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Retour des femmes djihadistes de Syrie : Paris "s'écarte de cette politique"

Vu d'outre-mer.

Trente-cinq enfants jihadistes français détenus au camp d'Alhor, dans le nord-est de la Syrie, ont été rapatriés mardi 5 juillet . La chirurgie comprend également le retour de 16 femmes. Les médias internationaux soulignent un revirement notable à Paris.

Une photo d’archive datant de mars 2019 au camp syrien d’Al Hol.
Photo d'archive du camp d'Alhol en Syrie en mars 2019 . PHOT / IVOR PRICKETT / NYT

C'est la première fois en France. Mardi 5 juillet , le ministère des Affaires étrangères a annoncé avoir renvoyé 35 enfants et 16 mères détenus en Syrie. Quai ajoute que les enfants ont été« remis aux services de protection de l'enfance et soumis à une surveillance médicale »,les mères ont ététransférées « à la justice de la juridiction ». Dorsey.

Ce retour est numériquement le plus important pour la France depuis le début du conflit en Syrie et suscite une vive réaction dans tout l'océan Atlantique. Dès lors, pour, leNew York Times, Pariss'écarte de sa politique d'exclusion du retour des femmes adultes parties rejoindre l'État islamique depuis des années. Que la procédure judiciaire contre eux. » "La pression suivie par lerenversement du gouvernement"dans ce fichier estime quotidiennement.

En effet, certaines organisations internationales, dont les Nations Unies et les associations des droits de l'homme, ont

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