BrésilLe ministre de l'Économie Paulo Guedes a fait valoir que la France devenait "insignifiante" et a fait valoir que si Paris Il menaçait de se détourner du marché français s'il n'a cessé de le critiquer. Déforestation en Amazonie. "Tu as intérêt à bien nous traiter ou on t'envoie baiser", a lancé mardi à Brasilia, un chef d'entreprise du secteur de la restauration, lors de la rencontre. Des extraits de celui-ci ont commencé à être diffusés dans les médias brésiliens mercredi.
Les incendies de forêt en Amazonie comparés aux incendies de Notre-Dame
Paulo Guedes, un ministre clé du gouvernement d'extrême droite du président Jair Bolsonaro, est au même niveau. L'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris en 2019et les ravages de la forêt amazonienne. "Un jour un ministre français m'a dit : 'Vous brûlez la forêt.'
"C'est une accusation frivole ! Vous n'avez pas brûlé Notre-Dame. , n'a pu empêcher un petit bloc (où la cathédrale est) de brûler, chez nous (la forêt amazonienne) est plus grande qu'en Europe, vous nous critiquez ' a-t-il ajouté. "Puis j'ai donné un autre exemple (au ministre) : 'En 2000, le commerce avec vous (la France) a atteint 2 milliards de dollars, le commerce avec la Chine a atteint 7 milliards de dollars, Notre commerce avec la Chine a atteint 120 milliards de dollars. Ce n'est rien pour nous."
Critique du refus du président Macron de ratifier l'accord du Mercosur
Dans un discours prononcé mardi, Paulo Guedes s'est opposé au président français Emmanuel Macron. a critiqué le fait ce Ratification de l'accord commercial entre l'Union européenne et le Mercosur, qui réunissait le Brésil, l'Argentine, l'Uruguay et le Paraguay. La progression de la déforestation et des incendies en Amazonie.
"Soit la France nous ouvrira le marché et le Mercosur, soit le marché deviendra insignifiant pour nous et nous chercherons ailleurs", a-t-il plaidé. En septembre 2019, Jair Bolsonaro et Emmanuel Macron se sont battus à propos des incendies de forêt amazonienne, et le président brésilien a accusé son homologue français de "souveraineté" en critiquant les politiques environnementales du Brésil accusé de menace Paulo Geddes lui-même a ajouté de l'huile sur le feu, déclarant que la Première Dame Brigitte Macron était "vraiment moche".