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Le capitaine de la sélection albiceleste, Lionel Messi (ici le 3 décembre face à l’Australie), dispute au Qatar sa cinquième Coupe du monde. PAUL CHILDS/REUTERS

Redevenu lui-même au PSG et plus indispensable que jamais avec l’Argentine, le septuple Ballon d’Or n’est qu’à trois marches du seul trophée qui lui manque.

Maintenant ou jamais. À 35 ans, Lionel Messi dispute «certainement» sa dernière Coupe du monde, la cinquième. Une ultime occasion de remporter le seul trophée qui se refuse à lui. Ligue des champions, or olympique, Copa America, oui. Sept Ballons d’Or aussi, des records en pagaille et un statut officieux de roi de la planète football partagé avec Cristiano Ronaldo. Mais le Mondial, non. La «Pulga» a effleuré son rêve du doigt en 2014, échouant en finale face à l’Allemagne (0-1) après avoir écarté les Pays-Bas en demies (0-0 ap, 4-2 tab). Les Pays-Bas, c’est justement l’adversaire de l’Argentine ce vendredi soir (20 heures), à Lusail, en quarts de finale d’un Mondial où Messi est en mission, assumant son statut de star et le rôle de guide de tout un peuple.

Rien de surprenant lorsqu’on suit l’actualité du Paris SG. Après une première année parisienne en demi-teinte - un doux euphémisme… -, la légende argentine aux 1000 matchs, 789 buts et 338 passes décisives en professionnel a brillé lors…

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Le Figaro

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