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Guerre en Ukraine EN DIRECT : Fragilisé sur le terrain, Vladimir Poutine devrait prendre la parole d'ici quelques minutes…

14h05 : Suivez l'allocation du chef du Kremlin

🔴 Le discours de Poutine sur l'annexion des territoires ukrainiens

🕑 Demain, à 14H00 sur BFMTV pic.twitter.com/lCraEGLlvc

— BFMTV (@BFMTV) September 29, 2022

13h21 : Moscou contrôle 72 % de la superficie de la région de Zaporojie

Selon le groupe de réflexion américain ISW (Institute for the Study of War), Moscou contrôle 72 % de la superficie de la région de Zaporojie.

Et quelque 88 % de celle de Kherson et sa capitale éponyme sont sous occupation russe, selon la même source.

Vladimir Poutine doit formaliser l’annexion des quatre régions lors d’une cérémonie au Kremlin après midi (14 heures en France).

12h35 : Le Kremlin annonce qu’il doit encore « clarifier » les frontières de deux régions qu’il annexe

Le Kremlin a indiqué vendredi devoir encore « clarifier » si la Russie annexait la totalité des régions ukrainiennes de Kherson et de Zaporijjia ou uniquement les parties qu’elle occupe.

« En ce qui concerne (les frontières) des régions de Kherson et Zaporijjia, je dois clarifier », a dit le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à deux heures de la cérémonie à l’issue de laquelle Vladimir Poutine doit formaliser l’annexion de quatre régions d’Ukraine.

12h15 : les forces russes « partiellement encerclées » à Lyman, dans l’Est

Les forces russes sont « partiellement encerclées » dans la ville de Lyman, important nœud ferroviaire dans l’est de l’Ukraine, a reconnu vendredi un haut responsable séparatiste, le jour de l’annexion prévue par Moscou de quatre régions ukrainiennes.

« A l’heure actuelle, Lyman est partiellement encerclée. La route de Svatové est sous notre contrôle, mais sous le feu périodiquement », a indiqué sur Telegram Denis Pouchiline, à la tête du bastion séparatiste de Donetsk.

11h57 : Le sourire de la liberté retrouvée

Six Ukrainian prisoners of war pose for a picture after being released from Russian captivity in a prisoner exchange on Sept. 29.

📸 Andriy Yermak / Telegram pic.twitter.com/NpmthFL9Iw

— The Kyiv Independent (@KyivIndependent) September 29, 2022

11h20 : Volodymyr Zelensky traite la Russie de « racaille sanguinaire » après la frappe à Zaporojie

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est emporté vendredi contre la Russie, traitant ses dirigeants de « terroristes » et de « racaille sanguinaire » après une frappe sur une colonne de civils à Zaporijjia, qui a fait au moins 25 morts et 50 blessés.

« Seuls des terroristes complets peuvent faire ça et ne devraient pas avoir leur place dans le monde civilisé », a indiqué Zelensky sur Telegram, avant de lancer : « Racaille sanguinaire ! Vous répondrez certainement pour chaque vie ukrainienne perdue ! ». Les autorités prorusses accusent en retour Kiev pour cette frappe meurtrière.

11h00 : En Syrie, les frappes russes ont baissé en intensité depuis le début de la guerre en Ukraine

Les bombardements de l’armée russe en Syrie ont baissé en intensité depuis le début de l’offensive de Moscou en Ukraine, a indiqué vendredi une ONG syrienne dans un rapport marquant le septième anniversaire de l’intervention militaire de la Russie aux côtés du régime de Damas.

Depuis le 30 septembre 2021, les frappes russes ont fait 241 morts, en grande majorité des combattants du groupe djihadiste Etat islamique mais aussi 28 civils, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) dans son rapport.

10h35 : Le bilan des pertes russes

These are the indicative estimates of Russia's combat losses as of Sept. 30, according to the Armed Forces of Ukraine. pic.twitter.com/uNwaeuabxN

— The Kyiv Independent (@KyivIndependent) September 30, 2022

10h19 : Londres « n’acceptera jamais » l’annexion par la Russie de quatre régions ukrainiennes

Le Royaume-Uni « n’acceptera jamais » l’annexion par la Russie de quatre régions ukrainiennes, que doit entériner vendredi Vladimir Poutine, a averti la Première ministre Liz Truss, accusant le président russe d’user de la « force brute » pour « modifier les frontières internationales ».

« Le Royaume-Uni n’ignorera jamais la volonté souveraine de ces peuples et nous n’accepterons jamais les régions de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia comme autre chose qu’un territoire ukrainien », a déclaré Mme Truss dans un communiqué, ajoutant : « On ne peut pas laisser Poutine modifier les frontières internationales par la force brute. Nous ferons en sorte qu’il perde cette guerre illégale ».

10h01 : Le Maire convoque mercredi les énergéticiens, qui « ne jouent pas le jeu » sur les prix

Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a demandé vendredi aux fournisseurs d’énergie des efforts supplémentaires pour garantir des « prix raisonnables » aux PME, les accusant de ne pas suffisamment « jouer le jeu », ajoutant qu’il compte les réunir mercredi prochain à Bercy.

« Je pense qu’aujourd’hui [les fournisseurs d’énergie] ne jouent pas suffisamment le jeu avec leurs clients, notamment les PME », a-t-il affirmé sur Europe 1, citant directement TotalEnergies, Engie et EDF.

09h50 : L'ami ailé

Friends are different. pic.twitter.com/lXspAXVbxe

— UkrARMY cats & dogs (@UAarmy_animals) September 29, 2022

09h39 : Des images de Mykolaïv, bombardée dans la nuit

⚡️ Mykolaiv. Updated information. According to the results of the shelling, four apartments were destroyed, and six were partially destroyed, reports advisor of the head of the President’s Office, Kyrylo Tymoshenko. pic.twitter.com/KKrRKC1grb

— FLASH (@Flash_news_ua) September 30, 2022

09h27 : « Pourquoi tout ce remue-ménage autour d'un simple gazoduc ?"

This cartoon is from 1982 pic.twitter.com/TbyGb7vEte

— sven sakkov (@sakkov) September 29, 2022

09h16 : L’occupation russe accuse Kiev de la frappe meurtrière dans la région de Zaporojie

L’occupation russe dans la région de Zaporojie (sud) a accusé vendredi l’Ukraine d’une frappe meurtrière sur une colonne de voitures civiles, que Kiev imputait plus tôt à la Russie, faisant état de 23 morts.

« Les combattants ukrainiens ont commis un nouvel acte terroriste. Voyant que la population allait en masse dans la partie [occupée] de Zaporojie, ils ont frappé une colonne de dizaines de voitures civiles », a indiqué sur Telegram un responsable de l’occupation régionale, Vladimir Rogov.

09h07 : Un responsable de l’occupation russe à Kherson tué dans une frappe ukrainienne

Un responsable de l’administration d’occupation russe dans la région de Kherson, dans le sud de l’Ukraine, a été tué dans la nuit de jeudi à vendredi dans une frappe ukrainienne, ont annoncé les autorités locales.

Alexeï Katerinitchev, premier adjoint au chef de l’administration de la région de Kherson, en charge de la sécurité, a été tué « dans une frappe précise » menée par les forces ukrainiennes à l’aide de deux missiles lancés par un système HIMARS sur son domicile, a indiqué un cadre de l’occupation russe, Kirill Stremooussov, cité par l’agence de presse russe TASS.

08h59 : Soupir de soulagement outre-manche

Le produit intérieur brut (PIB) britannique, qu’une première estimation avait donné en baisse de 0,1 % au deuxième trimestre, a finalement enregistré une hausse de 0,2 % sur cette période, selon un chiffre révisé publié vendredi par l’Office national des statistiques (ONS) britannique.

Ce chiffre révisé apaise les craintes d’une entrée du Royaume-Uni en récession dès le troisième trimestre, puisque deux trimestres consécutifs de contraction économique constituent l’une des définitions techniques classiques d’une récession.

08h47 : L’inflation ralentit en septembre à 5,6 %, selon une estimation provisoire

La hausse des prix à la consommation en France a ralenti en septembre, à 5,6 % sur un an, contre 5,9 % en août, selon les données provisoires publiées vendredi par l’Insee.

Ce recul de l’inflation est dû au « ralentissement » de la hausse des prix de l’énergie et des services, explique l’Institut national de la statistique dans un communiqué, tandis que la progression des prix de l’alimentation s’accélère et que celle des produits manufacturés se poursuit à un rythme proche du mois précédent.

08h40 : Au moins 23 morts dans une frappe russe dans le sud de l’Ukraine

L’Ukraine a accusé vendredi la Russie d’avoir tué 23 personnes, des civils faisant la queue pour recevoir de l’aide humanitaire, au cours d’un bombardement dans la région de Zaporojie (sud) que les Russes occupent en partie.

« L’ennemi a lancé une attaque à la roquette contre un convoi humanitaire de civils, les gens faisaient la queue pour se rendre dans la zone temporairement occupée, aller à la rencontre de proches, recevoir de l’aide », a indiqué sur Telegram le gouverneur régional ukrainien, Oleksandre Staroukh, « il y a 23 morts et 28 blessés ».

08h28 : Le Japon secoué par l’inflation

Le gouvernement japonais a annoncé vendredi qu’il allait mettre sur pied un nouveau plan d’aide pour l’économie du pays, fragilisée par la flambée des prix de l’énergie et la chute du yen depuis plusieurs mois. Ce plan devrait être présenté d’ici fin octobre afin de pouvoir être adopté par le Parlement avant la fin de l’année, a déclaré le porte-parole du gouvernement Hirokazu Matsuno, lors d’un point presse régulier.

Aucun montant n’a été dévoilé pour le moment, mais il pourrait être conséquent au vu du spectre qu’il est censé couvrir. Des mesures seront notamment prévues pour atténuer l’impact de la hausse des prix et encourager les hausses de salaires, tandis que d’autres viseront à renforcer l’économie des territoires en les aidant à utiliser au mieux les avantages de la dépréciation du yen.

La chute brutale de la monnaie japonaise renchérit encore davantage les importations du pays, qui explosent déjà sous l’effet de la flambée des prix énergétiques et alimentaires mondiaux dans le sillage de la guerre en Ukraine.

08h20 : Milorad Dodik, nationaliste serbe qui méprise une Bosnie « ratée »

Milorad Dodik, incarnation du nationalisme serbe en Bosnie, joue depuis une quinzaine d’années un rôle politique majeur dans un pays « impossible » qu’il méprise et dont il ne cesse de répéter qu’il faut se séparer. Ce colosse massif de 63 ans fut le chouchou de l’Occident mais il y a quelques jours encore, il s’affichait à Moscou en pleine guerre contre l’Ukraine au côté de Vlamidir Poutine, le président russe auquel il voue une admiration sans bornes.

Il brigue dimanche la présidence de la Republika Srpska, l’entité serbe de Bosnie, et considère que la fédération croato-musulmane, l’autre entité du pays divisé selon les lignes de fractures ethniques, est un « territoire étranger ». « La haine coule dans les rues de Sarajevo contre chacun d’entre nous identifié comme serbe », a-t-il lancé pendant la campagne.

08h11 : La Roumanie en ordre de bataille, angoissée face à la menace russe

Au pied des Carpates, la base militaire roumaine de Cincu ressemble à une fourmilière. Installation de baraquements ou manœuvres d’entraînement : des soldats français, belges ou néerlandais, déployés après l’invasion russe de l’Ukraine fin février, s’affairent. Dans ce pays à l’avant-poste de l’Otan, la guerre a eu un effet accélérateur, entre intensification des missions de l’Alliance atlantique et projets de modernisation de l’armée.

Dès le début du mois de mars, un millier d’Américains sont venus renforcer les troupes dans la localité de Mihail Kogalniceanu, sur les rives de la stratégique mer Noire, tandis que d’autres affluaient à Cincu, dans le centre. Sur ce site que l’AFP a pu visiter la semaine dernière, 400 hommes sont actuellement à l’œuvre avec l’ambition de porter la capacité d’accueil à plus de 1.000 d’ici la fin de l’année.

L’opération Aigle, placée sous commandement français, vise à renforcer dans la durée la défense du flanc oriental de l’Otan. Sous la supervision du colonel Christophe Degand du 8e RPIMA, un régiment de parachutistes originaire de Castres (sud de la France), plusieurs unités effectuent ce matin-là un exercice d’assaut en milieu urbain.

08h00 : Les prix Nobel à l’ombre de la guerre en Ukraine

Célébrer la paix et les bienfaiteurs de l’humanité avec des combats qui font rage en Europe : les prix Nobel sont décernés à partir de lundi sous l’oppressante chape de la guerre en Ukraine. Jamais depuis la Seconde Guerre mondiale un conflit entre Etats n’avait fait rage si près de Stockholm et Oslo, les deux paisibles capitales où sont attribuées les célèbres récompenses philanthropiques (médecine, physique, chimie, littérature, paix) depuis plus de 120 ans, ainsi que le plus récent prix d’économie.

Habituel sommet de la semaine d’annonce, le Nobel de la paix, attribué le 7 octobre, aura un écho particulier cette année, s’accordent les experts du prix. « Le plus probable est un prix qui aille en soutien aux institutions qui collectent de l’information sur les crimes de guerre », pronostique le professeur suédois Peter Wallensteen, spécialiste des questions internationales.

07h52 : Koupiansk reprise par Kiev

La Russie se prépare à annexer des pans de l’est et du sud de l’Ukraine, mais à Koupiansk dans le Nord-Est, les troupes de Kiev repoussent toujours plus loin leur adversaire, menaçant jusqu’à ses lignes d’approvisionnement. Des chars et des blindés ukrainiens manœuvraient librement dans cette cité industrielle jeudi, jusqu’à peu un point névralgique de la logistique russe.

Les forces russes ont tenté de tenir Koupiansk, malgré l’effondrement de leur front à l’extérieur près de Kharkiv et leur retraite catastrophique à travers le nord-est de l’Ukraine, laissant dans leur sillage des chars endommagés. La ville abrite un pont enjambant la rivière Oskil, désormais gravement endommagé, ainsi qu’une ligne ferroviaire utilisée pour approvisionner les troupes de Moscou. « Il s’agit d’un important nœud ferroviaire qui relie à la région de Lougansk puis au système ferroviaire russe », confirme le nouveau chef de l’administration militaire de Koupiansk, Andriï Kanachevitch, ajoutant : « il était important pour eux [les Russes] de le contrôler ».

07h44 : A Izioum, les Ukrainiens se reconnectent

Privés d’informations et de contact avec le monde extérieur pendant six mois d’occupation russe, les habitants de la ville d’Izioum, reprise par les troupes ukrainiennes, se réjouissent d’avoir retrouvé l’internet grâce à une borne wifi improvisée. Devant un immeuble d’habitation, des dizaines de personnes font la queue devant un panneau indiquant « 15 minutes de wifi », où un travailleur humanitaire prend les téléphones un à un et saisit le mot de passe.

Izioum, ville du nord-est de l’Ukraine majoritairement russophone d’environ 50.000 habitants avant la guerre, a été entièrement occupée par les forces russes entre avril et début septembre, lorsqu’elles ont été chassées par une contre-offensive ukrainienne. Les habitants ont expliqué jeudi à l’AFP que l’électricité et les réseaux mobiles ont été gravement endommagés pendant les combats et, n’étant toujours pas rétablis, le manque d’informations les tient dans l’ignorance de ce qui se passe. Grâce à un générateur de courant fourni par l’armée, les habitants peuvent désormais se connecter à Internet, au moins pendant un quart d’heure par jour.

07h37 : On rembobine

Si vous n’avez pas suivi les informations liées à la guerre en Ukraine jeudi, vous pouvez parcourir notre live d’hier

Ou, pour avoir un coup d’œil rapide sur les infos cruciales de la journée, vous replonger dans notre récap' quotidien :

07h29 : Le point sur le terrain

Après avoir reconquis l’essentiel du Nord-Est, l’Ukraine semble lancée dans la reprise de Lyman, une ville de la région de Donetsk et important nœud ferroviaire que l’armée russe contrôle depuis mai. « L’adversaire entreprend des tentatives régulières d’attaque pour créer les conditions d’un encerclement », a expliqué à la télévision russe un haut responsable séparatiste local prorusse, Alexeï Nikonorov.

Les bombardements russes continuaient de frapper les villes ukrainiennes, tuant notamment un enfant dans la nuit de jeudi à vendredi à Dnipro. Au moins cinq civils ont été tués mercredi dans la partie sous contrôle ukrainien de la région de Donetsk. Les forces ukrainiennes avaient aussi repris le contrôle total du nœud ferroviaire de Koupiansk, dans le Nord-Est, parvenant à chasser les troupes russes de la rive est de la ville, ont constaté jeudi des journalistes de l’AFP, qui ont vu cinq cadavres en uniforme militaire près de véhicules portant des signes de reconnaissance russes.

07h22 : Le déroulé de la journée à Moscou

Le Kremlin accueillera donc vendredi à 14 heures (heure française) une cérémonie lors de laquelle l’annexion des régions ukrainiennes de Donetsk et Lougansk (est) et Kherson et Zaporojie (sud) sera formalisée. Vladimir Poutine prononcera à cette occasion « un discours volumineux », selon son porte-parole Dmitri Peskov.

La capitale russe se préparait aussi à des festivités avec circulation restreinte vendredi et l’organisation d’un concert à l’ombre des murs du Kremlin, auquel le chef du Kremlin pourrait faire une apparition. Les responsables installés par Moscou dans les régions de Donetsk et Lougansk, Zaporojie et de Kherson sont eux déjà dans la capitale russe, selon les médias locaux.

07h20 : L’ONU et Washington fustigent ces référendums « orchestrés »

Pour sa part, le président américain Joe Biden a promis de ne « jamais, jamais, jamais » reconnaître les résultats des référendums « orchestrés par la Russie » en Ukraine.

« Je veux être très clair à ce sujet : les Etats-Unis ne reconnaîtront jamais, jamais, jamais les revendications de la Russie sur le territoire souverain de l’Ukraine », a affirmé le président américain, évoquant une « absolue parodie de référendums ». Pour le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, un tel comportement n’a « pas de place dans le monde moderne ».

07h15 : La finalisation de l’annexion des régions ukrainiennes en cours

Le président russe Vladimir Poutine va formaliser ce vendredi l’annexion par la Russie de quatre régions ukrainiennes, largement dénoncée par Kiev et ses alliés occidentaux, mais qu’il a menacé de défendre même avec l’arme nucléaire.

07h11 : Poutine reconnaît l’indépendance des régions de Zaporojie et de Kherson

Le président russe Vladimir Poutine a reconnu l’indépendance des régions ukrainiennes de Zaporojie et de Kherson, selon des décrets présidentiels publiés jeudi soir, à la veille de la finalisation de leur annexion par la Russie.

« J’ordonne de reconnaître la souveraineté d’Etat et l’indépendance » des régions de Zaporojie et de Kherson, situées dans le sud de l’Ukraine, a déclaré dans ces décrets Vladimir Poutine, qui s’apprête à formaliser vendredi l’annexion de ces deux régions, ainsi que de celles de Donetsk et de Lougansk (est).

07h06 : Bienvenue sur ce nouveau Live

Bonjour à toutes et à tous. Comme chaque jour, la rédaction de 20 Minutes est mobilisée pour vous donner les dernières informations sur le conflit en Ukraine. Ce vendredi, le président russe Vladimir Poutine a prévu d’entériner vendredi en milieu de journée l’annexion par la Russie de quatre régions ukrainiennes, menaçant d’utiliser l’arme nucléaire face aux invectives de Kiev et de ses alliés occidentaux. En réponse, le Conseil de sécurité de l’ONU va voter dans la journée sur une résolution condamnant ces « référendums » d’annexion. Mais la résolution n’a aucune chance d’être adoptée en raison du droit de véto de la Russie.