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Kumali, 40 ans : «Je gagne bien ma vie mais je n'ai pas le temps de m'occuper de mon épargne»

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«Mon métier d'infirmière me prend tellement d'énergie», souffle Kumali, disant ainsi avoir «tendance à négliger» la gestion de son épargne.
«Mon métier d'infirmière me prend tellement d'énergie», souffle Kumali, disant ainsi avoir «tendance à négliger» la gestion de son épargne.
«Mon métier d'infirmière me prend tellement d'énergie», souffle Kumali, disant ainsi avoir «tendance à négliger» la gestion de son épargne. Photos personnelles ; Aymeline Chemin/ Le Figaro

CIGALES ET FOURMIS - À l'heure où l'inflation fait rage, épargner est plus que jamais un défi, que certains relèvent mieux que d'autres. Et ce n'est pas qu'une question de budget. Cette infirmière libérale dit regretter le manque d'accompagnement des banques sur cette question.

Face aux multiples livrets bancaires et produits d'épargne existants, Kumali avoue se sentir «un peu perdue». Cette jeune quadra parisienne, célibataire sans enfant, aurait pourtant les moyens de faire fructifier son argent. Infirmière libérale, elle parvient à se verser un «salaire» mensuel de 2500 euros, tout en conservant environ 10.000 euros de trésorerie sur son compte professionnel. Sauf qu'à l'instar de nombreux Français, elle manque de temps et ne sait pas vraiment comment s'y prendre.

Cette soignante en libéral, propriétaire de son appartement dans le XVIIIe arrondissement de la capitale, dispose pourtant du parfait attirail pour épargnants débutants, voire confirmés …

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