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Ce que les scientifiques savent des séismes meurtriers qui ont touché la Turquie et la Syrie

Catastrophe.

La vulnérabilité des bâtiments a aggravé la situation après les tremblements de terre survenus le 6 février, dans une région connue pour être particulièrement active sur le plan sismique.

Des civils recherchent des survivants sous les décombres de bâtiments effondrés à Kahramanmaras, en Turquie, au lendemain d’un séisme de magnitude 7,8 qui a frappé le sud-est du pays.
Des civils recherchent des survivants sous les décombres de bâtiments effondrés à Kahramanmaras, en Turquie, au lendemain d’un séisme de magnitude 7,8 qui a frappé le sud-est du pays. Photo ADEM ALTAN / AFP

Le bilan ne cesse de s’alourdir après les deux puissants tremblements de terre qui, en moins de dix heures, ont secoué la Turquie et la Syrie, lundi 6 février. En outre, le cortège de répliques sismiques - plusieurs centaines ont déjà été enregistrées - causant de nouveaux dégâts, et la météo glaciale compliquent la tâche des sauveteurs.

Cette partie du globe est connue pour être particulièrement active sur le plan sismique. “Trois plaques tectoniques — les plaques arabique, anatolienne et africaine — se rencontrent dans cette région. En glissant les unes contre les autres et en s’entrechoquant, elles accumulent des frottements et des contraintes qui se libèrent sous forme de tremblements de terre”, détaille au Washington Post Yaareb Altaweel, sismologue au National Earthquake Information Center (Colorado).

Ce qui fait dire à Seyhun Puskulcu, sismologue et coordinatrice de la Turkish Earthquake Foundation, basée à Istanbul, interrogée par Nature que “[cet événement] n’est pas une surprise”. Selon elle, la population turque est bien consciente de sa vulnérabilité aux tremblements de terre.

Une forte réplique ou un séisme à part entière ?

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