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Aurélien Pradié (ici en campagne à Paris, le 26 novembre) souhaite réinstaller LR en position de «reconquête». GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP

REPORTAGE - Le député du Lot mise sur l’effet de curiosité qu’il suscite chez les militants.

Envoyé spécial à Évreux

La voiture d’Aurélien Pradié quitte l’arc de Triomphe et met le cap sur la Normandie. Le candidat à la présidence des Républicains, poursuit sa campagne sur un rythme soutenu: déjà 72 déplacements au compteur. Il s’est couché à 2 heures du matin, mais sa forme physique ne laisse rien transparaître. Il semble même plutôt détendu, à quatre jours d’un scrutin important. Il se voit comme le seul des trois compétiteurs à avoir «vraiment envie» de relever le challenge de cette présidence, même si ses rivaux, Éric Ciotti et Bruno Retailleau, ne ménagent pas leur peine, eux aussi, depuis le début de la bataille.

Mardi soir, lors d’une immersion à Provins, sur les terres de Christian Jacob, le jeune député du Lot a eu l’occasion de saluer le dernier président des Républicains élu. Il a remercié celui qui l’avait nommé au poste de secrétaire général de lui avoir «tant appris». Et le message qu’il veut défendre une nouvelle fois à Évreux mercredi est celui d’un élu apte à assurer…

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Le Figaro

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