La Tunisie est au plus profond de la crise économique. Une crise qui est aggravée par la crise politique, dans la mesure où la situation particulière que vit le pays semble ne pas plaire aux puissances étrangères qui ont, apparemment, réussi à bloquer les vannes de bailleurs de fonds.
C’est, donc, probablement, pour çà que les accords avec le FMI piétinent, et les versements n’ont que trop tardé. Et à ce rythme, la Tunisie ne saurait boucler son budget de 2022.
Dans une situation actuelle, la Tunisie est en train de se vider de son sang. Elle n’a plus de richesses. Elle est classée comme étant non solvable par les agences de notation. Ce qui fait que tous ls fournisseurs de l’Etat refusent, désormais de livrer leur marchandise, s’ils ne sont pas payer à l’avance, ou, au mieux, à la livraison. C’est ce qui explique, d’ailleurs, les manques d’un peu tout, sur le marché, à commencer par les carburants.
Sans richesses et sans création de richesses, la Tunisie ne pourrait s’en sortir qu’à travers deux solutions. Soit elle met le paquet sur ls PME, seules entreprises capables de créer assez rapidement les richesses. Et là, c’est mal parti, puisque les chiffres sont éloquents : grand nombre d’entre ces entreprises, exsangues, sont en train de fermer.
La seule autre alternative qui reste c’est les aides des pays frères et amis. Il semblerait, en effet, que les pays arabes aient ne sont pas prêts à laisser la Tunisie sombrer, et leur aide finirait bien par arriver. Mais en attendant, seule l’Algérie est en train d’aider. Mais à elle seule, elle ne saurait aider sur tous les fronts.
Dons, le salut de la Tunisie viendra, très probablement, des pays arabes frères, qui n’hésiteront pas à tendre la perche à l’un des leurs !
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