Grande arrivée orale : pour la première fois,Elizabeth Bornes'exprimera au parlement en tant que Premier ministre ce mercredison opportunité générale pour un discours politique. Depuis Edith Cresson en 1991, du moment qu'elle est la première femme à se lancer dans cet exercice, et elle l'est généralement en ce qu'elle dispose d'une majorité relativement large parmi ses agents.
Contrairement à la plupart des prédécesseurs, elle se soumet à un vote de confiance de 15 h devant un député à 21 h devant un sénateur après avoir publié les grandes priorités du gouvernement. Des leaders de divers groupes interviennent dans son réveil dans une ambiance qui promet de l'électricité.
Elisabeth Borne interviendra également au JT de 20h de TF1.
Suivez ses discours et réactions de politique générale en direct :
15h52 : les agents de gauche ont compilé leurs mouvements
Il a été confirmé : Les quatre groupes de gauche au parlement en signe de « rébellion » contre le gouvernement. Le vote de défiance a été bouleversé. Immédiatement avant la déclaration de politique générale d'Elizabeth Borne.
« S'il n'y a pas de résolution de défiance » et « Je dois soumettre cette résolution de défiance » sans demande du Premier ministre, donnée à LFI, au PS, aux écologistes et au président de la Diète, les communistes de leur texte transmis à la presse.
14h50 : Vote de défiance après le discours
Absence de majorité, Elizabeth Le gouvernement a été réorganisé lundiaprès la gifle législativeBorne ne chercherait pas la confiance des législateurs. Elle rejoint les sept prédécesseurs de gauche et de droite qui ont renoncé à rechercher la confiance des membres de la Ve République lors de la Déclaration de politique générale. Ce fut le cas de Maurice Couve de Marville, Georges Pompidou, Pierre Messmer, Raymond Barre, Michel Rocard, Edith Cresson et Pierre Beregoboy.
14h45 : Déjà un vote de défiance
Depuis mardi, Nupes The alliance qui est partie a annoncé qu'elle ferait une motion de censure. "Cela met chacun à ses risques et périls", clame la dirigeante de LFI, Mathilde Panot. Le texte sera revu vendredi, mais il est peu probable qu'il soit adopté.
"Probablement oui, elle ne sera pas embauchée, mais c'est important de décrocher le certificat. La démocratie n'est pas fortuite dans notre pays", a déclaré mercredi Panot auprès de BFMTV. Dit sur RMC.
14h45 : Bienvenue dans cette émission en direct consacrée au discours politique général d'Elizabeth Borne. Celle-ci débutera à 15h.
