous les symptômes d’une possible exposition au phosphore blanc. Le résultat des examens pratiqués sur lui était resté secret et son père, qui l’accompagnait, avait été tenu à distance de tout interlocuteur. Quelque temps auparavant, suite aux allégations d’usage par la Turquie de munitions au phosphore blanc au cours de l’opération « Sources de paix » censée créer une « zone de sécurité » de 30 kilomètres en territoire syrien le long de la frontière turque et surtout destinée à étrangler l’Administration autonome du Rojava, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) s’était dite « consciente de la situation » et disposée à « collecter des informations concernant l’utilisation éventuelle d’armes chimiques ».

Une démarche aussitôt enterrée : la substance mise en cause, le phosphore blanc -qui s’enflamme au contact de l’air-, étant considérée non pas comme une arme chimique, mais comme une arme incendiaire. Son usage est toléré pour générer des écrans de fumée le jour et éclairer des opérations nocturnes, mais il est illégal de l’utiliser contre des civils, stipule le Protocole onusien sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi des armes incendiaires. À l’époque, le ministre turc de la Défense Hulusi Akar avait d’ailleurs joué sur cette zone grise pour opposer une réponse équivoque à l’accusation de recours au napalm et au phosphore blanc contre des civils au Rojava : « C’est un fait connu de tous, il n’y a pas d’armes chimiques dans l’inventaire des forces armées turques ». Au même moment, la Turquie, très loquace au sein de l’OAIC pour dénoncer les crimes de guerre de Bachar al-Assad, se flattait d’apporter sa contribution financière au lancement des travaux de construction du Centre pour la Chimie et la Technologie de cet organisme.

Études épidémiologiques et enquête internationales

Pour faire toute la clarté sur ces allégations d’usage d’armes chimiques, il est indispensable, jugent les médecins de l’IPPNW dans leur rapport, de disposer de « preuves définitives », à charge ou à décharge. Cela impliquerait, soulignent-ils, des « enquêtes épidémiologiques approfondies comprenant des analyses en laboratoire, soit d’échantillons environnementaux (y compris des restes d’armes, de terre ou de vêtements), soit d’échantillons médicaux comme le sang, l’urine ou les cheveux ». Faute d’une telle enquête, concluent-ils, « il est impossible d’évaluer la validité des allégations de l’utilisation d’agents chimiques comme armes. » Au Parlement irakien, des voix s’élèvent désormais pour demander que soient conduites des investigations. Sans garantie de voir cette exigence trouver un écho auprès du nouvel exécutif.

« Il y a suffisamment d’indices pour qu’un État demande une investigation officielle, sous l’égide du secrétariat général de l’ONU ou sous l’autorité de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques », insiste le Dr. Beppe Savary-Borioli.

Sollicité par L’Humanité, le Quai d’Orsay répond que « la France ne dispose pas d’informations » sur d’éventuelles violations par Ankara de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques, tout en soulignant « l’attachement » de Paris « à la souveraineté de l’Irak et à la stabilité de la Région autonome du Kurdistan en son sein. »

Dans une question écrite à la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, le sénateur communiste Pierre Laurent plaide de son côté pour que la France saisisse l’ONU, les accusations pesant sur la Turquie étant assez « graves » et « sérieuses » pour justifier selon lui l’ouverture d’une enquête internationale.

« Malheureusement, nous n’avons pas de source fiable sur ce sujet. C’est tellement tabou que quiconque y touche se brûle. Nous n’avons que l’armée ou le PKK comme source ; les deux sont contestés. La seule organisation indépendante pourrait être l’Union des médecins turcs mais sa présidente est en prison pour avoir dit que les accusations des Kurdes devraient faire l’objet d’une enquête »​, se désespère Can Dündar, une figure du journalisme turc indépendant aujourd’hui en exil, emprisonné en 2015 pour avoir révélé que les services secrets turcs (MIT) livraient des armes à des groupes djihadistes en Syrie.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan, en campagne pour sa réélection en juin 2023, répète, lui, que les forces armées turques « n’ont pas recouru à l’utilisation d’armes chimiques à ce jour ». L’un de ses conseillers, Ibrahim Kalim, récuse toute interrogation sur le sujet : « Le mensonge des armes chimiques est l’effort futile de ceux qui tentent de justifier et d’esthétiser le terrorisme. » Fermez le ban.

(1) Sur les onze journalistes placés en garde à vue, deux ont été libérés et neuf autres ont été placés en détention provisoire pour avoir consacré des articles à ce sujet. Selon l’association de journalistes Dicle-Firat (DFG), 87 journalistes, au total, sont actuellement incarcérés en Turquie.


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