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Florian D., à Paris, en mai 2019, à l’occasion de la promotion de son livre «Jusqu’à Raqqa», publié sous le nom d’André Hébert, l’un de ses pseudonymes. JOEL SAGET/AFP

INFO LE FIGARO - L’ex-combattant en Syrie et figure de l’ultragauche, est soupçonné de complot contre les forces de l’ordre.

Il s’agissait du seul dossier terroriste de l’ultragauche à l’instruction. Dans son réquisitoire signé le 23 novembre, le parquet national antiterroriste a requis le renvoi, devant le tribunal correctionnel, de sept personnes âgées d’une trentaine d’années (six hommes et une femme) pour association de malfaiteurs terroriste délictuelle. Le 8 décembre 2020, des enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure interpellaient neuf personnes dans le Sud-Ouest, en banlieue parisienne et en Bretagne. Sept d’entre elles, âgées de 30 à 36 ans, étaient mises en examen. Tous sont aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Le dernier suspect a été libéré sous bracelet électronique en avril 2022 pour motif médical après une grève de la faim.

La justice le considère comme le meneur d’un groupe accusé de préparer un projet terroriste non finalisé. Né en 1990, Florian D. est connu sous les pseudos et surnoms d’«André Hébert» (son nom de plume), «Libre Flot» (son surnom sur les sites militants)…

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