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ENQUÊTE - La semaine dernière, le procès de Jonathann Daval a été aux premiers rangs de l’actualité. Comme bien d’autres avant elle, cette affaire possède un incroyable pouvoir de fascination.
Xavier Dupont de Ligonnès, Jean-Claure Romand, le petit Grégory et, ce mois-ci, Alexia et Jonathann Daval… Surgissant du flot continu des événements et des drames, ces affaires possèdent un incroyable pouvoir de fascination.
A moins d’un nouveau coup de théâtre, on n’entendra plus jamais le nom de Jonathann Daval. Samedi 21 octobre, à Vesoul, la cour d’assises de Haute-Saône et du Territoire de Belfort a condamné ce jeune homme à 25 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme, Alexia. Pendant les six jours qu’a duré ce procès, l’affaire à laquelle il a donné son nom a tenu les premiers rangs de l’actualité: chaînes d’info en direct, journaux nationaux, radios: plus de quarante journalistes - dont notre consœur, Aude Bariéty*- s’étaient accrédités pour suivre les débats.
Jusqu’au bout, les rebondissements se sont succédé: récit glaçant de cette soirée du 28 octobre 2017 au cours de laquelle une énième dispute s’est conclue par la mort d’Alexia ; témoignages d’une famille toujours
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