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ANALYSE - La compétition débute avec une nouveauté qui fait polémique: l’intégration de franchises sud-africaines.
Les pro et les anti sont d’accord sur un point: ne plus appeler cette compétition, née il y a vingt-huit ans, Coupe d’Europe. Place à la Champions Cup et à sa détonnante nouveauté: l’ajout de trois franchises sud-africaines (Sharks de Durban, Stormers du Cap et Bulls de Pretoria). Un projet dans les cartons depuis plusieurs années (et qui pourrait déboucher, à terme, sur l’intégration des Springboks dans le Tournoi des six nations…). Côté français, les huit clubs de Top 14 engagés cette saison sont partagés. Nouveau souffle ou sacrilège?
Une plus-value sportive…
Le rendez-vous est inédit et, forcément alléchant, pour un joueur évoluant en France. Se confronter aux trois meilleures équipes de la nation sacrée championne du monde en 2019 ne sera pas une sinécure. Adversaires de haut niveau, rugby différent, plus compact et brutal. Idéal pour s’étalonner et progresser. Côté Top 14, le tirage au sort a désigné Clermont, Bordeaux et Lyon pour s’y frotter lors du premier tour. «C’est une bonne chose, on touche presque…
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Champions Cup: l’Afrique du Sud débarque en Europe, nouveau souffle ou sacrilège?
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