Emily König, l'une des djihadistes les plus célèbres de France, est rentrée en France mardi, l'une des 16 mères. Des camps de prisonniers jihadistes syriens ont indiqué à l'AFP des sources proches du dossier.
Cette femme de 37 ans, originaire de Bretagne, est partie en Syrie en 2012, mais a recruté l'EI et était en Occident. appelant à l'attaque. Elle faisait l'objet d'un mandat d'arrêt et devrait être poursuivie puis emprisonnée après sa comparution devant le juge, a indiqué la source.
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Mardi, la France a été organisée par l'État islamique (EI), une politique "au cas par cas" "inhumaine". En réponse aux demandes répétées des ONG et des familles qui veulent en finir.
Il s'agit du premier enfant et mère en France depuis l'automne 2019 dans le califat de l'État islamique (EI), où un attentat très meurtrier était spécifiquement planifié. C'est un retour d'une telle ampleur. Le procès vient de se terminer en France le 13 novembre 2015. "La France a procédé aujourd'hui au retour sur le territoire national de 35 mineurs français dans un camp situé au nord-est de la Syrie", a indiqué le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Cette opération comprend également le retour de 16 mères de ces mêmes camps", a ajouté le Quai d'Orsay, précisant que les mères ont été remises à la justice et que les enfants ont été assistés. a été remis à. En tant qu'enfant. (…)
En 2019, près de sept Français sur dix s'opposent au retour des enfants djihadistes
Avant ce dernier retour, ils se sont rendus au camp. Près de 200 mineurs et 80 mères sont restés. Dans le nord-est de la Syrie, qui est dominé par les Kurdes. "Il n'y a aucune raison pour que ces enfants soient privés de leur liberté et tués sur l'autel de l'opinion publique, mais un certain nombre de familles y restent", a déclaré l'avocat de la famille Martin Pradel.
Odoxa-Dentsu Consulting Franceinfo et LeFigaro.
(…) Europe 1
