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Affaire Paul Bismuth: Sarkozy prend ses distances à la barre avec les autres prévenus

France Reportage

Survolté, l’ancien président conteste avoir commis la moindre infraction, malgré des enregistrements diffusés par la cour d’appel de Paris indiquant le contraire. À l’inverse de Thierry Herzog, son avocat et ami, et de l’ex-magistrat Gilbert Azibert, lui n’était « pas passionné de procédure pénale. Moi, ma passion, c’était de m’en sortir ».

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On peut reconnaître au moins une chose à Nicolas Sarkozy : il ne manque pas d’aplomb. Face à la cour d’appel de Paris, comme en première instance, l’ex-président de la République, rejugé pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire dite « Paul Bismuth », fait preuve d’une énergie remarquable, mais il déploie aussi des arguments qui sont autant de trésors de mauvaise foi.

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