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Nicolas Sale. © Delphine Evmoon/SDP

Ce sourceur privilégie «les produits de saison. Un poulet, des ris de veau, des saint-jacques avec des lentilles et des truffes ou en tartare avec des Gillardeau et un crémeux de yuzu…»

Il revient du Festival de la gastronomie à Saint-Martin, repart à Copenhague pour cuisiner à l’ambassade de France… Depuis qu’il a quitté le Ritz, Nicolas Sale bouge, trace, entreprend. Sa «cantine de partage» verra le jour à Rungis en 2023. Un projet original, judicieux. On en reparlera, car on aime suivre à la trace ce chef étoilé dont la boussole interne reste orientée vers l’innovant, le différent.

Dans son livre, Si Paris était… *, ce Parigot dévoile des chemins balisés par ses rencontres, de Jacques Genin à Florian Rousseau, ses trouvailles comme La Table Cachée de Michel Roth ou un club confidentiel de collectionneurs de voitures. Mettre en avant ces talents était sa motivation première, comme de faire plaisir avec sa cuisine.

Le dimanche, il le passe en famille dans un esprit de détente. Au marché de Charentonneau, à Maisons-Alfort, ce sourceur privilégie «les produits de saison. Un poulet, des ris de veau, des saint-jacques avec des lentilles et des truffes ou en tartare avec des…

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Le Figaro

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