Drame.
Mardi 26 septembre, l’incendie d’une salle de réception où l’on fêtait l’union d’un jeune couple dans une localité chrétienne du nord de l’Irak a tué une centaine de personnes. Visiblement, le bâtiment n’était pas aux normes. Encore une tragédie à mettre sur le compte de la négligence et du non-respect des normes de sécurité.
“Le mariage de l’enfer”, titre le média kurde Rudaw après un incendie qui a ravagé dans la soirée du mardi 26 septembre une salle de réception à Bakhdida - Qaraqosh pour les Kurdes ou Hamdaniyeh pour les Arabes sunnites - la plus grande ville chrétienne de la plaine de Ninive, à une vingtaine de kilomètres au sud-est de la ville de Mossoul, dans le nord de l’Irak.
Le bilan humain de cette “tragédie”, encore provisoire, s’élève à au moins une centaine de morts. “De nombreux corps sont calcinés, rendant très difficile leur identification”, raconte le site Kurdistan24. À ceci s’ajoute plus d’une centaine de blessés, brûlés par les flammes ou asphyxiés par les émanations toxiques.
À l’origine de ce drame, après lequel les autorités irakiennes ont décrété un deuil de trois jours, l’utilisation
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