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Alexis Pinturault débute les Mondiaux ce mardi par le combiné, avec à 11 heures le Super-G et à 14 h 30 le slalom. François BOUCHON/Le Figaro

ENTRETIEN - Malgré ses difficultés depuis deux ans, le Français veut briller lors des Mondiaux à Courchevel.

Le 20 mars 2021, Alexis Pinturault décrochait son graal personnel. À savoir, remporter le gros globe de cristal récompensant le vainqueur du classement général de la Coupe du monde. Une performance que seuls trois Français avaient réalisée avant lui: Jean-Claude Killy (1967 et 1968), Michèle Jacot (1970) et Luc Alphand (1997). Las, après avoir atteint ce sommet, le natif de Courchevel n’a pas su, ou pu, se remobiliser par la suite, vivant notamment des Jeux olympiques 2022 douloureux et sans la moindre médaille.

Néanmoins, depuis le début de la saison en cours, même s’il n’est monté que sur un podium - à Beaver Creek en Super-G (3e) -, Pinturault a retrouvé sourire et envie. Suffisamment pour espérer briller lors des Mondiaux organisés chez lui, à Courchevel, et qu’il débute ce mardi par le combiné (11 heures le Super-G, 14 h 30 le slalom) avant de disputer le Super-G (9 février), le géant (17 février), le slalom (19 février) et peut-être le parallèle (15 février)? Début de réponse avec…

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