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La loi Elan, qui a ­notamment institué les opérations de revitalisation du territoire, a été adoptée il y a quatre ans. 72634196/efesenko - stock.adobe.com

Quatre ans après la loi Elan, les sénateurs formulent quatorze propositions pour accélérer la revitalisation des centres-villes.

Quatre ans après l’adoption de la loi Elan, qui a notamment institué les opérations de revitalisation du territoire, les sénateurs font le «service après-vote». «Revitalisation réelle ou grande illusion financière?», s’interroge la mission conjointe de contrôle sur la «revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs». Si les mesures de la loi Elan sont jugées efficaces par les acteurs locaux, les dispositifs gouvernementaux «Action cœur de ville» (ACV) et «Petites villes de demain» (PVD) font l’objet d’une évaluation plus contrastée. Une «machine à frustrations», voire «un pur produit marketing», dénoncent de nombreux élus. Dans leur rapport final, publié jeudi, les quatre rapporteurs font quatorze propositions pour «donner un nouvel élan» à ces programmes.

«Veut-on la pérennité de la ville à l’européenne, avec un centre, lieu de vie sociale, citoyenne, culturelle, religieuse… bref, un lieu de vie collective et d’identité?, se demandent les rapporteurs. C’est possible si nous acceptons…

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