Médias.
Le réseau social s'est enflammé après que la chaîne canadienne anglophone CTV News a annoncé que l'animatrice du journal, Lisa LaFlamme, 58 ans, avait licencié . Elle sera remplacée par une journaliste plus jeune, pas surprise par des acteurs de terrain qui dénoncent les atrocités des chaînes de télévision.
Le [15 août], a annoncé la résiliation de son contrat,rapporte Toronto Star43}
Dans une brève déclaration, Bell Média, la société mère de CTV News, a annoncé35 ans de « départ » de Lisa Laflam. service. La société dit avoirpris la"décision financière"après avoir "remarqué un changement dans les habitudes d'écoute". Le même jour, la société annonce le nom de son successeur : Omar Sachedina, 39 ans .
Dans une vidéo publiée sur Twitter, Lisa LaFlamme s'est dite "choquée et attristée". La journaliste, qui a commencé sa carrière de journaliste en 1989 et a couvert de nombreux événements tant au Canada qu'à l'étranger, a déclaré que son départ lui avait été annoncé en juin, mais qu'elle avait perdu le contact jusqu'à 15 heures août.
Allégations de sexisme et d'âgisme
Les expressions de sympathie pour le journaliste chevronné ont inondéles réseaux sociauxDid. Critique de Bell Média.
Le manque d'explications détaillées de la chaîne, qui se contente de répéter un vœu de bonheur à Lisa Laflam sans rien annoncer sur sa vision pour la suite de l'émission, est décrit commeun "manque de clarté stratégique .", écrit Radio Canada. C'était seulement".
Le site affirme en outre que cette dernière est "une autre femme sur la liste innombrable des personnes qui ont été confrontées au sexisme et à l'âgisme dans l'industrie de l'information télévisée. .
Colère dans the Middle
Les collègues de Lisa Laphram interrogés par le Toronto Star sont interloqués : un producteur exprime sa colère, tandis qu'un autreIl a fait campagne auprès de journalistes qui ont parlé d'une "culture de la peur" ,[90] provoqué par des licenciements brutaux.
Le concurrent et présentateur Ian Hanomansing`` Je n'ai pas de mots'' a déclaré à lui-même : "Je sais" que cette industrie est étonnamment arbitraire. Prendre des décisions n'est pas rare, mais vous méritez plus que cela, Lisa.
Jeffrey Dvorkin, ancien directeur des programmes de journalisme à l'Université de Toronto, dit que cela donne une mauvaise image à court terme. . Cependant,"la démographie du journalisme a beaucoup changé en peu de temps",etil ajoute que "la recherche de nouveaux publics plus diversifiés et plus jeunes est implacable".
Martin Gauthier
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