Réservé aux abonnés

François Asselin (président de la CPME), Audrey Louaille (présidente de CroissancePlus), Geoffroy Roux de Bézieux (président du Medef) et Alexandre Saubot (président de France Industrie). François BOUCHON/Le Figaro

DÉCRYPTAGE - Les partenaires sociaux ont encore quelques jours pour discuter du partage de la valeur ajoutée. L’idée d’un dispositif contraignant hérisse petits et grands patrons.

La mise en place d’un «dividende salarié» est une «négociation impossible». La petite phrase de Geoffroy Roux de Bézieux, prononcée lors de ses vœux de rentrée, donne le ton. Patronat et syndicats sont en effet en train de se concerter sur le sujet, à partir d’un document de cadrage du ministère du Travail - ils avaient initialement jusqu’à ce mardi, la réforme des retraites ayant repoussé cette échéance d’une semaine. Mais le patron de patrons - tout comme certains syndicats d’ailleurs - apprécie peu que le gouvernement ait déjà une idée assez précise de ce qu’il veut faire. Il y travaille en ce moment avec le groupe Renaissance, qui doit présenter son projet courant février.

Le concept de ce dispositif, promesse de campagne d’Emmanuel Macron? Quand une entreprise distribue des dividendes à ses actionnaires, il faut qu’elle verse l’équivalent à ses employés. Cela peut passer par de l’intéressement, de la participation ou de la «prime Macron», dont le plafond vient d’être doublé de 3000…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 83% à découvrir.

Le Figaro

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.

Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois

Déjà abonné ? Connectez-vous

La rédaction vous conseille