France
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budget. Le corset français est de retour

Ferme la parenthèse. Gabriel Attal, sous-ministre chargé des Comptes publics, a confirmé ce lundi dansLes Echosen présentant un budget avec de vagues hypothèses de retour à l'austérité. Nous avons soigné notre communication en annonçant une augmentation de 12,5 milliards d'euros des dépenses publiques dépenses sur les postes clés de l', du travail et de la solidarité. Il souligne qu'il s'agitd'une "augmentation sans précédent de 11,6   %". Cependant,"en valeur",les chiffres "aujourd'hui ne signifient rien" s'adressent àDavid Kayla, membre de Terrified Economist. Car tout dépend du niveau d'inflation. Cela devrait dépasser 6   % cette année, mais qu'en est-il l'année prochaine ? "'C'est le brouillard le plus complet',", ont expliqué les économistes.

En outre, les ministres ont pris soin de ne pas divulguer les prévisions d'inflation et de croissance au moment de la préparation du budget. Cependant, David Cayla explique que les dépenses publiques sur les "blocs préférés" augmenteraient beaucoup moins, pas de 11,6  %, si les augmentations de prix dépassaient les projections du gouvernement. En d'autres termes,"il est impossible de savoir combien valent aujourd'hui ces milliards de dollars", argumente-t-il.

Les stratégies d'"attractivité financière" coûtent 70   milliards d'euros par an

les déductions budgétaires se présentent comme suit : "Réduction de 2,5   %". Et globalement, les dépenses publiques ont tendance à diminuer de 0,3  % (plus précisément, les dépenses publiques sont de -0,4  %, les dépenses communautaires sont de -0, 5  %, + 0,6 % protection sociale),aux Échos avoue le ministre dans un entretien accordé. "'Bercy a clairement choisi de réduire les dépenses publiques'", assène Jean-Marc Durand, éditeur du magazine communiste  Economie et politique.

Par ailleurs, en refusant d'augmenter les impôts sur les sociétés et la fortune, même si Bruxelles s'attend à un excédent de recettes liées aux prix pour atteindre les objectifs qu'elle s'est fixés, mais ne sait pas trop quoi. car cette opération est que le gouvernement l'atrouvée "liée des deux côtés",et estime David Cayla. . Il estime que la stratégie pour rendre la France plus attractive financièrement coûtera plus de"70 milliards d'euros par an". Mais la taxation des superprofits, par exemple, n'a pas affecté son "attractivité" pour les investisseurs dans d'autres pays européens, ce qui signifie qu'il n'y a pas d'obstacles à la taxation du capital, disent les économistes. .

Jean-Marc Durand prôneune ``révolution financière''. Elle modifie la structure même de la fiscalité en pénalisant les entreprises écologiquement et socialement responsables, au profit de celles qui développent l'emploi et l'investissement.Le risque de récession pourrait s'accroître avec le début de la volatilité. "" Cette période, à son tour, invite à une augmentation des dépenses publiques pour répondre aux besoins sociaux et climatiques et restaurer la capacité de production. de rechercher des financements auprès de la Banque centrale européenne (BCE) pour des investissements publics et privés, sinonLe directeur de l'économie et des affaires politiques a poursuivi :Avec ce budget, le gouvernement "les citoyens paieront deux fois plus" pendant le Covid en raison du retour de l'austérité.