« Cartes fictives (XVIe-XVIIIe siècle) » de Roger Chartier : Paradoxe cartographique

 Cartes et Fiction (XVIe-XVIIIe Siècle Siècle) ", par Roger Chartier, Collège de France, page 112, 24 €.

question pourrait être  : dans une fiction, elle fournit une explication riche, alors qu'elle a besoin de cartographier un lieu réel ou irréel à mettre en scène.  ? Pourquoi la représentez-vous alors que tout dépend de la puissance de la langue  ? Mais à première vue, ce n'est pas le propos deRoger Chartier*. 29}

Dans les cartes brillanteset la fiction, les historiens préfèrent rechercher et tirer des fils de pratique très moderne selon ses coutumes, coutumières et anciennes. Et pour être précis, il veut en découvrir l'origine. Dans une conclusion simple, il revient sur les enseignements qu'il peut tirer de cette généalogie, mais vous commencez par la dérouler. Faut, c'est ce que fait ici Chartier dans l'érudition du maître, et l'ironie est toujours prête à faire surface, et il s'avère vite que c'est le vrai sujet du livre, il suit. Car tout dans l'histoire est paradoxal. ) la carte qu'il explore rend visible non seulement des lieux imaginaires, mais souvent impossibles. Utopia, Thomas More (1516),Gulliver Travels,Jonathan Swift( 1726), ouRobinson Crusoé, Daniel Defor Selon (1719), il s'agit d'exprimer quelque chose qui ne peut pas être exprimé, ou de glisser un lieu fictif dans le monde réel.

Nous jouons , déformer, et avec le consentement de nos lecteurs. Piégeant le lecteur," produit des effets réels, et admet de fait la fiction en tant que telle. "Et enfin multipliez-le. Aussi, la carte se demande bien sûr non seulement Swift, mais aussi Joseph Hall, l'auteur deMundus alter et idemen 1605, pour prolonger la satire. Gourmandise, ivrogne, voleur, fou... ou par une femme. " Monde à l'envers "Dans la carte, la fiction fiction vous invite à vous perdre dans un labyrinthe ou des plis au lieu de trouver votre propre direction. Langue.

* Roger Charter contribue à " World of Books ".