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Accusé d'avoir fait des "coups de p*te" à Jean-Pierre Pernaut, Jacques Legros tacle Nathalie Marquay : elle "commente sans avoir lu"

Sept mois après la disparition de Jean-Pierre Pernaut, l'image de la star du 13h de TF1 est écornée par un collègue. Jacques Legros, qui fut son joker pendant de 22 ans, vient de sortir un livre, "Derrière l'écran - 40 ans au cœur des médias" dans lequel il décrit un professionel au sens de l'info irréfutable, mais qui avait aussi du mal à laisser la main. Et la veuve du journaliste n'a pas supporté ces critiques, qu'elle a qualifié de "jalousie post-mortem" sur Virgin Radio, il y a quelques jours.

"C'est son problème"

Aussi, ce 3 octobre, Jacques Legros a été interrogé sur cette prise de bec, sur Sud Radio. L'homme de télévision a considéré que Nathalie Marquay Pernaut était "libre de dire tout ce qu'elle veut" de lui. Et d'ajouter : "C'est son problème". Droit dans ses bottes sur ce qu'il a écrit sur son confrère pour lequel il avait un énorme respect, Jacques Legros a néanmoins piqué : "Ce qui me gêne toujours, c'est quand on commente sans avoir lu [le livre, NDR]. Ni elle, ni l'intervieweur n'avaient lu le livre (Guillaume Genton, ndlr)".

Avant de passer au reste du livre, Jacques Legros a également fait une petite mise au point sur "le petit accrochage, le mouvement d'humeur" qu'ils ont eu avec Jean-Pierre Pernaut. Il met cela sur le compte du confinement. Et d'expliquer en effet : "On était tous à bout, on n'en pouvait plus, je crois que tous les Français étaient à bout, nous aussi".

>> A voir aussi : Après avoir critiqué Jean-Pierre Pernaut, Jacques Legros répond à Nathalie Marquay et lui balance ce qui le "dérange" !

Et si "C'était une excellente idée de dire : 'Bon, Jean-Pierre, tu ne vas pas disparaître de l'antenne, on te met à l'abri'", de fait, cela a aussi donné une place de second à JPP qu'il n'a pas apprécié. A cela, Jacques Legros compatit : "Moi, à sa place, j'aurais sans doute pété les plombs aussi parce que ce n'était pas facile". Sans compter que l'homme de plus de 70 ans était enfermé chez lui.

"On en a fait des gorges chaudes mais c'est stupide"

Pour finir, l'auteur de  "Derrière l'écran - 40 ans au cœur des médias" a fait son mea culpa sur les ondes de Sud Radio, ce lundi. Il a assuré : "C'est vrai du coup qu'il avait une tendance à vouloir intervenir et à un moment, on devait être archi fatigués, j'ai eu ce mouvement d'humeur. On en a fait des gorges chaudes mais c'est stupide".

F.A