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A Dunkerque, la tournée prendra un nouveau départ

À Dunkerque, le Tour prend un nouveau départ
Le maillot jaune Wout van Aert doit aussi travailler pour Primož Roglič (à gauche), l'un des meneurs de Jonas Vingegard.

Photo AFP

publiée le4 juillet 2022 à 20h02

De retour de la caravane du Danemark Tour lundi. Une semaine délicate attend désormais les coureurs. Le maillot jaune Van Aart est à l'honneur.

Bonjour la France La tournée s'élance du nord du pays ce mardi avec le maillot jaune Wout van Aert de Belgique après un prélude au grand succès du Danemark. Parfait pour tous vos doubles détenteurs du titre et votre Tadej Pogacar préféré.

Un scénario idéal pour un vainqueur gagnant Une course de trois jours, la séquence danoise est un jeune Slovène (23 ans). Cela a fonctionné pour moi. Hormis quelques égratignures héritées de la chute massive lors de la finale de la deuxième étape.

Troisième du classement général, il compte 14 secondes de retard sur Van Aert, mais 8 secondes sur les premiers rivaux de l'équipe Jumbo, le Dane Jonas Vingegard et le Slovène Primož Roglič, soit 9 secondes d'avance.

" Si vous avez besoin de faire une première évaluation, alors tout s'est bien passé. "est le gagnant 2020 et 2021 admet également. Son rang le libère du contrôle de la course et son placement sur les étapes du samedi et du dimanche révèle son confort : du moins en attendant une journée plus difficile et surtout dangereuse.Demandez son équipe UAE.

Cette année, nous avons une tournée très complète . Il y a du vent, des côtes, des gros cols et des pavés

Une semaine tendue

3 jours et beaucoup d'étapes au profil classique : Départ dans le Boulonnais aujourd'hui, Pavés avant l'arrivée en Allenberg le lendemain, finales Puncher sur la route de Longwee jeudi.

" Une journée classique est l'officiel qui se dit depuis plusieurs années sur la tournée ", me rappelle sa directrice, Christie Amprudom. " Mais tout dépend de ce que feront les coureurs. Si Wout van Aert et Mathieu van der Paul ont fait équipe sur la route du Creusot l'an dernier. Nul doute que ce sera une course pétillante pour les fans et épuisés pour les coureurs. Rien à laisser... Le directeur de course Thierry Gouvenou ("suggéré par l'organisateur, éliminé par le coureur et la météo sera décidée ") est la dernière étape de la Deuxième étape samedi, confirmée à l'intersection du pont surplombant le détroit du Great Belt. Les vents contraires soufflant sur le pont du détroit à près de 46 km/h ont non seulement entravé le déroulement de la course, mais ont aussi immédiatement anéanti les tentatives d'attaque.

Les prévisions météo des deux prochains jours annoncent un temps doux et ensoleillé. Cependant, les pavés compliquent les transactions lorsque les risques inhérents (chutes, accidents mécaniques, etc.) doublent.

Dans le cadre de la tournée, est-ce trop risqué ? Le débat resurgit à chaque fois. " Les pavés font partie du panorama complet du cycliste ", répond le chef de piste Thierry Gouvenou.

" Les pavés existent depuis longtemps en France, en Belgique. Ils ont longtemps été effacés du Tour de France, mais leur place est là. Cette année, il y a un très complet tour . Wind, Puncher Hill, Big Pass, Time Trial et Cobblestone ".

Le lapin sauvage de Van Aert

Dans le cas de van Aert, l'étape pavée peut ajouter un crédit supplémentaire à son capital temps. Deuxième à Paris-Roubaix en avril, le Belge est le fleuron de son équipe ici alors qu'il se remettait du Covid-19. Parmi ses ambitions personnelles de protéger le duo Vingegaard-Roglic, intégrer le maillot jaune, s'assurer le maillot vert au classement par points, et jouer la victoire sur scène, la question de son rôle me met en danger.

Si Van Aelto obtient un feu vert pour la quête d'un maillot vert, l'équipe n'est pas faite pour cela. Répétez le manager jumbo à la poursuite de la victoire finale sur le circuit. Cependant, tout le monde garde toujours à l'esprit l'échec de Logrich dans le contre-la-montre de Primož Roglič à la veille de l'arrivée du traumatisme de 2020.

Comment combiner toutes les ambitions Tout dépend de Van Aert, qui s'est dévoué à la cause de Roglič à Paris-Nice en mars et dans le Dauphiné début juin. Les Belges savent tout faire, mais la langue ancestrale nous rappelle les dangers de faire courir plusieurs lapins de garenne en même temps.