«Venger sa race et son sexe», découvrez le discours très politique d'Annie Ernaux à l'Académie Nobel

L'auteure française, distinguée par l'Académie Nobel, faisait lecture de son discours mercredi après-midi. Un texte que nous vous livrons in extenso.

À Cergy, c'est dans sa cuisine, à la radio, qu'elle a appris qu'elle était Nobel de littérature, la première femme française à le recevoir. Et a promis, dès cette annonce, qu'elle continuerait son combat contre les injustices. Un combat qu'elle évoque dans un discours. Annie Ernaux y explique sa raison d'écrire et comme toujours son besoin pour elle, «immigrée de l'intérieur» telle qu'elle se définit, de porter avec ses mots la revanche des déclassés. Une revanche pour ses parents, ces être «durs à des tâches qui les ont fait mourir tôt». D'eux, elle estime avoir «reçu assez de force et de colère pour avoir le désir et l'ambition de lui faire une place dans la littérature».

À lire aussiLe Nobel est une institution «pour les hommes», selon Annie Ernaux

Discours d'Annie Ernaux à l'Académie Nobel

Par où commencer ? Cette question, je me la suis posée des dizaines de fois devant la page blanche. Comme s'il me fallait trouver la phrase, la seule, qui me permettra d'entrer dans l'écriture du livre et lèvera d'un seul coup tous les doutes. Une sorte de clef. Aujourd'hui, pour affronter une situation que, passé la stupeur de l'événement –«est-ce bien à moi que ça arrive ?» – mon imagination me présente avec un effroi grandissant, c'est la même nécessité qui m'envahit. Trouver la phrase qui me donnera la liberté et la fermeté de parler sans trembler, à cette place où vous m'invitez ce soir.

Cette phrase, je n'ai pas besoin de la chercher loin. Elle surgit. Dans toute sa netteté, sa violence. Lapidaire. Irréfragable. Elle a été écrite il y a soixante ans dans mon journal intime. «J'écrirai pour venger ma race.» Elle faisait écho au cri de Rimbaud : «Je suis de race inférieure de toute éternité.» J'avais vingt-deux ans. J'étais étudiante en Lettres dans une faculté de province, parmi des filles et des garçons pour beaucoup issus de la bourgeoisie locale.

Je pensais orgueilleusement et naïvement qu'écrire des livres, devenir écrivain, au bout d'une lignée de paysans sans terre, d'ouvriers et de petits commerçants, de gens méprisés pour leurs manières, leur accent, leur inculture, suffirait à réparer l'injustice sociale de la naissance. Qu'une victoire individuelle effaçait des siècles de domination et de pauvreté, dans une illusion que l'École avait déjà entretenue en moi avec ma réussite scolaire. En quoi ma réalisation personnelle aurait-elle pu racheter quoi que ce soit des humiliations et des offenses subies ? Je ne me posais pas la question. J'avais quelques excuses.

La possibilité de transfigurer le réel

Depuis que je savais lire, les livres étaient mes compagnons, la lecture mon occupation naturelle en dehors de l'école. Ce goût était entretenu par une mère, elle-même grande lectrice de romans entre deux clients de sa boutique, qui me préférait lisant plutôt que cousant et tricotant. La cherté des livres, la suspicion dont ils faisaient l'objet dans mon école religieuse, me les rendaient encore plus désirables. Don Quichotte, Voyages de Gulliver, Jane Eyre, contes de Grimm et d'Andersen, David Copperfield, Autant en emporte le vent, plus tard Les Misérables, Les Raisins de la colère, La Nausée, L'Étranger : c'est le hasard, plus que des prescriptions venues de l'École, qui déterminait mes lectures.

Le choix de faire des études de lettres avait été celui de rester dans la littérature, devenue la valeur supérieure à toutes les autres, un mode de vie même qui me faisait me projeter dans un roman de Flaubert ou de Virginia Woolf et de les vivre littéralement. Une sorte de continent que j'opposais inconsciemment à mon milieu social. Et je ne concevais l'écriture que comme la possibilité de transfigurer le réel.

Ce n'est pas le refus d'un premier roman par deux ou trois éditeurs –roman dont le seul mérite était la recherche d'une forme nouvelle – qui a rabattu mon désir et mon orgueil. Ce sont des situations de la vie où être une femme pesait de tout son poids de différence avec être un homme dans une société où les rôles étaient définis selon les sexes, la contraception interdite et l'interruption de grossesse un crime. En couple avec deux enfants, un métier d'enseignante, et la charge de l'intendance familiale, je m'éloignais de plus en plus chaque jour de l'écriture et de ma promesse de venger ma race. Je ne pouvais lire «La parabole de la loi» dans Le Procès de Kafka sans y voir la figuration de mon destin : mourir sans avoir franchi la porte qui n'était faite que pour moi, le livre que seule je pourrais écrire.

Mais c'était sans compter sur le hasard privé et historique. La mort d'un père qui décède trois jours après mon arrivée chez lui en vacances, un poste de professeur dans des classes dont les élèves sont issus de milieux populaires semblables au mien, des mouvements mondiaux de contestation : autant d'éléments qui me ramenaient par des voies imprévues et sensibles au monde de mes origines, à ma «race», et qui donnaient à mon désir d'écrire un caractère d'urgence secrète et absolue. Il ne s'agissait pas, cette fois, de me livrer à cet illusoire «écrire sur rien» de mes vingt ans, mais de plonger dans l'indicible d'une mémoire refoulée et de mettre au jour la façon d'exister des miens. Écrire afin de comprendre les raisons en moi et hors de moi qui m'avaient éloignée de mes origines.

Les modèles des œuvres admirées

Aucun choix d'écriture ne va de soi. Mais ceux qui, immigrés, ne parlent plus la langue de leurs parents, et ceux, transfuges de classe sociale, n'ont plus tout à fait la même, se pensent et s'expriment avec d'autres mots, tous sont mis devant des obstacles supplémentaires. Un dilemme. Ils ressentent, en effet, la difficulté, voire l'impossibilité d'écrire dans la langue acquise, dominante, qu'ils ont appris à maîtriser et qu'ils admirent dans ses œuvres littéraires, tout ce qui a trait à leur monde d'origine, ce monde premier fait de sensations, de mots qui disent la vie quotidienne, le travail, la place occupée dans la société. Il y a d'un côté la langue dans laquelle ils ont appris à nommer les choses, avec sa brutalité, avec ses silences, celui, par exemple, du face-à-face entre une mère et un fils, dans le très beau texte d'Albert Camus, Entre oui et non.

De l'autre, les modèles des œuvres admirées, intériorisées, celles qui ont ouvert l'univers premier et auxquelles ils se sentent redevables de leur élévation, qu'ils considèrent même souvent comme leur vraie patrie. Dans la mienne figuraient Flaubert, Proust, Virginia Woolf : au moment de reprendre l'écriture, ils ne m'étaient d'aucun secours. Il me fallait rompre avec le «bien écrire», la belle phrase, celle-là même que j'enseignais à mes élèves, pour extirper, exhiber et comprendre la déchirure qui me traversait. Spontanément, c'est le fracas d'une langue charriant colère et dérision, voire grossièreté, qui m'est venue, une langue de l'excès, insurgée, souvent utilisée par les humiliés et les offensés, comme la seule façon de répondre à la mémoire des mépris, de la honte et de la honte de la honte.

Très vite aussi, il m'a paru évident – au point de ne pouvoir envisager d'autre point de départ – d'ancrer le récit de ma déchirure sociale dans la situation qui avait été la mienne lorsque j'étais étudiante, celle, révoltante, à laquelle l'État français condamnait toujours les femmes, le recours à l'avortement clandestin entre les mains d'une faiseuse d'anges. Et je voulais décrire tout ce qui est arrivé à mon corps de fille, la découverte du plaisir, les règles. Ainsi, dans ce premier livre, publié en 1974, sans que j'en sois alors consciente, se trouvait définie l'aire dans laquelle je placerais mon travail d'écriture, une aire à la fois sociale et féministe. Venger ma race et venger mon sexe ne feraient qu'un désormais.

Comment ne pas s'interroger sur la vie sans le faire aussi sur l'écriture? Sans se demander si celle-ci conforte ou dérange les représentations admises, intériorisées sur les êtres et les choses ? Est-ce que l'écriture insurgée, par sa violence et sa dérision, ne reflétait pas une attitude de dominée ? Quand le lecteur était un privilégié culturel, il conservait la même position de surplomb et de condescendance par rapport au personnage du livre que dans la vie réelle. C'est donc, à l'origine, pour déjouer ce regard qui, porté sur mon père dont je voulais raconter la vie, aurait été insoutenable et, je le sentais, une trahison, que j'ai adopté, à partir de mon quatrième livre, une écriture neutre, objective, «plate» en ce sens qu'elle ne comportait ni métaphores, ni signes d'émotion. La violence n'était plus exhibée, elle venait des faits eux-mêmes et non de l'écriture. Trouver les mots qui contiennent à la fois la réalité et la sensation procurée par la réalité, allait devenir, jusqu'à aujourd'hui, mon souci constant en écrivant, quel que soit l'objet.

Continuer à dire «je» m'était nécessaire. La première personne – celle par laquelle, dans la plupart des langues, nous existons, dès que nous savons parler, jusqu'à la mort – est souvent considérée, dans son usage littéraire, comme narcissique dès lors qu'elle réfère à l'auteur, qu'il ne s'agit pas d'un «je» présenté comme fictif. Il est bon de rappeler que le «je», jusque-là privilège des nobles racontant des hauts faits d'armes dans des Mémoires, est en France une conquête démocratique du XVIIIe siècle, l'affirmation de l'égalité des individus et du droit à être sujet de leur histoire, ainsi que le revendique Jean-Jacques Rousseau dans ce premier préambule des Confessions : «Et qu'on n'objecte pas que n'étant qu'un homme du peuple, je n'ai rien à dire qui mérite l'attention des lecteurs. […] Dans quelque obscurité que j'aie pu vivre, si j'ai pensé plus et mieux que les Rois, l'histoire de mon âme est plus intéressante que celle des leurs.»

Ce n'est pas cet orgueil plébéien qui me motivait (encore que…) mais le désir de me servir du «je» – forme à la fois masculine et féminine – comme un outil exploratoire qui capte les sensations, celles que la mémoire a enfouies, celles que le monde autour ne cesse de nous donner, partout et tout le temps. Ce préalable de la sensation est devenu pour moi à la fois le guide et la garantie de l'authenticité de ma recherche. Mais à quelles fins ? Il ne s'agit pas pour moi de raconter l'histoire de ma vie ni de me délivrer de ses secrets mais de déchiffrer une situation vécue, un événement, une relation amoureuse, et dévoiler ainsi quelque chose que seule l'écriture peut faire exister et passer, peut-être, dans d'autres consciences, d'autres mémoires. Qui pourrait dire que l'amour, la douleur et le deuil, la honte, ne sont pas universels ? Victor Hugo a écrit : «Nul de nous n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui.» Mais toutes choses étant vécues inexorablement sur le mode individuel – «c'est à moi que ça arrive» – elles ne peuvent être lues de la même façon, que si le «je» du livre devient, d'une certaine façon, transparent, et que celui du lecteur ou de la lectrice vienne l'occuper. Que ce Je soit en somme transpersonnel.

C'est ainsi que j'ai conçu mon engagement dans l'écriture, lequel ne consiste pas à écrire «pour» une catégorie de lecteurs, mais «depuis» mon expérience de femme et d'immigrée de l'intérieur, depuis ma mémoire désormais de plus en plus longue des années traversées, depuis le présent, sans cesse pourvoyeur d'images et de paroles des autres. Cet engagement comme mise en gage de moi-même dans l'écriture est soutenu par la croyance, devenue certitude, qu'un livre peut contribuer à changer la vie personnelle, à briser la solitude des choses subies et enfouies, à se penser différemment. Quand l'indicible vient au jour, c'est politique.

On le voit aujourd'hui avec la révolte de ces femmes qui ont trouvé les mots pour bouleverser le pouvoir masculin et se sont élevées, comme en Iran, contre sa forme la plus archaïque. Écrivant dans un pays démocratique, je continue de m'interroger, cependant, sur la place occupée par les femmes dans le champ littéraire. Leur légitimité à produire des œuvres n'est pas encore acquise. Il y a dans le monde, y compris dans les sphères intellectuelles occidentales, des hommes pour qui les livres écrits par les femmes n'existent tout simplement pas, ils ne les citent jamais. La reconnaissance de mon travail par l'Académie suédoise constitue un signal d'espérance pour toutes les écrivaines.

Dans la mise au jour de l'indicible social, cette intériorisation des rapports de domination de classe et/ou de race, de sexe également, qui est ressentie seulement par ceux qui en sont l'objet, il y a la possibilité d'une émancipation individuelle mais aussi collective. Déchiffrer le monde réel en le dépouillant des visions et des valeurs dont la langue, toute langue, est porteuse, c'est en déranger l'ordre institué, en bouleverser les hiérarchies.

Mais je ne confonds pas cette action politique de l'écriture littéraire, soumise à sa réception par le lecteur ou la lectrice avec les prises de position que je me sens tenue de prendre par rapport aux événements, aux conflits et aux idées. J'ai grandi dans la génération de l'après-guerre mondiale où il allait de soi que des écrivains et des intellectuels se positionnent par rapport à la politique de la France et s'impliquent dans les luttes sociales. Personne ne peut dire aujourd'hui si les choses auraient tourné autrement sans leur parole et leur engagement. Dans le monde actuel, où la multiplicité des sources d'information, la rapidité du remplacement des images par d'autres, accoutument à une forme d'indifférence, se concentrer sur son art est une tentation. Mais, dans le même temps, il y a en Europe – masquée encore par la violence d'une guerre impérialiste menée par le dictateur à la tête de la Russie – la montée d'une idéologie de repli et de fermeture, qui se répand et gagne continûment du terrain dans des pays jusqu'ici démocratiques. Fondée sur l'exclusion des étrangers et des immigrés, l'abandon des économiquement faibles, sur la surveillance du corps des femmes, elle m'impose, à moi, comme à tous ceux pour qui la valeur d'un être humain est la même, toujours et partout, un devoir d'extrême vigilance.

Une victoire individuelle

En m'accordant la plus haute distinction littéraire qui soit, c'est un travail d'écriture et une recherche personnelle menés dans la solitude et le doute qui se trouvent placés dans une grande lumière. Elle ne m'éblouit pas. Je ne regarde pas l'attribution qui m'a été faite du prix Nobel comme une victoire individuelle. Ce n'est ni orgueil ni modestie de penser qu'elle est, d'une certaine façon, une victoire collective. J'en partage la fierté avec ceux et celles qui, d'une façon ou d'une autre souhaitent plus de liberté, d'égalité et de dignité pour tous les humains, quels que soient leur sexe et leur genre, leur peau et leur culture. Ceux et celles qui pensent aux générations à venir, à la sauvegarde d'une Terre que l'appétit de profit d'un petit nombre continue de rendre de moins en moins vivable pour l'ensemble des populations.

Si je me retourne sur la promesse faite à vingt ans de venger ma race, je ne saurais dire si je l'ai réalisée. C'est d'elle, de mes ascendants, hommes et femmes durs à des tâches qui les ont fait mourir tôt, que j'ai reçu assez de force et de colère pour avoir le désir et l'ambition de lui faire une place dans la littérature, dans cet ensemble de voix multiples qui, très tôt, m'a accompagnée en me donnant accès à d'autres mondes et d'autres pensées, y compris celle de m'insurger contre elle et de vouloir la modifier. Pour inscrire ma voix de femme et de transfuge sociale dans ce qui se présente toujours comme un lieu d'émancipation, la littérature.


Football news:

Luc et Theo Hernandez sont tous deux à la base de la France sur la Belgique. Ils ont grandi en Espagne et voulaient jouer pour elle, mais ils ont changé d'avis
Les saoudiens ont quand même acheté Newcastle. Le Rêve des fans de Newcastle est devenu réalité: Mike Ashley, détesté, vend enfin le Club. Il a été acheté Par le fonds d'investissement public du gouvernement saoudien (PIF - Public Investment Fund). C'est le fonds officiellement privé le plus riche au monde. L'accord a déjà été annoncé officiellement, il a été approuvé par l'APL
France-en finale de la Ligue des Nations: 0-2 contre la Belgique, la 90e victoire de Theo Hernandez (sorti en début de rencontre avec son frère)
L'APL croit que le Club n'a pas acheté l'Arabie saoudite, Shearer et les fans sont ravis, dans une réflexion médiatique lourde: le monde après l'enrichissement de Newcastle
Les recherches Тутберидзе dans les doubles de catane: a remplacé le programme Tarasova et Morozov - et Глейхенгауз est triste, que ses idées y pas place
Le footballeur russe est le mème du top 2 de l'endurance dans FIFA 22. La fatigue est une illusion
Un parcours unique pour la construction de la plus rapide piste urbaine de F-1: il est préparé pour un grand prix de 660 millions de dollars, le départ-dans 2 mois

3:15 Dans les transports en commun, la carte bancaire comme coupe-file
3:00 Les écoles françaises ne veulent pas devenir des forteresses
3:00 Quand l’Inde découvre l’amour au-delà du mariage
3:00 La guerre entre Israël et le Hamas bouscule l’ordre mondial, au profit de Moscou et Pékin
2:52 Etats-Unis : Au moins 22 morts dans une triple fusillade de masse dans le Maine, le tireur en fuite
2:39 Au moins 22 morts dans une tuerie de masse aux États-Unis
2:35 Etats-Unis : un tireur fait au moins vingt-deux morts dans une ville du Maine
2:23 Gérald Darmanin : Sans apporter de preuves, le ministre de l’Intérieur persiste et signe sur Benzema
2:10 Etats-Unis : Au moins 22 morts dans une triple fusillade de masse dans le Maine, selon les médias américains
2:07 Etats-Unis : un accord provisoire entre Ford et le syndicat UAW a été trouvé
2:00 Le Liaoning, nouveau symbole du volontarisme industriel de la Chine
1:55 États-Unis : des fusillades font au moins seize victimes dans l'État du Maine, un homme recherché
1:53 Bijou de Mbappé, force de caractère, Zaïre-Emery en Bleu... Les mots de Luis Enrique après PSG-Milan
1:48 Au moins 16 morts dans une tuerie de masse aux États-Unis
0:56 «Pourquoi t’es parti célébrer alors» : quand Mbappé chambre Dembélé (vidéo)
0:30 Evasion de Rédoine Faïd : Le « roi de la belle » condamné à 14 ans de réclusion
0:25 Donald Trump écope d’une nouvelle amende, sa défense « pas crédible », tranche le juge
23:26 Marseille-AEK Athènes : à l'OM, l'attaque cherche encore sa voix
22:45 Procès Rédoine Faïd : le «roi de la belle» condamné à 14 ans de prison ferme
22:30 "La crise environnementale est une urgence de santé mondiale" : 200 revues scientifiques écrivent à l'OMS
22:26 "Le bel indifférent" de Jean Cocteau : indifférent... ou pas. Une chronique à quatre mains et des avis différents
22:25 Le trumpiste Mike Johnson, enfin un nouveau speaker pour la Chambre des représentants
22:25 Etats-Unis : Mike Johnson, l’inconnu trumpiste devenu speaker de la Chambre des représentants
22:20 Bijou de Mbappé, force de caractère, Zaïre-Emery en Bleu, : les mots de Luis Enrique après PSG-AC Milan
22:13 Essayer ensemble, c’est oser réussir
22:12 "Ravenne" de Judith Herrin : quand l’Occident naît des ruines de l’Empire romain. Un éclairage intéressant sur une période mal connue
22:12 Ligue des champions : Evanilson voit triple, Newcastle les pieds dans le tapis… les Tops/Flops de la soirée
22:09 Saint-Estève (66) : à peine sorti de prison, Nordine tente un cambriolage mais le voleur aux 14 arrestations tombe sur… la maison d’un policier
22:02 "Trust" d'Hernan Diaz : le grand roman américain sur le capitalisme ? Des qualités certes, mais il ne faut pas être trop difficile
21:57 Guerre Israël-Hamas. La visite de Macron en Égypte, Netanyahou estime qu'il devra rendre des comptes : l'essentiel de la journée
21:51 "L'effet papillon" de Taha Mansour : et si c'était possible ?
21:46 Sécurisation des JO : pas de décision sur un recours à l’armée avant “début 2024”, selon le ministre des sports, Amélie Oudéa-Castéra
21:34 Le PSG retrouve le sourire face à Milan
21:28 Ligue des champions : Manchester City et Haaland s'imposent sans trembler
21:28 Revenu solidarité jeunes : Lyon continue d’explorer son bon filon
21:27 Les notes du PSG contre l'AC Milan : Zaïre-Emery le délice, Mbappé le poison, Kolo Muani le buteur décevant
21:27 PSG-AC Milan : «On est une équipe, ça se voit sur le terrain», savoure l'homme du match Zaïre-Emery
21:06 Les notes du PSG contre l'AC Milan : Mbappé toujours là, Zaïre-Emery délicieux, Kolo Muani buteur décevant
21:05 Ligue des Champions : avec un bijou signé Mbappé, le PSG s'offre Milan et prend la tête
20:59 Le PSG corrige l'AC Milan et se relance en Ligue des champions
20:56 PSG - AC Milan EN DIRECT : Kang-in Lee se joint à la fête... C'est la piquette pour les Italiens... Suivez le match avec nous...
20:55 Ligue des Champions : le PSG surclasse l’AC Milan et prend la tête de son groupe
20:54 Ligue des champions : le PSG domine logiquement l'AC Milan et reprend la tête de son groupe
20:53 PSG - Milan : Paris lave l'affront de Newcastle en corrigeant les Milanais, le résumé du match
20:45 Seine-Saint-Denis : pour 71% des habitants du “93” il est « facile de vivre en Seine-Saint-Denis lorsqu’on n’est pas blanc », alors que 69% d’entre eux jugent que c’est « difficile » dans le reste de la France (sondage Harris / Toluna)
20:40 "Des nuls" : l'aveu de taille de Michael Goldman sur le casting de la nouvelle promo de la "Star Academy"
20:33 Dinan (22) : “éteignez-le wesh, mets lui des pénalty”. Deux frères frolent la mort après avoir été tabassés car ils étaient roux. 4 accusés, dont un Malgache en OQTF, sortent “l’air victorieux” du tribunal, n’ayant reçu que des peines de prison aménagées
20:33 L’ONU, ce punching-ball mondial [Le point de vue de CL]
20:30 Guerre Hamas-Israël : Le joueur niçois Youcef Atal suspendu sept matchs après sa publication sur le conflit
20:30 Gérald Darmanin maintient sa position sur Karim Benzema qui tweete «de façon sélective»
20:27 Ligue 1. Racing : ces chiffres qui inquiètent
20:27 Sécu alimentaire : la Gironde commande à la carte
20:23 Ligue 1 : Montpellier-Clermont sera rejoué, le club héraultais sanctionné d’un point
20:22 Loi immigration: LR durcit le ton et maintient ses exigences constitutionnelles
20:19 PSG - AC Milan EN DIRECT : Kolo Muani met un Paris transfiguré à l'abri... Suivez le match avec nous...
20:19 Ligue 1 : Youcef Atal suspendu sept matches après sa publication sur le conflit Hamas-Israël
20:15 Nikos Aliagas, Michael Goldman et les nouveaux profs de la "Star Academy" recadrent Yann Barthès en direct
20:11 PSG - Milan - EN DIRECT : cette fois le break est fait ! Suivez le match en live
20:09 Explosion à l’hôpital Al-Ahli Arabi de Gaza : qu’apporte l’enquête du «New York Times» ?
20:08 PSG-AC Milan : les supporters contre «toute forme de terrorisme» et les «crimes de guerre à Gaza»
20:04 "Tapie" de Tristan Séguéla et Olivier Demangel : l’ascension de Nanard, du "Wonderman" au mitard
20:04 PSG - Milan - EN DIRECT : Mbappé et Zaïre-Emery illuminent la rencontre, suivez le match en live
20:04 Arrêt du match MHSC-Clermont : Montpellier connaît sa sanction et elle est lourde
20:01 Mort d'une femme de 62 ans renversée par un bus en traversant un passage piéton avec son conjoint
20:00 La musique émouvante combat aussi bien la douleur que certains analgésiques
20:00 L'acteur Erik Jensen (The Walking Dead ) annonce être atteint d'un cancer à un stade très avancé
19:58 Guerre Hamas – Israël EN DIRECT : L'OMS presse le Hamas de relâcher tous les otages « pour raisons de santé »...
19:58 « L’Iris blanc » : que vaut le dernier Astérix ?
19:57 Ligue des Champions : en vidéo, la spéciale de Kylian Mbappé qui délivre le PSG
19:51 Construire un monde meilleur passe par les actions locales
19:48 Un chêne tombe sur leur voiture et tue le conducteur : un mort et un enfant de 7 ans gravement blessé
19:48 En direct. Guerre Israël-Hamas : Netanyahou dit qu'il devra lui aussi « rendre des comptes » sur les « défaillances » sécuritaires
19:45 Ultragauche : Jusqu’à six ans de prison requis contre les sept militants jugés pour un projet d’action violente
19:45 Guerre Hamas - Israël : Benjamin Netanyahu affirme qu'il devra aussi "rendre des comptes"
19:42 Ligue des Champions : la spéciale de Kylian Mbappé délivre le PSG (vidéo)
19:38 PSG - AC Milan EN DIRECT : Kylian Mbappé libère Paris après un exploit personnel... Suivez le match avec nous...
19:38 Guerre en Ukraine : des débris de drones endommagent des installations essentielles, le point sur la situation
19:37 PSG - Milan - EN DIRECT : un éclair de génie lance le choc, suivez le match en live
19:37 Expérimentations au niveau local : les essais essaiment
19:31 Guerre en Ukraine : Choïgou inspecte des troupes, des débris de drones endommagent des installations... le point sur la situation
19:30 Alerte à la bombe dans des robots livreurs sur un campus américain
19:30 "Agathe la chaudasse", Jean-Michel Maire se lâche complètement sur "TPMP"
19:29 Situation humanitaire critique à Gaza
19:28 Le chômage remonte en France, un retournement de tendance?
19:28 PSG - AC Milan EN DIRECT : Le ballon brûle les pieds des Parisiens, le trio offensif inexistant... Suivez le match avec nous...
19:28 Russie: tirs de missiles balistiques simulant une frappe nucléaire
19:21 PSG-AC Milan : le magnifique hommage à Jean-Paul Belmondo avant le match
19:13 PSG - AC Milan EN DIRECT : Festival dans les tribunes, Donnarumma insulté, le Parc est chaud pour le choc... Suivez le match avec nous...
19:12 États-Unis : un allié de Trump élu président de la Chambre des représentants, après des semaines de chaos
19:08 JO 2024 : pas de décision avant «début 2024» quant à un recours à l’armée pour sécuriser l’événement
19:08 Résultat Loto (FDJ) : le tirage de ce mercredi 25 octobre 2023 [EN LIGNE]
19:08 Au Liban, l’angoisse d’un «conflit dont le pays n’a pas besoin»
19:04 Au synode, l'improvisation choc du pape François en faveur des femmes
19:03 Il n'y a qu'un pays au monde où Snoop Dogg ne peut pas acheter de drogue
19:00 Comment fonctionne une entreprise dont l'actionnaire majoritaire est une fondation ? L'exemple de Pierre-Fabre
19:00 Valérie Benaïm et Géraldine Maillet décrochent chacune une émission : nouvelles grandes annonces de Cyril Hanouna !
18:57 Ligue des champions : le FC Barcelone assure l’essentiel face au Shakhtar
18:53 Le spectacle Bernadette de Lourdes non éligible à l’offre collective du pass Culture. Il est accusé de ne pas respecter la laïcité par le rectorat de Versailles
18:49 PSG - Milan - EN DIRECT : suivez le choc en live
18:47 Guerre Israël-Hamas : l’Iran, agent déstabilisateur du Proche-Orient