En salle.
Porté par le jeu magnétique de Paul Mescal et de Frankie Corio, “Aftersun” sort en salle en France ce 1er février. Auréolé d’un succès critique, le film éblouit la presse anglo-saxonne par le portrait délicat qu’il dresse d’une préadolescente et de sa relation avec son jeune père tourmenté mais aimant.
“Peu de premiers films possèdent la force de frappe émotionnelle d’Aftersun.” Le premier long-métrage de l’Écossaise Charlotte Wells, qui sort le 1er février en salle en France, a ébloui The Telegraph. D’une sensibilité rare, le film semble faire l’unanimité dans la presse anglo-saxonne, impressionnée tant par le jeu de ses acteurs que par la subtilité de sa réalisation.
Aftersun met en scène une Sophie adulte qui se remémore, en regardant des vidéos sur un caméscope, ce qui fut probablement ses dernières vacances avec son père divorcé Callum, joué par Paul Mescal. Alors qu’elle n’avait que 11 ans, elle avait séjourné avec lui en Turquie. Ce dispositif narratif particulier donne lieu à des analepses et des prolepses visuelles, qui servent une œuvre “stylistiquement audacieuse”, juge The Observer.
“Cette tension entre réalit
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