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Les cantines veulent accélérer sur le local
Par exemple, Thierry Pousson, président d'Acena, une coalition de groupements d'ordre, collèges et lycées.

Photo CL

ParCélineGUIRAL--c.guiral@charentelibre.fr, publié le26 juin 2022 6 : 26 :00h, changé à 18h26

Les petits producteurs qui font souvent face à des problèmes de volume et de logistique sont sollicités par les collèges et lycées auxquels j'essaie de plus en plus de répondre. J'aime beaucoup les produits locaux.

On n'est pas comparé au fabricant. Albert Selin, dirigeant de ",, l'un des quatre co-gérants de Gaecdela Grande Dennelie de Brunzage, présente un autre produit sur son engagement dans la restauration collective depuis 2014. -Entrer sur ce marché est encore un choix très simple car synonyme de nombreuses exigences. La logistique d'abord car il faut de la puissance.

On'est pas par rapport au constructeur. ",Exécutif Albert Selin, l'un des quatre co-gérants de Gaecdela Grande Dennelie de Brunzage, depuis 2014 Présentant son engagement au service de la restauration collective. -Entrer sur ce marché est encore synonyme de nombreuses exigences, c'est donc un choix très facile. La logistique est première. Il doit pouvoir répondre à la demande en termes de volume. Il l'a fait progressivement. D'abord petit, le délicieux yaourt se retrouvait sur les tables des écoles puis peu à peu dans les collèges et lycées charentais. "Il y avait une demande d'un établissement cherchant à local ", explique Albert Serin. Aujourd'hui, ce marché représente 20 à 30   % des ventes.

A Charant, il n'en demeure pas moins que le problème persiste  : " Les producteurs sont réactifs Elfes Santirail, directeur du lycée Marguerite de Valois et coordinateur du regroupement des commandes des écoles dans les zones qui ne sont pas la source de produits ou de produits, explique. " Les grossistes sont inévitablement dans un segment particulier du marché parce que la nature déteste le vide "Hervé Saint-Hilaire a assisté à une réunion de division dans une école locale la semaine dernière Si offre de restauration," Le défi est d'introduire un petit acteur local "

Les parents sont heureux et surpris

Une forme de fragmentation du marché qui permet l'allocation. Par exemple, Corinne Chapeau-Sicard, responsable de l'université Jules Michel à Angoulême," à notre connaissance, n'a beaucoup à voir qu'avec le nord (de la Charente ndlr). Il y a peut-être . Les fournisseurs potentiels ne pourront pas aller plus loin. Au lieu de référencer des produits qui peuvent être vendus dans toute la région, comme ils le faisaient il y a quelques années, les départements seront dans des zones géographiques ou des types de produits différents. Nous voulons diviser par. "Exemple Volaille  :" Notre démarche est de faire en sorte que l'offre existe localement. Cherchez le label rouge, et avant même de devenir grossiste du fin fond de la France. »

Mais il y a encore des obstacles de la part des producteurs. Albert Serin explique dans son Gaec qu'il a trouvé une forme de parade qui ne fait " que " sur les locaux et a travaillé exclusivement dans une zone égale à" 1,5 départements. "" Il y a 12 marchés chaque semaine et nous travaillons avec toutes les communautés ".Et il y a la récompense ultime  :" Lorsque les enfants viennent à l'un de nos stands avec leurs parents et admirent notre yaourt, nous avons mangé à la cafétéria " " Elfes Santirail revendique " Écart qualitatif ". " Il y a toujours cette fausse représentation de la restauration collective dans les écoles. , Certains parents sont très surpris lorsqu'ils découvrent des variétés de qualité, bio et à base de viande "La cantine n'est pas l'ancienne cantine.

Contenu légal

La loi Egarimu de novembre 2018 et la loi Climat et Résilience d'août 2021 fixent des objectifs pour la restauration collective dans les écoles. D'une part, fournir 50   % de produits durables et de haute qualité, dont 20   % de produits biologiques depuis le 1er janvier 2022. En revanche, le 1er   janvier 2024 compte 60   % de produits durables et de haute qualité pour la viande et le poisson (100 pour la restauration collective d'État).  %). A noter que Corinne Chapeau-Sicard "Egalim ne mentionne pas spécifiquement la nécessité de s'approvisionner localement, mais plutôt le label et " qualitatif  ". Affiche des exigences. Quitte à venir du bout du monde.