Éric Dupond-Moretti lors de la passation de pouvoir avec Nicole Belloubet au ministère de la justice, à Paris le 7 juillet 2020.
Éric Dupond-Moretti lors de la passation de pouvoir avec Nicole Belloubet au ministère de la justice, à Paris le 7 juillet 2020.
Éric Dupond-Moretti lors de la passation de pouvoir avec Nicole Belloubet au ministère de la justice, à Paris le 7 juillet 2020. Francois Bouchon / Le Figaro

Le garde des Sceaux est accusé d'avoir profité de sa fonction pour régler des comptes avec des magistrats à qui il s'était opposé quand il était avocat.

Éric Dupond-Moretti a affirmé mardi 4 octobre que sa démission n'était «pas à l'ordre du jour», au lendemain de la décision de la Cour de justice de la République de le renvoyer en procès pour «prise illégale d'intérêts».

«Un pourvoi en cassation a été formé et je ferai valoir un certain nombre d'éléments de droit. Et s'il fallait que je sois jugé, je dirais ce que j'ai à dire, je suis un justiciable comme un autre», a ajouté le ministre de la Justice en marge d'un déplacement à Paris.

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