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Angers a été sacrée ville la plus verte devant Nantes, Metz, Amiens et Lyon. © Ville d'Angers - Th. Bonnet.

Alors que les questions environnementales se multiplient, des communes françaises adoptent des stratégies pour s’opposer à la bétonisation.

Un prêt de 95 millions d’euros accordé à la ville de Strasbourg pour, notamment, la végétalisation d’une vingtaine de cours d’écoles, 1,5 million d’euros débloqué par la mairie de Lyon pour la renaturation progressive de la place Bellecour, l’aménagement de plus de 2000 m2 de jardins à Vincennes d’ici à 2026… Alors que les questions environnementales ne cessent de monter, les communes françaises adoptent des stratégies pour s’opposer à la bétonisation. Cette bonne volonté reste cependant soumise à des choix judicieux (végétaux disposant d’une bonne absorption du CO2, pollens non allergisants…) et des contraintes techniques parfois insoutenables.

Paris a ainsi dû abandonner son rêve de forêt sur le parvis de la mairie car le poids aurait écrasé le parking souterrain. Même le gouvernement incite à participer à l’effort environnemental en accordant des soutiens financiers pour les projets de rénovation urbaine (12 milliards entre 2024 et 2030). En Île-de-France, l’Agence Île-de-France Nature

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Le Figaro

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