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Carlos Moreno dans son restaurant Comer. Foucauld Combeléran

CRITIQUE GASTRONOMIQUE - Entre les gares de l’Est et du Nord, la cantine mexicaine de Carlos Moreno excite les papilles avec ses tacos et mole. un peu de soleil en ce début d’hiver.

Fort de le constater comme de l’éprouver, rappeler une fois encore que, semaine après semaine, le mangeur très urbain, très contemporain, passe désormais la moitié de son appétit à dévorer le pavé, bouffer la rue, mâcher en marchant et courir la guitoune histoire d’y poser demi-fesse et tiers d’estomac sur un quart de tabouret.

Allez savoir ce que diront les gastrosophes du futur des raisons qui poussent ainsi nos saisons, les semelles au vent et la bouche pleine mais, en attendant, reconnaître à cette street food d’être souvent la seule à nous faire dire du bien d’un Paris qui ne brille plus franchement en ses trottoirs.

Et de découvrir dans ce 10e d’entre-deux-gares, cette cantina de Comer, petite dernière dans le quartier mais d’ores et déjà parmi les toutes premières au palmarès de l’année. Cantina avec un «a» pour alerter d’une veine mexicaine et d’un certain Carlos Moreno, cuistot nomade, natif de la région de Tabasco devenu néo-Parisien à plaider les petites vérités du taco et du mole

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Le Figaro

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