"J'ai cru qu'il était mort" : Jean-Luc Reichmann et ses proches se confessent dans son horrible accident de moto

Un moment tragique pour Jean-Luc Reichmann et sa famille. En 1984, l'animateur rencontre des amis à Toulouse. Il se souvient dans le documentaire "Jean-Luc Reichmann, Destin extraordinaire", diffusé sur TF1 le samedi 2 juillet.

"Je roule à 90km/h. Cette personne me fauche à 200km/h. Une collision frontale à 200km/h. Un réservoir de vélo me heurte le ventre et ma rate explose.Fermez le capot et coupez complètement le bras avant de vous leverJe n'ai plus de bras gaucheEn passant devant la voiture, j'entends un seul homme dire "Il est mort"" .. Pendant ce temps, sa mère sans défense était en vacances en Haute-Savoie. C'est la petite amie de son fils qui lui apprend la nouvelle.

"Quand je l'ai vu, j'ai cru qu'il était mort."

Mark, l'un de ses amis proches, a témoigné avec émotion. "Je me souviens d'avoir été sur les lieux de l'accident peu de temps après. Jean-Luc n'était plus là. Il avait déjà été transporté à l'hôpital. Le choc a éjecté encore 40 mètres de Jean-Luc. Rappelez-vous cette image. J'ai vu Jean- Les chaussures de Luc sont restées aux pieds de ce vélo complètement détruit. Il ne restait que les roues arrière. La voiture a effectivement été coupée en deux.C'est un miracle que Jean-Luc soit dit encore en vie." 

" Quand je suis arrivé à l'hôpital, il était au lit et ne bougeait pas. Je ne pouvais pas reconnaître le visage. J'ai détourné le regard. Je ne pouvais pas. Ne le regarde pas. " a expliqué Marc. 

Son frère Bruno est également revenu sur le drame, provoquant une longue hospitalisation. "Je suis apparu à l'hôpital.est mort.est mort. C'était énorme. Il était tout noir. Il avait une ecchymose. Quand je l'ai vu, j'ai pensé qu'il était mort. "

" Il était dans le coma et a passé des mois à l'hôpital. Chez lui. Je me suis dit : « Il faut qu'il s'en sorte. » champ de riz. 47} Quand il était en fauteuil roulant, c'était l'image que j'avais toujours.Tous les bandages ressemblaient à un possible squelette. Il avait des jambes qui ressemblaient à des fusées. C'était impossible. Je pensais qu'il ne marcherait plus jamais. Mais il ne s'est pas vraiment plaint. Il supportait tout. C'est la volonté de fer.