Le président français Emmanuel Macron parle alors qu'il porte un masque facial lors d'une session territoriale du Conseil national de la refondation sur la santé (CNR) à Fontaine-le-Comte, près de Poitiers, en France 8 décembre 2022.
Le président français Emmanuel Macron parle alors qu'il porte un masque facial lors d'une session territoriale du Conseil national de la refondation sur la santé (CNR) à Fontaine-le-Comte, près de Poitiers, en France 8 décembre 2022.
Le président français Emmanuel Macron parle alors qu'il porte un masque facial lors d'une session territoriale du Conseil national de la refondation sur la santé (CNR) à Fontaine-le-Comte, près de Poitiers, en France 8 décembre 2022. TERESA SUAREZ / AFP

Face à une neuvième vague de Covid-19 qui s'ajoute à des épidémies de grippe et bronchiolite, le gouvernement n'exclut pas de durcir sa position sur le masque si la situation l'impose.

Emmanuel Macron a remis un masque ce jeudi 8 décembre lors d'un déplacement dans la Vienne, estimant qu'il était nécessaire de «reprendre des habitudes» face à la remontée de l'épidémie de Covid-19, «sur la base du volontariat».

«Je suis les préconisations de mon ministre», a-t-il dit, aux côtés du ministre de la Santé François Braun, également masqué, à l'occasion d'une session du Conseil national de la refondation (CNR) à Fontaine-le-Comte, près de Poitiers. François Bayrou, secrétaire général du CNR, d'abord sans masque, s'est finalement aussi résolu à en porter un.

«C'est bien de faire de la pédagogie»

«Face à la remontée de l'épidémie (..) je pense que c'est bien de faire de la pédagogie parce qu'on n'a pas envie de revenir vers des obligations généralisées forcément», a poursuivi le chef de l'État. «Donc c'est aussi une manière de reprendre des habitudes basées sur le volontariat et l'esprit de responsabilité», a-t-il souligné.

Face à une neuvième vague de Covid-19 qui s'ajoute à des épidémies de grippe et bronchiolite, le gouvernement refuse encore la coercition mais n'exclut pas de durcir sa position sur le masque si la situation l'impose. Dimanche, François Braun, invité de BFMTV, a lancé un «appel solennel» pour inciter les plus fragiles à se faire vacciner face à cette vague.

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