Essentiel

  • Le chef de l'État a déclaré ce samedi que j'ai confirmé "la confiance". Malgré le risque d'une impasse post-législative, le Premier ministre est « sur le long terme ».
  • Sophie Tire Polian, vice-présidente adjointe des écologistes, assure que son groupe ne rejoint pas la majorité des présidents.
  • Le patron du MoDem, François Bayrou, ne croit pas qu'un "accord de dispositif" ou une "coalition" avec des opposants soit possible.

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9 : 24 : Fabien Roussel lance le soupçon

"Je soutiens tout ce qui va dans le sens de la défense du pouvoir d'achat des Français", a prévenu le patron communiste de LCI. Je ne peux pas participer au gouvernement qui relève l'âge de la retraite. »

9h16 : " Placement LFI impossible "

Numéro 2 LFI Adrien Quatennens a confirmé dimanche qu'il n'y avait "pas d'arrangement possible" avec le gouvernement d'Emmanuel Macron. Et « aucun risque » à ses yeux sur la dissolution de l'Alliance de gauche Nupes sur ce dossier.

9h10 : LREM " Confiant mais pas optimiste "

Député LREM Gilles Le Gendre déclare : "De toute évidence, les forces politiques du gouvernement ne sont pas prêtes pour une grande coalition dont on peut rêver dans le modèle allemand." Cependant, la majorité "ont une personnalité qui a exprimé le désir de travailler".

09h00 : Enquêter si " accord gouvernemental " est possible

Actualités La mission confiée par Emmanuel Macron à Elizabeth Borne depuis une semaine s'annonce difficile, la majorité n'y croit pas, et les opposants ont déjà fait office de "béquilles".Je refuse.

Bonjour à tous  !

Ces élections législatives sous la Ve République sont historiquement caractérisées par une montée explosive des scores de l'Union nationale et l'échec du parti présidentiel à obtenir la majorité absolue au parlement. Par conséquent,20 minutescontinueront à suivre et à modifier les événements de cette nouvelle journée politique pour que vous les viviez. Cette semaine, Emmanuel Macron confie une mission à Elizabeth Borne : enquêter sur la possibilité d'un "accord de gouvernement". Un défi qui s'annonce difficile si une partie de la majorité ne croit pas en elle-même et que l'opposition a déjà refusé d'agir en « béquilles ».