Dans le village de Scoreni, Anastasia Vasilica, 72 ans et tout juste veuve, remplit son poêle avec parcimonie. (Mazur Ramin/Libération)
A Hincesti, en bordure de la forêt, les gardes forestiers ont obtenu une parcelle de 15 hectares, où l’on cultivait du maïs jusqu’à cet automne pour faire croître des pousses d’acacia. (Mazur Ramin/Libération)
Le garde forestier Alexei Munteanu patrouille au volant d’une Lada Niva hors d’âge, qui pétarade et dérape dans la boue. (Mazur Ramin/Libération)
Dans cette zone de la forêt de Hincesti, il a répéré des coupes ponctuelles, qui datent des derniers mois. (Mazur Ramin/Libération)
Le trafic à l’œuvre dans toutes les forêts publiques, soit 87% des bois, contribue à tirer les prix vers le haut. (Mazur Ramin/Libération)
La présidente moldave, Maia Sandu, s'est rendue à Scoreni pour rencontrer les habitants. (Mazur Ramin/Libération)
«Sur les 1 500 foyers de Scoreni, environ 400 utilisaient le gaz pour le chauffage. La plupart de ces foyers sont repassés au bois de chauffage», explique Svetlana Tabacari, la maire du village. (Mazur Ramin/Libération)
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