Réservé aux abonnés

«Le sport m’a permis d’avoir une estime de moi améliorée, grandie», déclare Nantenin Keita (ici le 17 septembre 2016, aux Jeux paralympiques de Rio de Janeiro, au Brésil, après sa victoire sur le 400 m dans la catégorie T13 féminin). CHRISTOPHE SIMON/AFP

ENTRETIEN - La championne paralympique poursuit l’ambition de briller lors des Jeux paralympiques à Paris en 2024.

Championne paralympique (médaillée d’or aux Jeux paralympiques de Rio de Janeiro sur 400 m en 2016, d’argent et de bronze à Pékin en 2008 sur 200 m et 400 m, de bronze à Londres en 2012 sur 100 m ; triple championne du monde), souffrant d’une déficience visuelle importante, la Franco-Malienne Nantenin Keita (37 ans) poursuit l’ambition de briller lors des Jeux paralympiques à Paris en 2024. Un projet que la fille du musicien malien Salif Keita vit passionnément sur la piste et qu’elle accompagne en coulisses en tant que membre du conseil d’administration de Paris 2024.

LE FIGARO. - Que représente cette première journée dédiée?

Nantenin KEITA. - C’est la valorisation de notre mouvement, cela met un focus sur nous. C’est aussi la possibilité offerte de venir à la rencontre des sports paralympiques et des parasports, de découvrir, de s’intéresser. L’idée, c’est de faciliter la lecture, la compréhension, de créer du lien à la veille de Paris 2024.

Une telle journée peut-elle être une source d’inspiration?

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 76% à découvrir.

Le Figaro

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.

Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois

Déjà abonné ? Connectez-vous

La rédaction vous conseille