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Dans la plus grande prison de femmes d'Europe (300 places) a ouvert il y a un an ce service spécifique de prise en charge des femmes djihadistes.
Dans la plus grande prison de femmes d'Europe (300 places) a ouvert il y a un an ce service spécifique de prise en charge des femmes djihadistes.
Dans la plus grande prison de femmes d'Europe (300 places) a ouvert il y a un an ce service spécifique de prise en charge des femmes djihadistes. JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP

REPORTAGE - Au sein d'un quartier spécialement reconstruit, des femmes condamnées pour des faits de terrorisme islamiste font l'objet d'une attention accrue.

«Il faut déconstruire l'idée reçue que l'islam est incompatible avec les valeurs de la République». Ce jeudi 29 septembre, un représentant du ministère de la Justice explique les objectifs du Quartier de Prise en charge de la Radicalisation (QPR) de la prison de Rennes (Ille-et-Vilaine), qui accueille des femmes condamnées pour des faits de terrorisme islamiste. Celles-ci doivent pouvoir vivre leur foi, mais «désengagées de la violence». C'est le but recherché par cette structure, que Le Figaro a pu visiter en compagnie de sénateurs* emmenés par François-Noël Buffet, sénateur (LR) du Rhône et membre de la commission des Lois.

Dans la plus grande prison pour femmes d'Europe (300 places) a ouvert il y a un an ce service spécifique de prise en charge. Six quartiers de prise en charge de la radicalisation (QPR) existent déjà pour les détenus masculins. L'autre objectif est bien sûr d'éviter la contagion de l'idéologie islamiste en milieu pénitentiaire, les éventuelles attaques, et enfin sécuriser…

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