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Guerre en Ukraine EN DIRECT : Macron confirme qu’il parlera dans les prochains jours avec Poutine...

15h43 : La diplomatie française teste la « cryptographie post-quantique »

En ces temps de lourds soupçons d’espionnage, c’est un enjeu essentiel. La diplomatie française a utilisé pour la première fois la cryptographie « post-quantique » entre Washington et Paris, une technologie capable de résister aux tentatives de décryptage les plus sophistiquées, a indiqué jeudi le président Emmanuel Macron.

« Cent ans après le premier télégramme diplomatique entre l’ambassade de France aux États-Unis et Paris, la France a transmis son premier télégramme diplomatique en cryptographie post-quantique ! », a indiqué le chef de l’État sur son compte Twitter. « Demain, un ordinateur quantique suffisamment puissant sera capable de casser tous les algorithmes de cryptographie et déchiffrer nos messages. Pour contrer cette menace, développer des technologies de cryptage post-quantique est un enjeu stratégique. Et nous y sommes ! ».

Ce tweet peut sembler technique, il l’est ! Et c’est tout l’intérêt. Cent ans après le premier télégramme diplomatique entre l’ambassade de France aux États-Unis et Paris, la France a transmis son premier télégramme diplomatique en cryptographie post-quantique ! pic.twitter.com/3FIVJOShfY

— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) December 1, 2022

Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a relevé qu’il était devenu « indispensable de développer et maîtriser les technologies de cryptage permettant de protéger, à l’avenir, les communications sensibles ».

15h26 : Macron confirme qu’il parlera dans les prochains jours avec Poutine

Le président français Emmanuel Macron, en visite d’Etat à Washington, a confirmé jeudi qu’il s’entretiendrait dans les prochains jours avec son homologue russe Vladimir Poutine, dans une interview à la télévision américaine. « Je voulais d’abord faire la visite d’Etat et avoir une discussion poussée avec le président Biden et nos équipes ensemble », a expliqué Emmanuel Macron sur la chaîne ABC, indiquant qu’il parlerait au président russe « dans les prochains jours ».

Parmi les nombreux sujets évoqués lors de cette visite d’Etat à Washington qui a débuté mercredi, Joe Biden et Emmanuel Macron voudront certainement afficher leur entente sur la réponse à apporter à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le chef d’Etat français a appelé jeudi à « une paix durable » pour mettre fin à ce conflit.

15h15 : L’UE réclame la libération immédiate de l’opposante biélorusse hospitalisée

L’Union européenne appelle Minsk à « assurer le bien-être » et à « libérer immédiatement » l’opposante biélorusse Maria Kolesnikova, qui purge une peine de onze ans de prison et est actuellement hospitalisée, a déclaré jeudi le porte-parole du chef de la diplomatie de l’UE. « Les informations sur sa santé sont très, très inquiétantes », a commenté Peter Stano, porte-parole de Josep Borrell, lors d’un point de presse.

« Il est extrêmement important qu’elle reçoive l’attention et les soins médicaux d’urgence que son état de santé requiert et nous appelons les autorités biélorusses à assurer sa sécurité et son bien-être, car elles en portent la responsabilité, tant qu’elle est illégalement détenue », a poursuivi le porte-parole.

15h00 : Une pièce d’euro en hommage à l’Ukraine

“The first in the EU to have Ukrainian on it. But not the last one. Am sure I'll live to see a Ukrainian Euro coin 💪”- @MattiMaasikas pic.twitter.com/fWhUhrHqQa

— Iuliia Mendel (@IuliiaMendel) December 1, 2022

14h45 : « Merci à la Norvège »

Thank you, dear Norwegians! pic.twitter.com/XjqPavKccI

— Liubov Tsybulska (@TsybulskaLiubov) December 1, 2022

14h26 : Kiev limoge le nouveau directeur ukrainien de la centrale de Zaporojie, nommé la veille par Moscou

L’opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a annoncé jeudi limoger le nouveau directeur ukrainien de la centrale de Zaporojie (sud), nommé la veille par la Russie qui s’est approprié le site, tout en appelant une nouvelle fois les employés à ne pas collaborer avec Moscou. Mercredi, Iouriï Tchernitchouk, qui travaillait déjà dans la centrale, avait annoncé dans un communiqué « accepter » la proposition russe de diriger ce site nucléaire.

« Iouriï Tchernitchouk, [jusque-là] ingénieur en chef adjoint de la centrale, qui a exercé ses fonctions pendant la guerre, a trahi l’Ukraine et est passé du côté de l’ennemi », a déploré jeudi le chef d’Energoatom Petro Kotine dans un communiqué, sa première réaction sur le sujet. « Au lieu de tout mettre en œuvre pour libérer la centrale au plus vite, il a décidé d’aider les occupants russes à légaliser leur appropriation criminelle [du site] et incite désormais d’autres employés à le faire », a-t-il encore fustigé.

14h10 : Londres confrontée à l’explosion des prix

La sortie britannique de l’Union européenne, il y a quasiment deux ans, s’est traduite par une inflation des factures alimentaires de près de 6 milliards de livres pour les consommateurs britanniques, frappant particulièrement les plus pauvres, d’après une étude de la LSE.

« Beaucoup de facteurs entrent en jeu », comme la flambée des prix énergétiques depuis l’invasion russe de l’Ukraine, mais « l’augmentation des barrières » réglementaires et administratives avec l’UE contribue à l’envolée des prix, remarque Richard Davies, professeur à l’université de Bristol et coauteur de l’étude.

13h50 : « Une guerre totale contre l’Ukraine signifie un soutien total à l’Ukraine »

Le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, a prononcé ces mots à l’issue d’un entretien avec Josep Borrell, le haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères. Les deux hommes se sont rencontrés lors d’une réunion de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, à Lodz (Pologne).

Kouleba a demandé à l’UE de sanctionner l’industrie russe de production de missiles. Actuellement, l’UE interdit les exportations vers la Russie de « biens à double usage et de produits technologiques qui pourraient contribuer aux capacités de défense et de sécurité de la Russie » et proscrit « le commerce des armes et des armes à feu à usage civil » et « le commerce de munitions, de véhicules militaires et d’équipements paramilitaires ».

13h35 : Kiev appelle l’UE à sanctionner l’industrie russe de production de missiles

Le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, a appelé jeudi les Occidentaux à sanctionner l’industrie russe de production de missiles, à la suite des frappes massives qui ont infligé de lourds dommages aux infrastructures énergétiques en Ukraine.

« J’ai remercié l’UE pour son aide continue en matière de défense et souligné que les prochaines sanctions de l’UE devraient inclure (…) l’industrie russe de production de missiles : il faut mettre un terme » à cette production, précisé Dmytro Kouleba.

13h25 : Les négociations pour l'adhésion de l'Ukraine à l'UE bientôt d'actualité ?

Selon le média Nexta, Anna Lührmann, ministre déléguée aux Affaires étrangères, a déclaré que les négociations sur l'adhésion de l'Ukraine à l'Union Européenne vont bientôt pouvoir commencer. 

#German Minister of State for Europe @AnnaLuehrmann has said that negotiations on #Ukraine's accession to the #EU may begin soon.

According to her, #Kyiv has made impressive progress and maintained a "momentum of reforms". pic.twitter.com/6fBoBp14Jk

— NEXTA (@nexta_tv) December 1, 2022

13h10 : « L’heure de la victoire ukrainienne viendra ! »

« Ni le gel hivernal, ni l’obscurité, ni aucune autre manifestation de terreur n’aideront l’agresseur à conquérir les Ukrainiens. L’heure de la victoire ukrainienne viendra ! », a déclaré Volodymyr Zelensky, d’après un post Twitter du ministère de la Défense ukrainien ce jeudi.

.@ZelenskyyUa
Neither the winter frost, nor the darkness, nor any other manifestations of terror will help the aggressor conquer the Ukrainians. The time of Ukrainian victory will come!

— Defense of Ukraine (@DefenceU) December 1, 2022

12h37 : Moscou accuse Berlin de « diaboliser » la Russie

La Russie a accusé jeudi Berlin de chercher à la « diaboliser » après que les députés allemands ont voté une résolution qualifiant de « génocide » la famine orchestrée par Staline qui a fait des millions de morts en Ukraine dans les années 1930.

En 1932 et 1933, environ 3,5 millions d’Ukrainiens ont péri du fait de l'« Holodomor », un terme qui signifie, en ukrainien, l’extermination par la faim. Les récoltes étaient alors confisquées par le régime stalinien au nom de la collectivisation des terres.

L’Ukraine et de nombreux historiens estiment que cette famine massive, qui a aussi fait de nombreuses victimes au Kazakhstan, une autre ancienne république soviétique, est un « génocide ». Mais la Russie, où le président Vladimir Poutine s’efforce de réhabiliter le passé stalinien, réfute toute volonté d’extermination du peuple ukrainien.

12h22 : Un chien, terrifié par les bombardements, se réfugie dans les tranchées ukrainiennes

Frightened by shelling a stray dog came to Ukrainian soldiers 💔 pic.twitter.com/t6L4Caftvb

— UkraineWorld (@ukraine_world) December 1, 2022

12h08 : La Russie doit payer pour la reconstruction de l’Ukraine, estime Borrell

Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a annoncé jeudi qu’il allait étudier avec ses partenaires de l’OSCE, dont la réunion s’est ouverte à Lodz en Pologne, « toutes les possibilités légales » destinées à contraindre la Russie à payer pour la destruction de l'Ukraine.

« Nous avons saisi près de 20 milliards d’euros auprès d’oligarques et de personnes soutenant la Russie, et nous contrôlons environ 300 milliards de ressources financières de la banque centrale russe », a-t-il indiqué.

« Cet argent doit être utilisé pour la reconstruction de l’Ukraine », a-t-il insisté lors de la réunion ministérielle de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) qui se tient à Lodz (centre). L’Organisation réunit 57 membres, dont la Russie et l’Ukraine.

11h50 : 7,5 milliards d’avoirs russes gelés en Suisse

Le montant des avoirs russes gelés en Suisse suite aux sanctions prises contre Moscou après son invasion de l’Ukraine s’élevait à 7,5 milliards de francs suisses (7,6 milliards d’euros) au 25 novembre, a indiqué jeudi le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco). C’est presque un milliard de francs suisses de plus que le montant qui avait été rendu public par le Seco en juillet.

La Suisse est une destination prisée pour les Russes argentés ou des entreprises du pays, notamment parce que c’est une plaque tournante du négoce de matière première. Aux 7,5 milliards s’ajoutent aussi 15 biens immobiliers dans six cantons suisses, a indiqué le Seco mais sans donner d’autres précisions sur la nature de ces biens.

Erwin Bollinger, qui est responsable des relations économiques bilatérales au Secrétariat d’Etat, a néanmoins expliqué que le montant « ne reflète pas l’efficacité des sanctions », lors d’un point de presse. En effet, les autorités suisses sont parfois amenées à bloquer des fonds à titre préventif, le temps de faire les vérifications nécessaires et évaluer s’ils tombent sous le coup des nombreuses sanctions infligées à la Russie depuis son invasion de l’Ukraine le 24 février. Si les fonds s’avèrent exempts des sanctions, après un examen qui peut s’avérer compliqué et chronophage, ils sont alors débloqués.

11h38 : Un tribunal sur l’intervention russe en Ukraine n’aurait « aucune légitimité », estime le Kremlin

Le Kremlin a affirmé jeudi que la création d’un tribunal pour juger les actions de Moscou en Ukraine, notamment de possibles crimes de guerre, n’aurait « aucune légitimité », Bruxelles s’étant déclaré la veille favorable à un tel projet.

« En ce qui concerne ces tentatives de créer des tribunaux, elles n’auront aucune légitimité, nous ne les accepterons pas et nous les condamnerons », a indiqué à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

11h31 : Une autre lettre piégée adressée la semaine dernière au Premier ministre espagnol

Les autorités espagnoles ont révélé jeudi qu’une lettre piégée, aux caractéristiques « similaires » à celle ayant explosé mercredi à l’ambassade d’Ukraine à Madrid, avait été adressée la semaine dernière au Premier ministre Pedro Sanchez.

Le ministère de l’Intérieur a indiqué dans un communiqué qu’une « enveloppe contenant du matériel pyrotechnique » et adressée « au président du gouvernement Pedro Sanchez » avait été « détectée et neutralisée par les services de sécurité de la Présidence du gouvernement » le « 24 novembre ».

11h18 : Lavrov dénonce les propos « pas chrétiens » du pape sur les minorités ethniques en Russie

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a dénoncé jeudi des propos « pas chrétiens » du pape François, après que ce dernier eut qualifié de « cruels » les soldats russes issus de certaines minorités ethniques et combattant en Ukraine.

« Le pape François a fait il y a peu des déclarations pas du tout compréhensibles, absolument pas chrétiennes, désignant deux peuples de Russie, pour dire qu’on doit s’attendre de leur part à des atrocités lors de combats militaires », a estimé le ministre russe lors d’une conférence de presse.

11h03 : 40 % du réseau électrique ukrainien toujours hors d’usage

Près de la moitié du réseau électrique ukrainien restait jeudi hors d’usage, une semaine après les dernières frappes russes sur les infrastructures énergétiques, a indiqué l’opérateur privé DTEK, tout en soulignant les efforts « de jour comme de nuit » des électriciens pour les réparer.

« La Russie a détruit 40 % du système énergétique ukrainien avec des attaques terroristes aux missiles. Des dizaines de travailleurs de l’énergie ont été tués et blessés », a affirmé DTEK dans un communiqué publié sur Telegram.

Après avoir essuyé des défaites militaires humiliantes sur le terrain, la Russie a commencé en octobre à viser des installations énergétiques ukrainiennes, provoquant de graves dégâts et entraînant des graves pénuries d’électricité qui affectent des millions d’Ukrainiens chaque jour.

10h46 : Nouvelle lettre « suspecte » interceptée dans une base militaire espagnole

Une nouvelle lettre « suspecte » a été interceptée jeudi dans une importante base militaire près de Madrid, au lendemain de l’explosion d’une lettre piégée dans l’ambassade d’Ukraine en Espagne, a-t-on appris auprès du ministère de l’Intérieur. « Entre trois et quatre heures du matin, les systèmes de sécurité de la base aérienne de Torrejón de Ardoz ont détecté une enveloppe suspecte qui pourrait contenir un certain type de mécanisme », a indiqué le ministère.

« Des effectifs de la Police nationale et de la Garde civile se sont rendus sur la base pour sécuriser la zone et les enquêteurs de la police analysent cette enveloppe qui était adressée au Centre des satellites », a-t-il ajouté. Cette base, située non loin de Madrid, est utilisée notamment pour les déplacements en avions officiels des membres du gouvernement espagnol.

Mercredi, le chargé de sécurité de l’ambassade d’Ukraine à Madrid avait été légèrement blessé par l’explosion d’une lettre piégée destinée à l’ambassadeur, amenant Kiev à ordonner un renforcement de la sécurité dans toutes ses représentations diplomatiques.

10h35 : L’Assemblée condamne le « crime d’agression » de la Russie

L’Assemblée nationale a affirmé mercredi son « soutien le plus total » à Kiev et condamné « le crime d’agression » de la Russie envers l’Ukraine, dans une résolution adoptée à une forte majorité.

Déposé par les groupes de la majorité présidentielle, à l’initiative de Pieyre-Alexandre Anglade (Renaissance), le texte appelle à « une zone de protection autour de la centrale nucléaire de Zaporojie », la plus grande d’Europe, et affirme le « soutien le plus total » de l’Assemblée « à l’Ukraine, son peuple, sa souveraineté et son intégrité territoriale ».

La résolution, qui n’a pas de valeur législative, a été adoptée avec 303 voix pour. Les groupes LFI et RN se sont largement abstenus, un député LFI a voté contre. Une large partie de l’Assemblée a applaudi son adoption, se tournant vers l’ambassadeur d’Ukraine en France Vadym Omelchenko, présent dans l’hémicycle.

10h16 : Coup d’œil dans le rétro

Vous n’avez pas suivi l’actualité sur le front de l’Ukraine mercredi ? Vous pouvez retrouver toutes les informations heure par heure dans notre live d’hier :

Ou un résumé condensé des infos essentielles dans notre récap' quotidien :

09h57 : Le « vert Zelensky », « l’identité politique d’un pays en résistance »

En Ukraine, envahie par la Russie depuis neuf mois, le vêtement se décline en kaki sur le front, dans les rues et même sur les épaules du dirigeant du pays. Pourquoi les vêtements sont-ils un symbole essentiel de la guerre ? En quoi la façon dont Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, s’habille est une information cruciale ? On vous raconte tout dans ce papier :

09h42 : Moscou et Saint-Pétersbourg de plus en plus chères

L’hebdomadaire The Economist a sorti son classement des villes les plus chères du monde. Moscou et Saint-Pétersbourg ont vu leurs prix s’envoler et bondissent au classement - la capitale russe gagne 88 places à la 37e position - sous l’effet des sanctions occidentales et d’un marché de l’énergie dynamique qui soutient le rouble, relève le journal.

08h56 : L’ONU lance un appel record pour l’aide humanitaire, dopé par l’Ukraine

L’ONU a lancé jeudi un appel de fonds record pour 2023 face aux besoins humanitaires qui s’envolent, portés par le conflit en Ukraine et les effets du changement climatique, tels que les risques de famine en Afrique.

Les agences humanitaires des Nations unies nécessiteront 51,5 milliards de dollars US (49,6 milliards d’euros) l’an prochain, des besoins en hausse de 25 %. Ces fonds leur permettront de financer leurs programmes pour venir en aide à 230 millions de personnes parmi les plus vulnérables dans 68 pays.

06h52 : Le ministre français des Armées au Pentagone

Alors qu’Emmanuel Macron est aux Etats-Unis pour une visite d’Etat, le ministre des Armées Sébastien Lecornu a rencontré son homologue américain Lloyd Austin mercredi au Pentagone. Ils « ont insisté sur l’importance d’entretenir la forte coopération bilatérale entre nos deux pays, et ont signé une déclaration d’intention qui codifie nos principes partagés », a déclaré le Pentagone.

Pour le chef du Pentagone, le texte fait respecter « nos engagements dans le domaine du contre-terrorisme à travers le monde, de l’Afrique, à l’Indo-Pacifique », et renforce « notre coopération dans les domaines spatiaux et cyber ». Les deux ministres ont également évoqué le « soutien à l’Ukraine, et la force de l’Alliance de l’OTAN ».

06h40 : Le coût de la guerre pour l’Ukraine

Selon la Commission européenne, plus de 20.000 civils et plus de 100.000 militaires ukrainiens ont été tués ou blessés depuis le début de l’invasion en février. Les dommages subis par l’Ukraine sont évalués à 600 milliards d’euros.

06h30 : Bienvenue sur ce nouveau Live

Bonjour à toutes et à tous. En ce premier jour du mois de décembre, la rédaction de 20 Minutes est mobilisée pour vous donner les dernières informations sur le conflit. Hier, Bruxelles a encore fait monter d’un cran la pression sur Moscou. La Commission européenne a en effet proposé de créer un tribunal spécial pour juger les « crimes de la Russie » en Ukraine. Elle a également souhaité travailler à des solutions pour mobiliser les avoirs russes gelés afin d’aider Kiev à reconstruire le pays. 

Sur le terrain militaire, les Russes font tout pour s’emparer de Bakhmout, une ville de l’est de l’Ukraine. Cette bataille a pris une importance d’autant plus symbolique pour le Kremlin que la conquête de cette ville, avec l’appui du groupe paramilitaire Wagner, arriverait après une série d’humiliantes défaites, avec les retraites de Kharkiv en septembre et de Kherson en novembre.