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Paco Rabanne, du jamais vu qui divise

Paco Rabanne, aux pattes et à la moustache brunes, présente en 1966 ses douze «robes importables en matériaux contemporains» à Paris sur une musique (le Marteau sans maître) de Pierre Boulez. Aux premières notes de musique, «la moitié de ces dames sont parties, indignées» se souvient le couturier qui leur lance : «Si vous êtes incapable de supporter cette musique, le reste n’est pas pour vous.» Le reste, ce sont des robes en Rhodoïd, aluminium, anneaux métalliques qui laissent entrevoir le grain de la peau. Du jamais vu.

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L'actrice Anny Duperey présente des modèles du couturier Paco Rabanne à Paris, en 1969. (Giancarlo Botti /Gamma-Rapho)

Françoise Hardy porte une robe en carrés d'or, escortée de la police, à Paris, en1968. (Collection Christophel /Phototheque Lecoeuvre)

Des robes à l'effigie de Valéry Giscard d'Estaing lors du défilé collection printemps-été 1978, à Paris, le 25 janvier 1978. (Daniel Simon /Gamma Rapho)

Paco Rabanne chez lui à Paris avec la mannequin et astrologue Elizabeth Teissier, en 1968. (Giancarlo Botti /Gamma-Rapho)

Défilé haute couture automne-hiver, 1989-1990, à Paris. (Victor Virgile /Gamma Rapho)

Défilé Paco Rabanne, le 26 juillet 1989, à Paris. (Daniel Simon /Gamma Rapho)

Col géant lors du défilé Paco Rabanne collection haute couture printemps-été, 1992, à Paris. (Daniel Simon /Gamma Rapho)

Paco Rabanne au défilé haute couture automne-hiver 1997-1998, à Paris. (Victor Virgile )

Au défilé haute couture, printemps-été, 1993, à Paris. (Victor Virgile /Gamma Rapho)

Au défilé haute couture, printemps-été, 1994, à Paris. (Alexis Duclos /Gamma Rapho)

Au défilé haute couture, automne-hiver, 1994, à Paris (Alexis Duclos /Gamma Rapho)

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