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Guerre en Ukraine, en direct : des avocats russes se disent submergés par les demandes d’aide pour éviter la mobilisation

Des jeunes hommes marchent devant un panneau d’affichage faisant la promotion du service militaire à Saint-Pétersbourg le 29 septembre 2022.

Live en cours

« Nous travaillons vingt-quatre heures sur vingt-quatre », a déclaré à Reuters Sergueï Krivenko, qui dirige Citizen Army Law, un groupe de défense des droits de l’homme composé d’une dizaine d’avocats.

Ce qu’il faut savoir en ce 223ᵉ jour de guerre en Ukraine

  • La Suède bloque une zone dans la mer baltique, autour des fuites des gazoducs Nord Stream, afin de procéder à une enquête pour « sabotage aggravé ». Les fuites sur les gazoducs ont cessé ou considérablement chuté lundi, permettant une inspection de ceux endommagés. « Nous sommes à une étape intense de l’enquête », a déclaré le procureur Mats Ljungqvist.
  • Lundi la Russie a lancé onze missiles et effectué dix frappes aériennes en plus de soixante-cinq roquettes tirées sur trente-cinq zones de l’armée ukrainienne. Des immeubles de la ville de Zaporijia ont été endommagés par les récents bombardements, selon Study of War, l’institut américain.
  • L’Ukraine a annoncé, dimanche, avoir repris la ville de Lyman, un nœud ferroviaire crucial dans la région de Donetsk annexée récemment par la Russie. « Lyman est totalement débarrassée [de l’armée russe]. Merci à nos militaires », s’est félicité le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
  • Selon l’Institute for the Study of War, les forces ukrainiennes ont repris leurs contre-offensives dans le nord de l’oblast de Kherson et ont sécurisé des positions à Zolota Balka et Khrechtchenivka. Des sources russes ont affirmé que les forces ukrainiennes avaient également libéré Chevtchenkivka et Lioubymivka, poussant les forces russes vers de nouvelles positions défensives autour de Mykhaïlivka.
  • La ratification de l’annexion des quatre régions ukrainiennes par la Russie suit son cours à Moscou. Après la signature des traités vendredi en grande pompe au Kremlin par M. Poutine et les dirigeants des régions séparatistes et occupées, la Cour constitutionnelle russe les a jugés, dimanche, « conformes à la Constitution ». Les députés russes ont également approuvé lundi 3 octobre, à l’unanimité, la loi sur l’annexion des quatre régions ukrainiennes. Ces annexions ne sont toutefois pas reconnues par la communauté internationale.
  • Le pape François a « supplié » Vladimir Poutine d’« arrêter » la « spirale de violence et de mort » en Ukraine, tout en déplorant les annexions « contraires au droit international ». Pour le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, l’annexion par la Russie de territoires ukrainiens rend « beaucoup plus difficile, impossible, presque, la fin de la guerre ».
  • Le président français, Emmanuel Macron, qui a échangé dimanche avec M. Zelensky, a promis de travailler à de « nouvelles sanctions » européennes contre Moscou.
  • Pour la rentrée parlementaire, les députés français débattent de la situation en Ukraine. Ce débat ne donnera pas lieu à un vote. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, revient d’un déplacement en Ukraine avec plusieurs parlementaires de la majorité et la vice-présidente socialiste Valérie Rabault, pour manifester la « solidarité de la France ». Dans son discours d’introduction, la première ministre, Elisabeth Borne, a affirmé que la France allait « rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie ». « Abandonner les sanctions, ce serait abandonner l’Ukraine. Ce serait renoncer à nos valeurs », a-t-elle ajouté.
  • Le directeur général de la centrale nucléaire de Zaporijia, Ihor Mourachov, a été libéré lundi, a annoncé l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). « J’ai reçu la confirmation qu’il est rentré chez lui sain et sauf », a tweeté son directeur général, Rafael Grossi. Kiev avait dénoncé samedi une « détention illégale » après l’arrestation de M. Mourachov, vendredi 30 septembre, pour une raison inconnue.

Tout le live

Une personne tuée et au moins deux autres blessées dans des bombardements à Kharkiv, selon le gouverneur de la région

Plusieurs missiles ont frappé Kharkiv dans la nuit, endommageant ses infrastructures et provoquant des coupures de courant. Le gouverneur de Kharkiv, Oleh Synehoubov, a précisé sur Telegram qu’une personne avait été tuée et qu’au moins deux autres, dont une fillette de 9 ans, avaient été blessées.

Le point en carte sur les dernières avancées ukrainiennes

Comment une déclaration du président ukrainien, se réjouissant des tensions dans le haut commandement russe, a été détournée par les relais francophones du Kremlin

Un appel au génocide du peuple russe. C’est ainsi qu’a été perçu, dans les sphères pro-Poutine françaises, le discours du président ukrainien, dans la soirée de samedi 1er octobre. Selon un extrait du live de BFM-TV partagé sur Twitter, Volodymyr Zelensky aurait prévenu, dans son allocution vidéo quotidienne, « les Russes qu’ils seraient “tués un par un” tant que Poutine sera au pouvoir ». Florian Philippot, président des Patriotes, a commenté ce tweet en s’offusquant :« D’accord donc en fait on soutient, finance et arme un génocidaire ? ! » « L’extermination “un par un de tous les civils russes” (…) s’apparente à du nazisme pur et dur », a surenchéri François Asselineau, ancien candidat souverainiste à la présidentielle. Reprenant, par ces mots, la propagande du Kremlin selon laquelle l’Ukraine aurait à sa tête un gouvernement néonazi russophobe.

Dans son discours, dont le prononcé en ukrainien est disponible sur le site officiel de la présidence de l’Ukraine, à aucun moment Volodymyr Zelensky n’a appelé à tuer des Russes. D’ailleurs, il n’emploie même pas le terme « tuer » (убивати/вбивати [forme imperf.] убити/вбити [perf.]).

Pour en savoir plus, vous pouvez lire cet article :

Les avocats russes submergés par les demandes d’aide pour éviter la mobilisation en Ukraine

Les avocats russes se disent submergés par les demandes d’aide de la part de Russes cherchant à échapper à l’appel à la mobilisation du président, Vladimir Poutine, pour combattre en Ukraine. « Nous travaillons vingt-quatre heures sur vingt-quatre », a déclaré à Reuters Sergueï Krivenko, qui dirige Citizen Army Law, un groupe de défense des droits de l’homme composé d’une dizaine d’avocats.

Sergueï Krivenko a rappelé :

Les gens sont arrachés à leur vie normale. Il s’agit d’une mobilisation sans limite de temps en temps de guerre. Elle peut durer des mois ou des années. Les gens peuvent ne pas revenir… Il est pratiquement impossible de quitter l’armée. La seule solution est la mort, les blessures ou la prison pour avoir désobéi aux ordres (…). Ceux qui viennent nous voir sont paniqués. Ils ne comprennent pas ce qui se passe. Ils mobilisent n’importe qui. Et la loi les autorise à recruter n’importe qui.

« La mobilisation partielle [dans la région] se déroule conformément à la législation en vigueur », estime le gouverneur de la région russe de Koursk

Le gouverneur de l’oblast de Koursk, en Russie, Romain Starovoït, a expliqué sur Telegram que « la mobilisation partielle [dans la région] se déroule conformément à la législation en vigueur et aux critères de sélection prévus par le président russe Vladimir Poutine ». Il a précisé :

Nous traitons individuellement toutes les plaintes qui arrivent à l’administration (…). Pour le moment, nous avons 149 recours, 71 ont déjà été examinés. Au total, 45 décisions ont été prises dans la région pour annuler la mobilisation.

Au sud de Mykolaïv

Un mois après le début de la contre-offensive sur Kherson, Kiev a annoncé, dimanche, avoir réalisé une percée, le long du Dniepr. Sur le terrain, les soldats ukrainiens croient déjà à la victoire.

Artem Gradoun, ou « Grad », selon son nom de guerre, est un combattant du 206e bataillon de la défense territoriale. Depuis une position de l’armée ukrainienne, à quelques kilomètres des forces russes, il écoute les bombardements, à la frontière entre la région administrative de Mykolaïv et celle de Kherson, en Ukraine, le 27 septembre 2022. Un fusil d’assaut AK-47 démonté sur une base du 206e bataillon de la défense territoriale ukrainienne entre la région administrative de Mykolaïv et celle de Kherson, le 27 septembre 2022. Andreï, nom de guerre « Des », combattant au sein du 206e bataillon de la défense territoriale, à la frontière entre la région administrative de Mykolaïv et celle de Kherson, le 27 septembre 2022. Des combattants ukrainiens de la 59e brigade motorisée au sud-est de Mykolaïv, en Ukraine, le 29 septembre 2022. Un mannequin représentant Vladimir Poutine avec un cible sur le front au sud-est de Mykolaïv, le 29 septembre 2022.

Nous voyons les noms de localités, en russe, en ukrainien, en anglais et essayons de suivre sur les différentes cartes que nous utilisons. Ensuite, le service infographie du journal produit des cartes qui résument la situation, que nous publions régulièrement dans le live du jour.

Ukraine War Mapper : https://twitter.com/War_Mapper
Vous trouverez ici la situation sur le front de Kherson.

Institute for the Study of War : https://twitter.com/TheStudyofWar

MilitaryLand : https://militaryland.net/qui présente la situation sur le terrain au 220e jour de guerre.

Et, bien sûr : https://liveuamap.com/ (comme le suggère yaka)

La chambre haute du Parlement russe approuve les annexions en Ukraine

Le Conseil des fédérations, la chambre haute du Parlement russe, a approuvé mardi à l’unanimité le rattachement à la Russie des quatre régions administratives ukrainiennes dont le président Vladimir Poutine avait approuvé vendredi l’annexion. La Douma d’Etat, la chambre basse du Parlement, avait, elle aussi, entériné à l’unanimité lundi l’annexion des oblasts de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia.

Avec une unité ukrainienne au sud de Mykolaïv

Un mois après le début de la contre-offensive sur Kherson, Kiev a annoncé, dimanche, avoir réalisé une percée, le long du Dniepr. Sur le terrain, les soldats ukrainiens croient déjà à la victoire.

La région de Lyman aux mains des soldats ukrainiens

Un homme utilise une pompe à eau devant un immeuble d’habitations détruit par les bombardements, à Lyman, le 3 octobre 2022. Des militaires ukrainiens le long de la route aux abords de Lyman, après la reconquête de Kiev, le 3 octobre 2022. Un membre des forces de Kiev se fait couper les cheveux au cœur d’une forêt aux abords de Lyman, dans l’est de l’Ukraine, le 3 octobre 2022. Des militaires ukrainiens recherchent des corps sans vie le long de la route aux abords de Lyman, après la reconquête de Kiev, le 3 octobre 2022. Un militaire ukrainien patrouille près d’une forêt située aux abords de Lyman, ville libérée par Kiev, le 3 octobre 2022.

En Ukraine, au sud de Mykolaïv, une unité dans la guerre de position : « J’ai vu les Russes de mes propres yeux »

Un mois après le début de la contre-offensive sur Kherson, Kiev a annoncé, dimanche, avoir réalisé une percée, le long du Dniepr. Sur le terrain, les soldats ukrainiens croient déjà à la victoire.

Un militaire ukrainien assis sur un morceau de véhicule blindé, aux abords de la ville de Lyman, en Ukraine. Le 3 octobre 2022.

Ce qu’il faut savoir en ce 223ᵉ jour de guerre en Ukraine

  • La Suède bloque une zone dans la mer baltique, autour des fuites des gazoducs Nord Stream, afin de procéder à une enquête pour « sabotage aggravé ». Les fuites sur les gazoducs ont cessé ou considérablement chuté lundi, permettant une inspection de ceux endommagés. « Nous sommes à une étape intense de l’enquête », a déclaré le procureur Mats Ljungqvist.
  • Lundi la Russie a lancé onze missiles et effectué dix frappes aériennes en plus de soixante-cinq roquettes tirées sur trente-cinq zones de l’armée ukrainienne. Des immeubles de la ville de Zaporijia ont été endommagés par les récents bombardements, selon Study of War, l’institut américain.
  • L’Ukraine a annoncé, dimanche, avoir repris la ville de Lyman, un nœud ferroviaire crucial dans la région de Donetsk annexée récemment par la Russie. « Lyman est totalement débarrassée [de l’armée russe]. Merci à nos militaires », s’est félicité le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
  • Selon l’Institute for the Study of War, les forces ukrainiennes ont repris leurs contre-offensives dans le nord de l’oblast de Kherson et ont sécurisé des positions à Zolota Balka et Khrechtchenivka. Des sources russes ont affirmé que les forces ukrainiennes avaient également libéré Chevtchenkivka et Lioubymivka, poussant les forces russes vers de nouvelles positions défensives autour de Mykhaïlivka.
  • La ratification de l’annexion des quatre régions ukrainiennes par la Russie suit son cours à Moscou. Après la signature des traités vendredi en grande pompe au Kremlin par M. Poutine et les dirigeants des régions séparatistes et occupées, la Cour constitutionnelle russe les a jugés, dimanche, « conformes à la Constitution ». Les députés russes ont également approuvé lundi 3 octobre, à l’unanimité, la loi sur l’annexion des quatre régions ukrainiennes. Ces annexions ne sont toutefois pas reconnues par la communauté internationale.
  • Le pape François a « supplié » Vladimir Poutine d’« arrêter » la « spirale de violence et de mort » en Ukraine, tout en déplorant les annexions « contraires au droit international ». Pour le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, l’annexion par la Russie de territoires ukrainiens rend « beaucoup plus difficile, impossible, presque, la fin de la guerre ».
  • Le président français, Emmanuel Macron, qui a échangé dimanche avec M. Zelensky, a promis de travailler à de « nouvelles sanctions » européennes contre Moscou.
  • Pour la rentrée parlementaire, les députés français débattent de la situation en Ukraine. Ce débat ne donnera pas lieu à un vote. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, revient d’un déplacement en Ukraine avec plusieurs parlementaires de la majorité et la vice-présidente socialiste Valérie Rabault, pour manifester la « solidarité de la France ». Dans son discours d’introduction, la première ministre, Elisabeth Borne, a affirmé que la France allait « rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie ». « Abandonner les sanctions, ce serait abandonner l’Ukraine. Ce serait renoncer à nos valeurs », a-t-elle ajouté.
  • Le directeur général de la centrale nucléaire de Zaporijia, Ihor Mourachov, a été libéré lundi, a annoncé l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). « J’ai reçu la confirmation qu’il est rentré chez lui sain et sauf », a tweeté son directeur général, Rafael Grossi. Kiev avait dénoncé samedi une « détention illégale » après l’arrestation de M. Mourachov, vendredi 30 septembre, pour une raison inconnue.

Bonjour à toutes et toutes

Soyez les bienvenus dans ce nouveau direct consacré à la guerre en Ukraine.

Le live d’hier est disponible en cliquant sur ce lien.

Kiev Kiev Kharkiv Kharkiv Lviv Lviv Sébastopol Sébastopol Odessa Odessa Dnipro Dnipro Tchernihiv Tchernihiv Marioupol Marioupol Donetsk Donetsk Louhansk Louhansk Brest Brest Kherson Kherson Vinnytsia Vinnytsia Tcherkassy Tcherkassy Soumy Soumy Zaporijia Zaporijia Mykolaïv Mykolaïv Kryvy Rih Kryvy Rih Izioum Izioum Sievierodonetsk Sievierodonetsk Mer Noire Biélorussie Russie Roumanie Moldavie Ukraine 100 km

Russie et alliés

Crimée, annexée depuis 2014

Territoire où se trouve l'armée russe

Où l'armée russe mène des opérations

Mouvements russes

Contre-attaque ukrainienne

Ville tenue par les Ukrainiens

Ville conquise par les Russes

Ville au statut disputé

Centrales nucléaires en service

Le contexte

Live animé par Solène L'Hénoret

Image de couverture : Des jeunes hommes marchent devant un panneau d’affichage faisant la promotion du service militaire à Saint-Pétersbourg le 29 septembre 2022. OLGA MALTSEVA / AFP

  • La Suède bloque une zone dans la mer baltique, autour des fuites des gazoducs Nord Stream, afin de procéder à une enquête pour « sabotage aggravé ». Les fuites sur les gazoducs ont cessé ou considérablement chuté lundi, permettant une inspection de ceux endommagés. « Nous sommes à une étape intense de l’enquête », a déclaré le procureur Mats Ljungqvist.
  • Lundi la Russie a lancé onze missiles et effectué dix frappes aériennes en plus de soixante-cinq roquettes tirées sur trente-cinq zones de l’armée ukrainienne. Des immeubles de la ville de Zaporijia ont été endommagés par les récents bombardements, selon Study of War, l’institut américain.
  • L’Ukraine a annoncé, dimanche, avoir repris la ville de Lyman, un nœud ferroviaire crucial dans la région de Donetsk annexée récemment par la Russie. « Lyman est totalement débarrassée [de l’armée russe]. Merci à nos militaires », a félicité le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
  • Selon l’Institute for the Study of War, les forces ukrainiennes ont repris leurs contre-offensives dans le nord de l’oblast de Kherson et ont sécurisé des positions à Zolota Balka et Khrechtchenivka. Des sources russes ont affirmé que les forces ukrainiennes avaient également libéré Chevtchenkivka et Lioubymivka, poussant les forces russes vers de nouvelles positions défensives autour de Mykhaïlivka.
  • La ratification de l’annexion des quatre régions ukrainiennes par la Russie suit son cours à Moscou. Après la signature des traités vendredi en grande pompe au Kremlin par M. Poutine et les dirigeants des régions séparatistes et occupées, la Cour constitutionnelle russe les a jugés, dimanche, « conformes à la Constitution ». Les députés russes ont également approuvé lundi 3 octobre, à l’unanimité, la loi sur l’annexion des quatre régions ukrainiennes. Ces annexions ne sont toutefois pas reconnues par la communauté internationale.
  • Le pape François a « supplié » Vladimir Poutine d’« arrêter » la « spirale de violence et de mort » en Ukraine, tout en déplorant les annexions « contraires au droit international ». Pour le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, l’annexion par la Russie de territoires ukrainiens rend « beaucoup plus difficile, impossible presque, la fin de la guerre ».
  • Le président français, Emmanuel Macron, qui a échangé dimanche avec M. Zelensky, a promis de travailler à de « nouvelles sanctions » européennes contre Moscou.
  • Pour la rentrée parlementaire, les députés français débattent de la situation en Ukraine. Ce débat ne donnera pas lieu à un vote. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, revient d’un déplacement en Ukraine avec plusieurs parlementaires de la majorité et la vice-présidente socialiste Valérie Rabault, pour manifester la « solidarité de la France ». Dans son discours d’introduction, la première ministre, Elisabeth Borne, a affirmé que la France allait « rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie ». « Abandonner les sanctions, ce serait abandonner l’Ukraine. Ce serait renoncer à nos valeurs », a-t-elle ajouté.
  • Le directeur général de la centrale nucléaire de Zaporijia, Ihor Mourachov, a été libéré lundi, a annoncé l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). « J’ai reçu la confirmation qu’il est rentré chez lui sain et sauf », a tweeté son directeur général, Rafael Grossi. Kiev avait dénoncé samedi une « détention illégale » après l’arrestation de M. Mourachov, vendredi 30 septembre, pour une raison inconnue.

Retrouvez notre direct d’hier en cliquant sur ce lien.

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