Des policiers locaux ont été suspendus de leur stage après la diffusion d'une vidéo au visage noir dans un restaurant.
Des correspondants de l'Agence France-Presseont interpellé la direction de l'établissement, reprochant aux stagiaires leur attitude et indiquant qu'ils avaient temporairement suspendu la formation. .. Une lettre a également été envoyée aux communautés qui les ont embauchés pendant le stage pour les informer de ces actions. " Il appartient au gouvernement local de décider de la mise en place de ces fonctionnaires ", a déclaré Didi Emersier-La Chapel, directeur de la délégation Nouvelle-Aquitaine du CNFPT à Radio France. Déclaré
Bleu Poitou a ajouté son partie et a ajouté qu'il n'y aurait pas d'autres sanctions.Lire les articles liésPolice municipale de Marseille : Le racisme est toujours répandu
Le restaurant aurait perdu 80 % des ventes
18 Cette vidéo de quelques secondes prise par un passant lors d'une seule dernière soirée costumée Une femme blanche portant une perruque afro, qui peut être diffusées sur les programmes des réseaux sociaux. Son visage est composé de noir et danse de façon typique à la terrasse d'un restaurant. Depuis sa publication, le restaurateur Michael Taylor affirme avoir subi une vague d'accusations racistes et la promotion du " Blackface " sur les réseaux sociaux- Une race noire coutumière composée de blackfaces pour se moquer . Il dit avoir perdu " 80 % des ventes" et avoir été insulté et menacé de meurtre.
Cette semaine, SOS Racisme l'a soutenu et le manager local Cheikh Diaby lui a assuré qu'il était une " victime collatérale ". "C'est la personne au 'blackface' qui a causé le problème, ", a déclaré jeudi Cheikh Diaby au correspondant de l'AFP. " Blackface " est "une pratique qui constitue un crime racial né aux États-Unispendant la période de l'esclavage " et est souvent ignorée des restaurateurs. Secouer Diaby. Le propriétaire du restaurant, qui travaille avec sa mère, a déclaré qu'il s'était plaint de menaces de meurtre, de diffamation et de cyberintimidation.
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