Controverse.
Compte tenu du malaise causé par les informations faisant état de l'implication de l'armée ukrainienne, les ONG ont exprimé leurs "regrets" dimanche août, mais leurs conclusions ont été maintenues. Il suffit d'ajouter de l'huile sur le feu.
.
Tout d'abord, Amnesty International Office à Kyiv Il y aura une démission significative d'Oksana Pokarchuk, la chef du bureau. Il travaille pour Amnesty depuis plus de sept ans. Elle se souvient deUkraineskaya Pravdaqui a décidé de claquer la porte le lendemain après s'être éloignée des conclusions le jour de la publication de ce rapport. Dans un long post publié sur son profil Facebook, elle évoque désormais la nature du fossé qui la sépare des institutions internationales.
"Je pense que le travail d'intérêt public doit être effectué dans le contexte local et en gardant à l'esprit ses conséquences", a déclaré. Mais elle dit que ses collègues du bureau de Kyiv et elle-même ont été exclus de l'enquête. Ils ont essayé plusieurs fois de parler, mais en vain. "Tout a été brisé contre le mur de la bureaucratie",déplore-t-elle. Et en conclusion, dans sa forme actuelle, le rapport estun "outil de propagande russe".
Rapports controversés
Un rapport d'Amnesty International documente 20 cas, accusant des adolescents de l'armée ukrainienne
Alexander Levy
Même sujet
Nos services
